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Bienvenue chez Sab

12 avril 2012

Et si nous adoptions un autre style de suffrage universel?

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Ah que coucou !

 

Nous, Français, pour ceux qui l’ignoreraient encore ;), votons le dimanche 22 avril et le dimanche 6 mai 2012 pour élire au suffrage universel le Président de la République. Mais notre façon d’élire le Président à ce suffrage n’est pas la seule existante… dans d’autres pays, utilisant aussi ce système il y a des différences, cela peut aller comme au Mexique, par exemple, où il n’y a qu’un seul tour… ou comme en Irlande où les électeurs doivent noter tous les candidats et où le candidat qui détiendra le plus de points sera élu.

 

Des chercheurs du C.N.R.S. ont décidé, en ces temps électoraux, d’en profiter pour tester toutes ces différences et les comparer avec les résultats officielles des élections (pour accéder au site et participer, cliquez ici). Je vous invite tous à participer à cette expérience afin que nous tous pouvions savoir si ces différents modes de scrutin universel peuvent avoir une incidence sur le résultat de nos élections.

 

Bisous,

@+

Sab

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11 avril 2012

Johann Wolfgang von Goethe : Die schönsten Gedichte

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Ah que coucou !

 

Aujourd’hui je vous propose d’améliorer vos connaissances sur Goethe en lisant quelques uns de ses plus beaux poèmes :

 

Die schönsten Gedichte

VERSION ORIGINALE

accessible à la lecture et/ou téléchargement en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par adobe)

 

regroupant les 61 poèmes suivants (les titres en bleu correspondent aux « Lieder », en marron les « Balladen » et en rouge aux « Betrachtungen »)

 

Zueignung

Ländlich

An den Mond

Lesebuch

An die Günstigen

Mahomets Gesang

Axiom

Mailied

Beherzigung

Märkte reizen dich zum Kauf

Blinde Kuh

Meine Göttin

Brautnacht

Mignon 1

Das Göttliche

Mignon II

Das Veilchen

Mut

Der Fischer

Nachtgesang

Der Gott und die Bajadere

Natur und Kunst

Der König in Thule

Neue Liebe, neues Leben

Der Sänger

Philine

Der Schatzgräber

Rastlose Liebe

Der Totentanz

Rezensent

Der Zauberlehrling

Séance

Die Freuden

Selige Sehnsucht

Die Jahre nahmen dir

Suleika

Ein Andres

Urworte, Orphisch

Ein gleiches

Vanitas! Vanitatum Vanitas!

Erinnerung

Warum ist Wahrheit fern und weit?

Erlkönig

Was machst du an der Welt

Erster Verlust

Was wird mir jede Stunde so Bang?

Freisinn

Wenn ihrs nicht fühlt

Gedicht

Wenn in Wäldern Baum an Bäumen

Gefunden

Wie ich so ehrlich war

Gesang der Geister über den Wassern

Willkommen und Abschied

Grenzen der Menschheit

Worklage

Harfenspieler

Zum neuen Jahr

Heidenröslein

Zum Sehen geboren

Jene garstige Vettel

 

 

 

Bonne lecture ! et amusez-vous bien avec l’humoriste Goethe (je vous conseille particulièrement : Rezensent & Séance, dans le premier il parle des pique-assiettes tandis que dans le second il se moque très gentiment et avec humour de l’Académie Française – et ceci explique aussi pour quel motif il n’y a pas son équivalent en Allemagne, encore aujourd’hui).

 

Cedi dit en passant, ceux et celles qui comprennent l’allemand, voici le résumé de la biographie de Goethe (rédigée par Franz Sutter) que je recopie à partir du livre sur papier :

 

1749 in Frankfurt am Main geboren, studierte Jura in Leipzig und Straßburg. Mit dem Werther-Roman schrieb er 1774 den ersten internationalen Bestseller und ging ein Jahr später auf Einladung des Herzogs Karl August von Sachsen nach Weimar, wo er es bis zum Bergwerksleiter, Direktor des Weimarer Hoftheaters und Staatminister brachte. Der bekannteste Vertreter des Sturm und Drang wandelte sich unter dem Einfluss des Hoflebens und der ersten Italienreise zum Vollender des klassischen Formideals. Seinem Freund Friedrich Schiller verdankte er entscheidende Anstöße zur Vollendung wichtiger Werk, wie etwa des Faust, an dem er während 60 Jahren schrieb. Goethe prägte den Begriff „Weltliteratur“ als Gegensatz zur nationalen, und er ist der erste und bis heute der bedeutendste Deutsche, der zu ihren Vertretern gehört.

 

Bisous,

@+

Sab

10 avril 2012

Question posée par J.W. von Goethe

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Ah que coucou!

 

Dans un de ses poèmes, le célèbre écrivain allemand Goethe pose la question suivante : « Pourquoi la Vérité semble-t-elle si proche et si éloignée ? » Quelle réponse apporteriez-vous à cette question ? Maman, tais-toi, je t’ai donné la solution tout à l’heure ;) mdrrr !!

Alors ? vous séchez ou vous connaissez déjà la réponse parce que vous connaissez le poème dont je parle ???

 

 

 

 

La Réponse ???

Non, je vous laisse encore un petit temps pour réfléchir…

 

Tic tac

Tic tac

Tic tac

Tic tac

 

 

alors, alors ???

 

Vous donnez votre langue au chat ???

 

tic tac

tic tac

tic tac

tic tac

 

 

Mais vais-je vous la communiquer ;) ???

 

tic tac

tic tac

tic tac

tic tac

 

Allez, je vais prendre pitié de vous…

Profitez-en : aujourd’hui j’ai décidé d’être gentille ;)

 

Tic tac

Tic tac

Tic tac

Tic tac

 

Et bien voici la réponse que Goethe a donnée :

 

tic tac

tic tac

tic tac

 

« La Vérité nous semble être si proche et si éloignée parce que…

 

nous avons du mal à la voir du premier coup »

 

mdrrr !!

 

Qui avait bien répondu ;) ?? et sans tricher ;) ???

 

Bisous,

@+

Sab

10 avril 2012

Antoine de St Exupéry : Le Petit Prince

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Ah que coucou !

 

Pour vous reposer un peu les neurones et aussi pour nos têtes blondes, je vous propose aujourd’hui au cas où fort improbable vous ne l’ayez pas encore lu :

 

Petit-Prince

Le Petit Prince

accessible au téléchargement et/ou la lecture en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

 

Antoine de St Exupéry (pour ceux qui ont un trou de mémoire, cliquer ici pour accéder directement à la page que lui a consacré l’encyclopédie Larousse) comme vous le savez déjà n’a pas écrit seulement CE livre. Il est l’auteur d’autres ouvrages (tels que Courrier-Sud, Vol de nuit) qui lui ont donné sa notoriété et le titre d’aviateur-écrivain

 

Bonne lecture !

Bisous,

@+

Sab

9 avril 2012

La Machine d’Anticythère

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Ah que coucou !

 

Bon, aujourd’hui nous rencontrons un léger problème technique. Le lien vers une vidéo que je voulais mettre dépassant les 7 jours de Replay ARTE, la vidéo n’est donc plus disponible dans sa version STREAMING sur le site d’ARTE… GRRRRRRRRRRRRRRR !!!!

Mais bon, j’ai trouvé ce documentaire sur un lien à télécharger ,à condition que vous soyez abonné (c’est gratuit, c’est encore bon en cliquant ici. Ce documentaire nous parle de la fabuleuse machine découverte en 1901 au large des côtes de l’ile grecque Anticythère. Cette machine, dont les chercheurs ont réussi aujourd’hui à expliquer presque tous les rouages paraitrait avoir été un bébé scientifique du célèbre mathématicien et physicien grecque Andromède. Son système de roues et de poulies ayant été le même pour éviter à la cité de Syracuse de tomber aux mains des Romains…

 

Bon, bref, voici une invention qui est l’ancêtre de nos calculatrices de la fin du 20e siècle pouvant prévoir les mouvements de la Lune et du Soleil dans le futur. Et malgré que cette invention soit de 200 ans avant notre ère, elle a fait cogiter nombreux de nos scientifiques et elle continue à les faire réfléchir. Ce documentaire vous explique où nous en sommes aujourd’hui concernant les connaissances techniques pour réussir à faire fonctionner cette machine dotée de plus d’une vingtaine de poulies…

 

Bisous,

@+

Sab

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8 avril 2012

Des embryons reptiles fossilisés...

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Ah que coucou!

 

Voici une petite découverte qui risque de faire du bruit dans les annales de la science et de l'Histoire. En Uruguay des fossils d'embryons ont été découverts datant environ de 280 millions d'années (pour accéder à l'article et photo, cliquez ici)

 

Bisous,

@+

Sab

8 avril 2012

Brüder Grimm: Die Sterntaler

Ah que coucou!

 

Voici le 12e et dernier conte des frères Grimm que vous connaissez déjà car il s'agit de la version allemande d'une pluie d'étoiles.

 

Joyeuses Paques!

 

Bisous,

@+

Sab

 

 

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Die Sterntaler

 

Es war einmal ein kleines Mädchen, dem war Vater und Mutter gestorben, und es war so arm, dass es kein Kämmerchen mehr hatte, darin zu wohnen und kein Bettchen mehr, darin zu schlafen und endlich gar nichts mehr als die Kleider auf dem Leib und ein Stückchen Brot in der Hand, das ihm ein mitleidiges Herz geschenkt hatte. Es war aber gut und fromm. Und weil es so von aller Welt verlassen war, ging es im Vertrauen auf den lieben Gott hinaus ins Feld. Da begegnete ihm ein armer Mann, der sprach: „Ach, gib mir etwas zu essen, ich bin so hungrig“. Es reichte ihm das ganze Stückchen Brot und sagte: „Gott segne dir’s“ und ging weiter. Da kam ein Kind, das jammerte und sprach: „Es friert mich so an meinem Kopfe, schenk mir etwas, womit ich ihn bedecken kann“. Da tat es seine Mütze ab und gab sie ihm. Und als es noch eine Weile gegangen war, kam wieder ein Kind und hatte kein Leibchen an und fror; da gab es ihm seins, und noch weiter, da bat eins um ein Röcklein, das es auch von sich hin. Endlich gelangte es in einen Wald, und es war schon dunkel geworden, da kam noch eins und bat um ein Hemdlein, und das fromme Mädchen dachte: „Es ist Nacht, da sieht dich niemand, du kannst wohl dein Hemd weggeben“, und zog das Hemd ab und gab es auch noch hin. Und wie es so stand und gar nichts mehr hatte, fielen auf einmal die Sterne vom Himmel, und waren lauter harte blanke Taler; und ob es gleich sein Hemdlein weggeben, so hatte es ein neues an und das war vom allerfeinsten Linnen. Da sammelte es sich die Taler hinein und war reich für sein Lebtag.

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8 avril 2012

Brüder Grimm: Schneeweißchen und Rosenrot

Ah que coucou!

 

Voici le 11e conte des frères Grimm que vous connaissez déjà car il s'agit de la version allemande de Blanche-Neige et Rose-Rouge.

 

Bisous,

@+

Sab

 

 

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Schneeweißchen und Rosenrot

 

Eine arme Witwe, die lebte einsam in einem Hüttchen, und vor dem Hüttchen war ein Garten, darin standen zwei Rosenbäumchen, davon trug das eine weiße, das andere rote Rosen; und sie hatte zwei Kinder, die glichen den beiden Rosenbäumchen, und das eine hieß Schneeweißchen war nur stiller und sanfter als Rosenrot. Rosenrot sprang lieber in den Wiesen und Feldern umher, suchte Blumen und fing Sommervögel; Schneeweißchen aber saß daheim bei der Mutter, half ihr im Hauswesen, oder las ihr vor, wenn nichts zu tun war. Die beiden Kinder hatten einander so lieb, dass sie sich immer an den Händen fassten, so oft sie zusammen ausgingen; und wenn Schneeweißchen sagte: „Wir wollen uns nicht verlassen“, so antwortete Rosenrot: „Solange wir leben nicht“, und die Mutter setzte hinzu: „Was das eine hat, soll’s mit dem andern teilen“. Oft liefen sie im Walde allein umher und sammelten rote Beeren, aber kein Tier tat ihnen etwas zuleid, sondern sie kamen vertraulich herbei: das Häschen frass ein Kohlblatt aus ihrer Händen, das Reh graste an ihrer Seite, der Hirsch sprang ganz lustig vorbei und die Vögel blieben auf den Ästen sitzen und sangen, was sie nur wussten. Kein Unfall traf sie, wenn sie sich im Walde verspätet hatten und die Nacht sie überfiel, so legten sie sich nebeneinander auf das Moos und schliefen, bis der Morgen kam, und die Mutter wusste das und hatte ihretwegen keine Sorge. Einmal, als sie im Walde übernachtet hatten und das Morgenrot sie aufweckte, da sahen sie ein schönes Kind in einem weißen glänzenden Kleidchen neben ihrem Lager sitzen. Es stand auf und blickte sie ganz freundlich an, sprach aber nichts und ging in den Wald hinein. Und als sie sich umsahen, so hatten sie ganz nahe bei einem Abgrunde geschlafen, und wären gewiss hineingefallen, wenn sie in der Dunkelheit noch ein paar Schritte weiter gegangen wären. Die Mutter aber sagte ihnen, das müsste der Engel gewesen sein, der gute Kinder bewache.

Schneeweißchen und Rosenrot hielten das Hüttchen der Mutter so reinlich, dass es eine Freude war, hineinzuschauen. Im Sommer besorgte Rosenrot das Haus und stellte der Mutter jeden Morgen, ehe sie aufwachte, einen Blumenstrauß vors Bett, darin war von jedem Bäumchen eine Rose. Im Winter zündete Schneeweißchen das Feuer an und hing den Kessel an den Feuerhaken, und der Kessel war von Messing, glänzte aber wie Gold, so rein war er gescheuert. Abends wenn die Flocken fielen, sagte die Mutter: „Geh, Schneeweißchen, und schieb den Riegel vor“, und dann setzten sie sich an den Herd, und die Mutter nahm die Brille und las aus einem großen Buche vor, und die beiden Mädchen hörten zu, saßen und spannen; neben ihnen lag ein Lämmchen auf dem Boden, und hinter ihnen auf einer Stange saß ein weißes Täubchen und hatte seinen Kopf unter den Flügel gesteckt.

Enes Abends, als sie so vertraulich beisammensaßen, klopfte jemand an die Türe, als wollte er eingelassen sein. Die Mutter sprach: „Geschwind, Rosenrot, mach auf, es wird ein Wanderer sein, der Obdach sucht“. Rosenrot ging und schob den Riegel weg und dachte es wäre ein armer Mann, aber der war es nicht, es war ein Bär, der seinen dicken schwarzen Kopf zur Türe hereinstreckte. Rosenrot schrie laut und sprang zurück; das Lämmchen blökte, das Täubchen flatterte auf und Schneeweißchen versteckte sich hinter der Mutter Bett. Der Bär aber fing an zu sprechen und sagte: „Fürchtet euch nicht, ich tue euch nichts zuleid, ich bin halb erfroren und will mich nur ein wenig bei euch wärmen“. – „Du armer Bär“, sprach die Mutter, „leg dich ans Feuer, und gib nur acht, dass dir dein Pelz nicht brennt“. Dann rief sie: „Schneeweißchen, Rosenrot, kommt hervor, der Bär tut euch nichts, er meint’s ehrlich“. Da kamen sie beide heran, und nach und nach näherten sich auch das Lämmchen und Täubchen und hatten keine Furcht vor ihm. Der Bär sprach: „Ihr Kinder, klopft mir den Schnee ein wenig aus dem Pelzwerk“, und sie holten den Besen und kehrten dem Bär das Fell rein; er aber streckte sich ans Feuer und brummte ganz vergnügt und behaglich. Nicht lange, so wurden sie ganz vertraut und trieben Mutwillen mit dem unbeholfenen Gast.

Sie zausten ihm das Fell mit den Händen, setzten ihre Füßchen auf seinen Rücken und walgerten ihn hin und her, oder sie nahmen eine Haselrute und schlugen auf ihn los, und wenn er brummte, so lachten sie. Der Bär liess sich’s aber gerne gefallen, nur wenn sie’s gar zu arg machten, rief er: „Lasst mich am Leben, ihr Kinder:

Schneeweißchen, Rosenrot,

Schlägst dir den Freier tot.“

Als Schlafenzeit war und die andern zu Bett gingen, sagte die Mutter zu dem Bär: „Du kannst in Gottes Namen da am Herde liegenbleiben, so bist du vor der Kälte und dem bösen Wetter geschützt.“ Sobald der Tag graute, ließen ihn die beiden Kinder hinaus, und er trabte über den Schnee in den Wald hinein. Von nun an kam der Bär jeden Abend zu der bestimmten Stunde, legte sich an den Herd und erlaubte den Kinder, Kurzweil mit ihm zu treiben, soviel sie wollten; und sie waren so gewöhnt an ihn, dass die Türe nicht eher zugeriegelt ward, als bis der schwarze Gesell angelangt war.

 

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Als das Frühjahr herangekommen und draussen alles grün war, sagte der Bär eines Morgens zu Schneeweißchen: „Nun muss ich fort und darf den ganzen Sommer nicht wiederkommen“. – „Wo gehst du denn hin, lieber Bär?“ fragte Schneeweißchen. „Ich muss in den Wald und meine Schätze vor den bösen Zwergen hüten; im Winter, wenn die Erde hartgefroren ist, müssen sie wohl unten bleiben und können sich nicht durcharbeiten, aber jetzt, wenn die Sonne die Erde aufgetaut und erwärmt hat, da brechen sie durch, steigen herauf, suchen und stehlen; was einmal in ihren Händen ist und in ihren Höhlen liegt, das kommt so leicht nicht wieder an des Tages Licht“. Schneeweißchen war ganz traurig über den Abschied und als es ihm die Türe aufriegelte, und der Bär sich hinausdrängte, blieb er an dem Türhaken hängen und ein Stück seiner Haut riss auf, und da war es Schneeweißchen, als hätte es Gold durchschimmern gesehen; aber es war seiner Sache nicht gewiss. Der Bär lief eilig fort und war bald hinter den Bäumen verschwunden.

Nach einiger Zeit schickte die Mutter die Kinder in den Wald, Reisig zu sammeln. Da fanden si draußen einen großen Baum, der lag gefällt auf dem Boden, und an dem Stamme sprang zwischen dem Gras etwas auf und ab, sie konnten aber nicht unterscheiden, was er war. Als sie näherkamen, sahen sie einen Zwerg mit einem alten verwelkten Gesicht und einem ellenlangen schneeweißen Bart. Das Ende des Bartes war in eine Spalte des Baumes eingeklemmt, und der Kleine sprang hin und her, wie ein Hündchen an einem Seil und wusste nicht, wie er sich helfen sollte. Er glotzte die Mädchen mit seine roten feurigen Augen an und schrie: „Was steht ihr da? Könnt ihr nicht herbei gehen und mir Beistand leisten?“ – „Was hast du angefangen, keines Männchen?“ fragte Rosenrot. „Dumme neugierige Gans“, antwortete der Zwerg, „den Baum habe ich mir spalten wollen, um kleines Holz in der Küche zu haben; bei den dicken Klötzen verbrennt gleich das bisschen Speise, das unsereiner braucht, der nicht so viel hinunterschlingt, als ihr grobes, gieriges Volk. Ich hatte den Keil schon glücklich hineingetrieben, und es wäre alles nach Wunsch gegangen, aber das verwünschte Holz war zu glatt und sprang unversehens heraus, und der Baum fuhr so geschwind zusammen, dass ich meinen schönen weißen Bart nicht mehr herausziehen konnte; nun steckt er drin, und ich kann nicht fort. Da lachen die albernen glatten Milchgesichter! Pfui, was seid ihr garstig!“ Die Kinder gaben sich alle Mühe, aber sie konnten den Bart nicht herausziehen, er steckte zu fest. „Ich will laufen und Leute herbeiholen“, sagte Rosenrot. „Wahnsinnige Schafsköpfe“, schnarrte der Zwerg, „wer wird gleich Leute herbeirufen, ihr seid mir schon um zwei zu viel, fällt euch nichts Besseres ein?“ – „Sei nur nicht ungeduldig“, sagte Schneeweißchen, „ich will schon Rat schaffen“, holte sein Scherchen aus der Tasche und schnitt das Ende des Bartes ab. Sobald der Zwerg sich freifühlte, griff er nach einem Sack, der zwischen den Wurzeln des Baumes steckte und mit Gold gefüllt war, hob ihn heraus und brummte vor sich hin, „ungehobeltes Volk, schneidet mir ein Stück von meinem stolzen Barte ab! lohn’s euch der Kuckuck!“ damit schwang er seinen Sack auf den Rücken und ging fort, ohne die Kinder nur noch einmal anzusehen.

Einige Zeit danach wollten Schneeweißchen und Rosenrot ein Gericht Fische angeln. Als sie nahe bei dem Bach waren, sahen sie, dass etwas wie eine große Heuschrecke nach dem Wasser zu hüpfte, als wollte es hineinspringen. Sie liefen heran und erkannten den Zwerg. „Wo willst du hin?“ fragte Rosenrot, „du willst doch nicht ins Wasser?“ – „Solch ein Narr bin ich nicht“, schrie der Zwerg, „seht ihr nicht, der verwünschte Fisch will mich hineinziehen?“ Der Kleine hatte da gesessen und geangelt, und unglücklicherweise hatte der Wind seinen Bart mit der Angelschnur verflochten; als gleich darauf ein großer Fisch anbiss, fehlten dem schwachen Geschöpf die Kräfte, ihn herauszuziehen; der Fisch behielt die Oberhand und riss den Zwerg zu sich hin. Zwar hielt er sich an allen Halmen und Binsen, aber das half nicht viel, er musste den Bewegungen des Fisches folgen und war in beständiger Gefahr, ins Wasser gezogen zu werden. Die Mädchen kamen zu rechter Zeit, hielten ihn fest und versuchten, den Bart von der Schnur loszumache, aber vergebens, Bart und Schnur waren fest ineinander verwirrt. Es blieb nichts übrig als das Scherchen hervorzuholen und den Bart abzuschneiden, wobei ein kleiner Teil desselben verlorenging. Als der Zwerg das sah, schrie er sie an: „Ist das Manier, ihr Lorche, einem das Gesicht zu schänden? Nicht genug, dass ihr mir den Bart unten abgestützt habt, jetzt schneidet ihr mir den besten Teil davon ab, ich darf mich vor den Meinigen gar nicht sehen lassen. Dass ihr laufen müsstet und die Schuhsohlen verloren hättet!“ Dann holte er einen Sack Perlen, der im Schilfe lag, und ohne ein Wort weiter zu sagen, schleppte er ihn fort und verschwand hinter einem Stein.

Es trug sich zu, dass bald hernach die Mutter die beiden Mädchen nach der Stadt schickte, Zwirn, Nadeln, Schnüre und Bänder einzukaufen. Der Weg führte sie über eine Heide, auf der hier und da mächtige Felsenstücke zerstreut lagen. Da sahen sie einen großen Vogel in der Luft schweben, der langsam über ihnen kreiste, sich immer tiefer herabsenkte und endlich nicht weit bei einem Felsen niederstieß. Gleich darauf hörten sie einen durchdringenden, jämmerlichen Schrei. Sie liefen herzu und sahen mit Schrecken, dass der Adler ihren alten Bekannten, den Zwerg, gepackt hatte und ihn forttragen wollte. Die mitleidigen Kinder hielten gleich das Männchen fest und zerrten sich so lange mit dem Adler herum, bis er seine Beute fahren ließ. Als der Zwerg sich von dem ersten Schrecken erholt hatte, schrie er mit seiner kreischenden Stimme: „Konntet ihr nicht säuberlicher mit mir umgehen? Gerissen habt ihr an meinem dünnen Röckchen, dass es überall zerfetzt und durchlöchert ist, unbeholfenes und täppisches Gesindel, „das ihr seid!“ Dann nahm er einen Sack mit Edelsteinen und schlüpfte wieder unter den Felsen in sein Höhle. Die Mädchen waren an seinen Undank schon gewöhnt, setzten ihren Weg fort und verrichteten ihr Geschäft in der Stadt. Als sie beim Heimweg wieder auf die Heide kamen, überraschten sie den Zwerg, der auf einem reinlichen Plätzchen seinen Sack mit Edelsteinen ausgeschüttet und nicht gedacht hatte, dass so spät noch jemand daherkommen würde. Die Abendsonne schien über die glänzenden Steine, sie schimmerten und leuchteten so prächtig in allen Farben, dass die Kinder stehen blieben und sie betrachteten. „Was steht ihr da und habt Maulaffen feil!“ schrie der Zwerg, und sein aschgraues Gesicht ward zinnoberrot vor Zorn. Er wollte mit seinen Scheltworten fortfahren, als sich ein lautes Brummen hören liess und ein schwarzer Bär aus dem Walde herbei trabte. Erschrocken sprang der Zwerg auf, aber er konnte nicht mehr zu seinem Schlupfwinkel gelange, der Bär war schon in seiner Nähe. Da rief er in Herzensangst: „Lieber Herr Bär verschont mich, ich will Euch alle meine Schätze geben, sehet, die schönen Edelsteine, die da liegen. Schenkt mir das Leben, was habt Ihr an mir kleinen, schmächtigen Kerl? Ihr spürt mich nicht zwischen den Zähen; da, die beiden gottlosen Mädchen packt, das sind für euch zarte Bissen, fett wie junge Wachteln, die fresst in Gottes Namen“. Der Bär kümmerte sich um seine Worte nicht, gab dem boshaften Geschöpft einen einzigen Schlag mit der Tatze, und es regte sich nicht mehr.

Die Mädchen waren fortgesprungen, aber der Bär rief ihnen nach: „Schneeweißchen und Rosenrot, fürchtet euch nicht, wartet, ich will mit euch gehen“. Da erkannten sie seine Stimme und blieben stehen, und als der Bär bei ihnen war, fiel plötzlich die Bärenhaut ab, und er stand da als ein schöner Mann, und war ganz in Gold gekleidet. „Ich bin eines Königs Sohn“, sprach er, „und war von dem gottlosen Zwerg, der mir meine Schätze gestohlen hatte, verwünscht, als ein wilder Bär in dem Walde zu laufen, bis ich durch seinen Tod erlöst würde. Jetzt hat er sein wohlverdiente Strafe empfangen.“

Schneeweißchen ward mit ihm vermählt und Rosenrot mit seinem Bruder, und sie teilten die großen Schätze miteinander, die der Zwerg in seine Höhle zusammengetragen hatte. Die alte Mutter lebte noch lange Jahre ruhig und glücklich bei ihren Kindern. Die zwei Rosenbäumchen aber nahm sie mit, und sie standen vor ihrem Fenster und trugen jedes Jahr die schönsten Rosen, weiß und rot.

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8 avril 2012

Brüder Grimm: Der Zaunkönig

Ah que coucou!

 

Comme promis aujourd'hui je poste les derniers contes des frères Grimm que je possède dans ma bibliothèque, ensuite nous retournerons pendant un temps du côté de la science et de l'espace où, mine de rien, l'actualité a été "riche".

Voici donc le 10e conte des frères Grimm que vous connaissez déja tous car il s'agit de la traduction allemande du Roitelet.

 

Bisous,

@+

Sab

 

 

 

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Der Zaunkönig

 

In den alten Zeiten, da hatte jeder Klang noch Sinn und Bedeutung. Wenn der Hammer des Schmieds ertönte, so rief er: „Smiet mi to! Smiet mi to!“ Wenn der Hobel des Tischlers scharrte, so sprach er: „Dor häst! Dor, dor häst!“ Fing das Räderwerk der Mühle an zu klappern, so sprach es: „Help, Herr Gott! Help, Herr Gott!“ Und war der Müller ein Betrüger, und ließ die Mühle an, so sprach sie hochdeutsch und fragt erst langsam: „Wer ist da? Wer ist da?“ Dann antwortete sie schnell: „Der Müller! Der Müller!“ und endlich ganz geschwind: „Stiehlt tapfer, vom Achtel drei Sechser.“

Zu dieser Zeit hatten auch die Vögel ihre eigene Sprache, die jedermann verstand, jetzt lautet es nur wie ein Zwitschern, Kreischen und Pfeifen, und bei einigen wie Musik ohne Worte. Es kam aber den Vögeln in den Sinn, sie wollten nicht länger ohne Herrn und einen unter sich zu ihrem König wählen. Nur einer von ihnen, der Kiebitz, war dagegen; frei hatte er gelebt und frei wollte er sterben, und angstvoll hin- und herfliegend, rief er: „Wo bliew ick? Wo bliew ick?“ Er zog sich zurück in einsame und unbesuchte Sümpfe und zeigte sich nicht wieder unter seinesgleichen.

Die Vögel wollten sich nun über die Sache besprechen, und an einem schönen Maimorgen kamen sie alle aus Wäldern und Feldern zusammen, Adler und Buchfinke, Eule und Krähe, Lerche und Sperling, was soll ich sie alle nennen? Selbst der Kuckuck kam und der Wiedehopf, sein Küster, der so heißt, weil er sich immer ein paar Tage früher hören lässt; auch ein ganz kleiner Vogel, der noch keinen Namen hatte, mischte sich unter die Schar. Das Huhn, das zufällig von der ganzen Sache nichts gehört hatte, verwunderte sich über die große Versammlung. „Wat, wat, wat is den dar to don?“ gackerte es, aber der Hahn beruhigte seine liebe Henne und sagte: „Luter riek Lüd“, erzählte ihr auch, was sie vor hätten. Es ward aber beschlossen, dass der König sein sollte, der am höchsten fliegen könnte. Ein Laubfrosch, der im Gebüsche saß, rief, als er das hörte, warnend: „Natt, natt, natt! Natt, natt, natt!“ weil er meinte, es würden deshalb viel Tränen vergossen werden. Die Krähe aber sagte: „Quark ok“, es sollte alles friedlich abgehen.

Es ward nun beschlossen, sie wollten gleich an diesem schönen Morgen aufsteigen, damit niemand hinterher sagen könnte: „Ich wäre wohl noch höher geflogen, aber der Abend kam, da konnte ich nicht mehr“. Auf ein gegebenes Zeichen erhob sich also die ganze Schar in die Lüfte. Der Staub stieg da von dem Felde auf, es war ein gewaltiges Sausen, und Brausen und Fittichschlage, und es sah aus, als wenn eine schwarze Wolke dahinzöge. Die kleineren Vögel aber blieben bald zurück, konnten nicht weiter und fielen wieder auf die Erde. Die größeren hielten’s länger aus, aber keiner konnte es dem Adler gleich tun, der stieg so hoch, dass er der Sonne hätte die Augen aushacken können. Und als er sah, dass die andern nicht zu ihm herauf konnten, so dachte er: „Was willst du noch höher fliegen, du bist doch der König“, und fing an, sich wieder herab zu lassen. Die Vögel unter ihm riefen ihm alle gleich zu: „Du musst unser König sein, keiner ist höher geflogen als du“. – „Ausgenommen ich“, schrie der keine Kerl ohne Namen, der sich in die Brustfedern des Adlers verkrochen hatte. Und da er nicht müde war, so stieg er auf und stieg so hoch, dass er Gott auf seinem Stuhle konnte sitzen sehen. Als er aber so weit gekommen war, legte er seine Flügel zusammen, sank herab und rief unten mit feiner, durchdringender Stimme: „König bün ick! König bün ick!“

„Du unser König?“ schrien die Vögel zornig, „durch Ränke und Listen hast du es dahin gebracht.“ Sie machten eine andere Bedingung, der sollte König sein, der am tiefsten in die Erde fallen könnte. Wie klatschte da die Ganz mit ihrer breiten Brust wieder auf das Land! Wie scharrte der Hahn schnell ein Loch! Die Ente kam am schlimmsten weg, sie sprang in einen Graben, verrenkte sich aber die Beine und watschelte fort zum nahen Teich mit dem Ausruf: „Pracherwerk! Pracherwerk!“ Der Kleine ohne Namen aber suchte ein Mäuseloch, schlüpfte hinab und rief mit seiner feinen Stimme heraus: „König bün ick! König bün ick!“

„Du unser König?“ riefen die Vögel noch zorniger, „meinst du, deine Listen sollten gelten?“ Sie beschlossen, ihn in seinem Loch gefangen zu halten und auszuhungern. Die Eule ward als Wache davor gestellt; sie sollte den Schelm nicht herauslassen, so lieb ihr das Leben wäre. Als er aber Abend geworden war und die Vögel von der Anstrengung beim Fliegen große Müdigkeit empfanden, so gingen sie mit Weib und Kind zu Bett. Die Eule allein blieb bei dem Mäuseloch stehen und blickte mit ihren großen Augen unverwandt hinein. Indessen war sie auch müde geworden und dachte: „Ein Auge kannst du wohl zutun, du wachst ja noch mit dem andern, und der kleine Bösewicht soll nicht aus seinem Loch heraus“. Also tat sie das eine Auge zu und schaute mit dem andern steif auf das Mäuseloch. Der Kerl guckte mit dem Kopf heraus und wollte wegwitschen, aber die Eule trat gleich davor, und er zog den Kopf wieder zurück. Dann tat die Eule das eine Auge wieder auf und das andere zu, und wollte so die ganze Nacht abwechseln. Aber als sie das eine Auge wieder zumachte, vergaß sie, das andere aufzutun, und sobald die beiden Augen zu waren, schlief sie ein. Der Kleine merkte das bald und schlüpfte weg.

Vor der Zeit an darf sich die Eule nicht mehr am Tag sehen lassen, sonst sind die andern Vögel hinter ihr her und zerzausen ihr das Fell. Sie fliegt nur zur Nachtzeit aus, hasst aber und verfolgt die Mäuse, weil sie solche böse Löcher machen. Auch der kleine Vogel lässt sich nicht gerne sehen, weil er fürchtet, es ginge ihm an den Kragen, wenn er erwischt würde. Er schlüpft in den Zäunen herum, und wenn er ganz sicher ist, ruft er wohl zuweilen: „König bün ick!“ Und deshalb nennen ihn die andern Vögel aus Spott Zaunkönig. – Niemand aber war froher als die Lerche, dass sie dem Zaunkönig nicht zu gehorchen brauchte. Wie sich die Sonne blicken lässt, steigt sie in die Lüfte und ruft: „Ach, wo is dat schön! Schön is dat! Schön! Schön! Ach, wo is dat schön!“

 

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7 avril 2012

Brüder Grimm: Hans im Glück

Ah que coucou!

 

Voici le 10e conte des frères Grimm que vous connaissez déjà tous car il s'agit, en français, du conte: "Jean, le Chanceux". Demain je posterai les 3 derniers contes racontés dans ce livre...

 

Bonne lecture!

Bisous,

@+

Sab

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Hans im glück

 

Hans hatte sieben Jahre bei seinem Herrn gedient, da sprach er zu ihm: „Herr, meine Zeit ist herum, nun wollte ich gerne wieder heim zu meiner Mutter, gebt mir meinen Lohn.“ Der Herr antwortete: „Du hast mir treu und ehrlich war, so soll der Lohn sein“ und gab ihm ein Stück Gold, das so groß als Hansens Kopf war. Hans zog sein Tüchlein aus der Tasche, wickelte den Klumpen hinein, setzte ihn auf die Schulter und machte sich den Weg nach Haus. Wie er so dahinging und immer ein Bein vor das andere setzte, kam ihm ein Reiter in die Augen, der frisch und fröhlich auf einem munteren Pferd vorbeitrabte. „Ach“, sprach Hans ganz laut, „was ist den Reiten ein schönes Ding! Da sitzt einer wie auf einem Stuhl, stößt sich an keinen Stein, spart die Schuh und kommt fort, er weiß nicht, wie“. Der Reiter, der das gehört hatte, hielt an und rief: „Ei, Hans, warum läufst du auch zu Fuß?“ – „Ich muss ja wohl“, antwortete er, „da habe ich einen Klumpen heimzutragen, es ist zwar Gold, aber ich kann den Kopf dabei nicht geradhalten, auch drückt mir’s auf die Schulter“. – „Weißt du was“, sagte der Reiter, „wir wollen tauschen, ich geb dir mein Pferd und du gibst mir deine Klumpen“. – „Von Herzen gern“, sprach Hans, „aber ich sage Euch, Ihr müsst Euch damit schleppen“. Der Reiter stieg ab, nahm das Gold und half dem Hans hinauf, gab ihm die Zügel fest in die Hände und sprach: „Wenn’s nun recht geschwind soll gehen, so musst du mit der Zunge schnalzen und hopp, hopp rufen.“

Hans war seelenfroh, als er auf dem Pferde saß und so frank und frei dahinritt. Über ein Weilchen fiel’s ihm ein, es sollte noch schneller gehen, und fing an, mit der Zunge zu schnalzen und hopp, hopp zu rufen. Das Pferd setzte sich in starken Trab, und ehe sich’s Hans versah, war er abgeworfen und lag in einem Graben, der die Äcker von der Landstraße trennte. Das Pferd wäre auch durchgegangen, wenn es nicht ein Bauer aufgehalten hätte, der des Weges kam und ein Kuh vor sich hertrieb. Hans suchte seine Glieder zusammen und machte sich wieder auf die Beine. Er war aber verdrießlich und sprach zu dem Bauer: „Es ist schlechter Spaß, das Reiten, zumal, wenn man auf so eine Mähre gerät wie diese die stößt und einen herab wirft, dass man den Hals brechen kann; ich setze mich nun und nimmermehr wieder auf. Da lob ich mir Eure Kuh, da kann einer mit Gemächlichkeit hinterhergehen und hat obendrein seine Milch, Butter und Käse jeden Tag gewiss. Was gäb ich darum, wenn ich so eine Kuh hätte!“ – „Nun“, sprach der Bauer, „geschieht Euch so ein großer Gefallen, so will ich Euch wohl die Kuh für das Pferd vertauschen“. Hans willigte mit tausend Freuden ein; der Bauer schwang sich aufs Pferd und ritt eilig davon.

Hans trieb sein Kuh ruhig vor sich her und bedachte den glücklichen Handel. „Hab ich nur ein Stück Brot, und daran wird mir’s doch nicht fehlen, so kann ich, so oft mir’s beliebt, Butter und Käse dazu essen; hab ich Durst, so melk ich meine Kuh und trinke Milch. Herz, was verlangst du mehr?“ Als er zu einem Wirtshaus kam, machte er Halt, aß in der großen Freude alles, was er bei sich hatte, sein Mittags- und Abendbrot, rein auf, und ließ sich für seine letzten paar Heller ein halbes Glas Bier einschenken. Dann trieb er seine Kuh weiter, immer nach dem Dorfe seiner Mutter zu. Die Hitze ward drückender, je näher der Mittag kam, und Hans befand sich in einer Heide, die wohl noch eine Stunde dauerte. Da ward es ihm ganz heiß, so dass ihm vor Durst die Zunge am Gaumen klebte. „Dem Ding ist zu helfen“, dachte Hans, „jetzt will ich meine Kuh melken und mich an der Milch laben“. Er band sie an einen dürren Baum, und da er keinen Eimer hatte, so stellte er seine Ledermütze unter, aber wie er sich auch bemühte, es kam kein Tropfen Milch zum Vorschein. Und weil er sich ungeschickt dabei anstellte, so gab ihm das ungeduldige Tier endlich mit einem der Hinterfüße einen solchen Schlag vor den Kopf, dass er zu Boden taumelte und eine Zeitlang sich gar nicht besinnen konnte, wo er war. Glücklicherweise kam gerade ein Metzger des Weges, der auf einem Schubkarren ein junges Schwein liegen hatte. „Was sind das für Streiche!“ rief er und half dem guten Hans auf. Hans erzählte, was vorgefallen war. Der Metzger reichte ihm seine Flasche und sprach: „Da, trinkt einmal und erholt Euch. Die Kuh will wohl keine Milch geben, das ist ein altes Tier, das höchstens noch zum Ziehen taugt oder zum Schlachten“. – „Ei, ei“, sprach Hans und strich sich die Haare über den Kopf, „wer hätte das gedacht! Es ist freilich gut, wenn man so ein Tier ins Haus abschlachten kann, was gibt’s für Fleisch! Aber ich mache mir aus dem Kuhfleisch nicht viel, es ist mir nicht saftig genug. Ja, wer so ein junges Schwein hätte! Das schmeckt anders, dabei noch die Würste.“ – „Hört, Hans,“ sprach da der Metzger, „Euch zuliebe will ich tauschen und will Euch das Schwein für die Kuh lassen“. – „Gott lohn Euch eure Freundschaft“, sprach Hans, übergab ihm die Kuh, ließ sich das Schweinchen vom Karren losmachen und den Strick, woran es gebunden war, in die Hand geben.

Hans zog weiter und überdachte, wie ihm doch alles nach Wunsch ginge, begegnete ihm ja eine Verdrießlichkeit, so würde sie doch gleich wieder gutgemacht. Es gesellte sich danach ein Bursch zu ihm, der trug eine schöne, weiße Gans unter dem Arm. Sie boten einander die Zeit und Hans fing an, von seinem Glück zu erzählen und wie er immer so vorteilhaft getauscht hätte. Der Bursch erzählte ihm, dass er die Gans zu einem Kindtaufschmaus brächte. „Hebt einmal“, fuhr er fort und packte sie bei den Flügeln, „wie schwer sie ist, die ist aber auch acht Wochen lang genudelt worden. Wer in den Braten beißt, muss sich das Fett von beiden Seiten abwischen“. – „Ja“, sprach Hans, und wog sie mit der Hand, „die hat ihr Gewicht, aber mein Schwein ist auch keine Sau“. Indessen sah sich der Bursch nach allen Seiten ganz bedenklich um, schüttelte auch wohl mit dem Kopf. „Hört“, fing er darauf an, „mit Eurem Schweine mag’s nicht ganz richtig sein. In dem Dorf, durch das ich gekommen bin, ist eben dem Schulzen eins aus dem Stall gestohlen worden. Ich fürchte, ich fürchte, Ihr habt’s da in der Hand. Sie haben Leute ausgeschickt, und es wäre ein schlimmer Handel, wenn sie Euch mit dem Schwein erwischten; das Geringste ist, dass Ihr ins finstere Loch gesteckt werdet“. Dem guten Hans ward bang. „Ach Gott“, sprach er, „helft mir aus der Not, Ihr wisst hier herum bessern Bescheid, nehmt mein Schwein da und lasst mir Eure Gans“. – „Ich muss schon etwas aufs Spiel setzen“, antwortete der Bursche, „aber ich will doch nicht schuld sein, dass Ihr ins Unglück geratet“. Er nahm also das Seil in die Hand und trieb das Schwein schnell auf einen Seitenweg fort; der gute Hans aber ging, seiner Sorgen entledigt, mit der Gans unter dem Arme der Heimat zu. „Wenn ich’s recht überlege“, sprach er mit sich selbst, „habe ich noch Vorteil bei dem Tausch; erstlich den guten Braten, hernach die Menge von Fett, die heraus träufeln wird, das gibt Gänsefettbrot auf ein Vierteljahr, und endlich die schönen, weißen Federn, die lass ich mir in mein Kopfkissen stopfen und darauf will ich wohl ungewiegt einschlafen. Was wird meine Mutter eine Freude haben!“

Als er durch das letzte Dorf gekommen war, stand da ein Scherenschleifer mit seinem Karren, sein Rad schnurrte und er sang dazu:

„Ich schleife die Schere und drehe geschwind,

Und hänge mein Mäntelchen nach dem Wind.“

Hans blieb stehen und sah ihm zu; endlich redete er ihn an und sprach: „Euch geht’s wohl, weil Ihr so lustig bein Eurem Schleifen seid“. – „Ja, antwortete der Scherenschleifer, „das Handwerk hat einen güldenen Boden. Ein rechter Schleifer ist in Mann, der, so oft er in die Tasche greift, auch Geld darin findet.

Aber, wo habt Ihr die schöne Gans gekauft?“ – „Die hab ich nicht gekauft, sondern für mein Schwein eingetauscht.“ – „Und das Schwein?“ – „Das hab ich für eine Kuh gekriegt“. – „Und die Kuh?“ – „Die hab ich für ein Pferd bekommen“. – „Und das Pferd?“ – „Dafür hab ich einen klumpen Gold, so groß als mein Kopf, gegeben.“ – „Und das Gold?“ – „Ei, das war mein Lohn für sieben Jahre Dienst.“ – „Ihr habt Euch jederzeit zu helfen gewusst“, sprach der Schleifer, „könnt Ihr’s nun dahin bringen, dass Ihr Geld in der Tasche springen hört, wenn Ihr aufsteht, so habt Ihr Euer Glück gemacht“. – „Wie soll ich das anfangen?“ sprach Hans. „Ihr müsst ein Schleifer werden, wie ich; dazu gehört eigentlich nichts, als ein Wetzstein,

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das andere findet sich schon von selbst. Da hab ich einen, der ist zwar ein wenig schadhaft, dafür sollt Ihr mir aber auch weiter nichts als Eure Gans geben; wollt Ihr das?“ – „Wie könnt Ihr noch fragen“, antwortete Hans, „ich werde ja zum glücklichsten Menschen auf Erden; habe ich Geld, so oft ich in die Tasche greife, was brauche ich da länger zu sorgen? Reichte ihm die Ganz hin und nahm den Wetzstein in Empfang. „Nun“, sprach der Schleifer, und hob einen gewöhnlichen schweren Feldstein, der neben ihm lag, auf, „da habt Ihr noch einen tüchtigen Stein dazu, auf dem sich’s gut schlagen lässt, und Ihr Eure alten Nägel geradeklopfen könnt. Nehmt ihn und hebt ihn ordentlich auf“.

Hans lud den Stein auf und ging mit vergnügtem Herzen weiter; seine Augen leuchteten vor Freude. „Ich muss in einer Glückshaut geboren sein!“ rief er aus, „alles, was ich wünsche, trifft mir ein, wie einem Sonntagskind“. Indessen, weil er seit Tagesanbruch auf den Beinen gewesen war, begann er müde zu werden; auch plagte ihn der Hunger, da er allen Vorrat auf einmal in der Freude über die erhandelte Kuh aufgezehrt hatte. Er konnte endlich nur mit Mühe weitergehen und musste jeden Augenblick haltmachen; dabei drückten ihn die Steine ganz erbärmlich. Da konnte er sich des Gedankens nicht erwehren, wie gut es wäre, wenn er sie gerade jetzt nicht zu tragen brauchte. Wie eine Schnecke kam er zu einem Feldbrunnen geschlichen, wollte da ruhen und sich mit einem frischen Trunk laben; damit er aber die Steine im Niedersitzen nicht beschädigte, legte er sie bedächtig neben sich auf den Rand des Brunnes. Darauf setzte er sich nieder und wollte sich zum Trinken bücken, da versah er’s, stieß ein wenig an und beide Steine plumpten hinab. Hans, als er sie mit seinen Augen in die Tiefe hatte versinken sehen, sprang vor Freuden auf, kniete dann nieder und dankte Gott mit Tränen in den Augen, dass er ihm so gute Art und ohne, dass er sich einen Vorwurf zu machen brauchte, von den schweren Steinen befreit hätte, die ihm allein noch hinderlich gewesen wären. „So glücklich wie ich“, rief er aus, „gibt es keinen Menschen unter der Sonne“. Mit leichtem Herzen und frei von aller Last sprang er nun fort, bis er daheim bei seiner Mutter war

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7 avril 2012

Brüder Grimm: Die Bremer Stadtmusikanten

Ah que coucou!

 

Voici le 9e conte des frères Grimm que vous connaissez déjà tous car il s'agit, en français, du conte: "Les Musiciens de Brême".

 

Bonne lecture!

Bisous,

@+

Sab

 

 

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Die Bremer Stadtmusikanten

 

Es hatte ein Mann einen Esel, der schon lange Jahre die Säcke unverdrossen zur Mühle getragen hatte, dessen Kräfte aber nun zu Ende gingen, so dass er zur Arbeit immer untauglicher ward. Da dachte der Herr daran, ihn aus dem Futter zu schaffen, aber der Esel merkte, dass kein guter Wind wehte, lief fort und machte sich auf den Weg nach Bremen; dort, meinte er, könnte er ja Stadtmusikant werden. Als er ein Weilchen fortgegangen war, fand er einen Jagdhund auf dem Wege liegen, der jappte wie einer, der sich müde gelaufen hat. „Nun, was jappst du so, Packan?“ fragte der Esel. – „Ach“, sagte der Hund, „weil ich alt bin und jeden Tag schwächer werde, auch auf der Jagd nicht mehr fort kann, hat mich mein Herr wollen totschlagen, da hab ich Reißaus genommen; aber womit soll ich nun mein Brot verdienen?“ – „Weißt du was“, sprach der Esel, „ich gehe nach Bremen und werde dort Stadtmusikant, geh mit und lass dich auch bei der Musik annehmen. Ich spiele die Laute, und du schlägst die Pauken.“ Der Hund war’s zufrieden, und sie gingen weiter. Es dauerte nicht lange, so saß da eine Katze an dem Weg und machte ein Gesicht wie drei Tage Regenwetter. „Nun, was ist dir in die Quere gekommen, alter Bartputzer?“ sprach der Esel. – „Wer kann da lustig sein, wenn’s einem an den Kragen geht“, antwortete die Katze, „weil ich nun zu Jahren komme, meine Zähne stumpf werden, und ich lieber hinter dem Ofen sitze und spinne, als nach Mäusen herum jage, hat mich meine Frau ersäufen wollen; ich habe mich zwar noch fortgemacht, aber nun ist guter Rat teuer, wo soll ich hin?“ – „Geh mit uns nach Bremen, du verstehst dich doch auf die Nachtmusik, da kannst du ein Stadtmusikant werden.“ Die Katze hielt das für gut und ging mit. Darauf kamen die drei Landesflüchtigen an einem Hof vorbei, da saß auf dem Tor der Haushahn und schrie aus Leibeskräften. „Du schreist einem durch Mark und Bein“, sprach der Esel, „was hast du vor?“ – „Da hab ich gut Wetter prophezeit“, sprach der Hahn. „weil unserer lieben Frauen Tag ist, wo sie dem Christkindlein die Hemdchen gewaschen hat und sie trocknen will; aber weil morgen zum Sonntag Gäste komme, so hat die Hausfrau doch kein Erbarmen und hat der Köchin gesagt, sie wollte mich morgen in der Suppe essen, und da soll ich mir heut Abend den Kopf abschneiden lassen. Nun schrei ich aus vollem Hals, so lang ich noch kann.“ – „Ei was, du Rotkopf“, sagte der Esel, „zieh lieber mit uns fort, wir gehen nach Bremen, etwas Besseres als den Tod findest du überall; du hast eine gute Stimme, und wenn wir zusammen musizieren, so muss es eine Art haben.“ Der Hahn ließ sich den Vorschlag gefallen, und sie gingen alle viere fort.

Sie konnten aber die Stadt Bremen in einem Tag nicht erreichen und kamen abends in einen Wald, wo si übernachten wollten. Der Esel und der Hund legten sich unter einen großen Baum, die Katze und der Hahn machten sich in die Äste, der Hahn aber flog bis in die Spitze, wo es am sichersten für ihn war. Ehe er einschlief, sah er sich noch einmal nach allen vier Winden um, da deuchte ihn, er sähe in der Ferne ein Fünkchen brennen und rief seinen Gesellen zu, es müsste nicht gar weit ein Haus sein, denn es scheine eine Licht. Sprach der Esel: „So müssen wir uns aufmachen und noch hingehen, denn hier ist die Herberge schlecht.“ Der Hund meinte, ein paar Knochen und etwas Fleisch dran täten ihm auch gut. Also machten sie sich auf den Weg nach der Gegend, wo das Licht war, und sahen es bald heller schimmern, und es ward immer grösser, bis sie vor ein hell erleuchtetes Räuberhaus kamen. Der Esel, als der größte, näherte sich dem Fenstern und schaute hinein. „Was siehst du, Grauschimmel?“ fragte der Hahn. „Was ich sehe?“ antwortete der Esel, „einen gedeckten Tisch mit schönem Essen und Trinken, und Räuber sitzen daran und lassen’s sich wohl sein.“ – „Das wäre was für uns“, sprach der Hahn. „Ja, ja, ach, wären wir da“, sagte der Esel. Da ratschlagten die Tiere, wie sie es anfangen müssten, um die Räuber hinauszujagen und fanden endlich ein Mittel. Der Esel musste sich mit den Vorderfüßen auf das Fenster stellen, der Hund auf des Esels Rücken springen, die Katze auf den Hund klettern, und endlich flog der Hahn hinauf, und setzte sich der Katze auf den Kopf. Wie das geschehen war, fingen sie auf ein Zeichen insgesamt an, ihre Musik zu machen, der Esel schrie, der Hund bellte, die Katze miaute und der Hahn krähte; dann stürzten sie durch das Fenster in die Stube hinein, dass die Scheiben klirrten. Die Räuber fuhren bei dem entsetzlichen Geschrei in die Höhe, meinten nicht anders, als ein Gespenst käme herein und flohen in größter Furcht in den Wald hinaus. Nun setzten sich die vier Gesellen an den Tisch, nahmen mit dem vorlieb, was übrig geblieben war, und aßen, als wenn sie vier Woche hungern sollten.

 

Wie die vier Spielleute fertig waren, löschten sie das Licht aus und suchten sich eine Schlafstätte, jeder nach seiner Natur und Bequemlichkeit. Der Esel legte sich auf den Mist, der Hund hinter die Türe, die Katze auf den Herd an die warme Asche, und der Hahn setzte sich auf den Hahnenbalken; und weil sie müde waren von ihrem langen Weg, schliefen sie auch bald ein. Als Mitternacht vorbei ward und die Räuber von weitem sahen, dass kein Licht mehr im Haus brannte, auch alles ruhig schien, sprach der Hauptmann: „Wir hätten uns doch nicht sollen ins Bockshorn jagen lassen“, und hieß einen hingehen und das Haus untersuchen. Der Abgeschickte fand alles still, ging in die Küche, ein Licht anzuzünden, und weil er die glühenden, feurigen Augen der Katze für lebendige Kohlen ansah, hielt er ein Schwefelhölzchen daran, dass es Feuer fangen sollte. Aber die Katze verstand keinen Spaß, sprang ihm ins Gesicht, spie und kratzte. Da erschrak er gewaltig, lief und wollte zur Hintertür hinaus, aber der Hund, der da lag, sprang auf und biss ihn ins Bein, und als er über den Hof an dem Miste vorbeirannte, gab ihm der Esel noch einen tüchtigen Schlag mit dem Hinterfuß; der Hahn aber, der vom Lärmen aus dem Schlaf geweckt und munter geworden war, rief vom Balken herab: „Kikeriki!“ Da lief der Räuber, was er konnte, zu seinem Hauptmann zurück und sprach: „Ach, in dem Haus sitzt eine greuliche Hexe, die hat mich angehaucht und mit ihren langen Fingern mir das Gesicht zerkratzt, und vor der Türe steht ein Mann mit einem Messer, der hat mich ins Bein gestochen, und auf dem Hof liegt ein schwarzes Ungetüm, das hat mit einer Holzkeule auf mich losgeschlagen, und oben auf dem Dache, da sitzt der Richter, der rief, bringt mir den Schelm her. Da machte ich, dass ich fortkam“. Von nun an getrauten sich die Räuber nicht weiter in das Haus, den vier Bremer Musikanten gefiel’s aber so wohl darin, dass sie nicht wieder heraus wollten. Und der das erzählt hat, dem ist der Mund noch warm.

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7 avril 2012

02 – Le Verbe

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Ah que coucou !

 

Tout le monde sait ce qu’est un verbe et nous savons tous aussi qu’aucune phrase ne peut être compréhensible sans ce mot. Par exemple, tentez de comprendre ce que signifie cette phrase sans ce petit mot :

 

Paul une maison à Paris

 

Si le verbe n’existait pas nous ne pourrions que supposer… Dans la phrase ci-dessus, voulions-nous signaler que Paul possède une maison à Paris, voulions-nous dire qu’il loue ou vend une maison à Paris, etc. ?

 

Le verbe est donc nécessaire à notre compréhension.

 

Mais bon, pour ceux qui préfèrent les définitions voici celle que le Bescherelle donne pour ce mot :

 

Le verbe est l’élément essentiel de la phrase : c’est lui qui en assure l’homogénéité car c’est à lui que se rattachent les différents groupes et compléments. En portant les marques de temps et de mode, il permet à celui qui parle ou écrit de situer dans le temps, par rapport au moment où il s’exprime, les évènements qu’il évoque.

Si la plupart des verbes désignent des actions, certains permettent de manifester des sentiments, des sensations. Le propre d’un verbe est d’évoquer un processus, c’est-à-dire un déroulement dont on peut identifier le début et la fin.

 

C’est donc autour du verbe que ce construit la phrase.

 

Le Verbe est constitué d’un radical et d’une terminaison.

 

Ex :

 

V01

Couleur bleu = radical

Couleur rouge = terminaison

 

Le radical reste toujours identique quelque soit le temps de conjugaison du verbe.

 

Pour faciliter l’apprentissage de la conjugaison, nous avons séparé les verbes en 3 groupes distincts :

 

Verbes du 1er groupe qui se terminent par ER (tels que chanter, pousser, manger, avaler)

Verbes du 2e groupe qui se terminent par IR mais qui, à la première et seconde personne du pluriel adopte la terminaison ISSONS / ISSEZ (tel que finir, grandir, avertir)

Verbes du 3e groupe qui rassemblent tous les verbes n’étant ni du 1er groupe, ni du 2e groupe (ex. : vouloir, boire, sortir). Ces verbes du 3e groupe peuvent avoir une irrégularité dans leur radical.

 

A ces 3 groupes il faut différencier les verbes d’avec les auxiliaires que nous utilisons pour construire les temps composés et/ou la voix passive : AVOIR & ETRE.

 

La prochaine fois nous aborderons la conjugaison des verbes.

 

Bisous,

@+

Sab

6 avril 2012

Brüder Grimm: Der Wolf und die sieben Geißlein

Ah que coucou!

 

Voici le 8e conte des frères Grimm que vous connaissez déjà tous car il s'agit, en français, du conte: "Le Loup et les 7 chevreaux".

 

Bonne lecture!

Bisous,

@+

Sab

 

 

1-038

Der Wolf

und die sieben jungen Geißlein

 

Es war einmal eine alte Geiß, die hatte sieben junge Geißlein, und hatte sie lieb, wie eine Mutter ihre Kinder lieb hat. Eines Tages wollte sie in den Wald gehen und Futter holen; da rief sie alle sieben herbei und sprach: „Liebe Kinder, ich will hinaus in den Wald, seid auf eurer Hut vor dem Wolf, wenn er hereinkommt, so frisst er euch alle mit Haut und Haar. Der Bösewicht verstellt sich oft, aber an seiner rauhen Stimme und an seinen schwarzen Füssen werdet ihr ihn gleich erkennen.“ – Die Geißlein sagten: „Liebe Mutter, wir wollen uns schon in acht nehmen, Ihr könnt ohne Sorge fortgehen.“ Da meckerte die Alte und machte sich getrost auf den Weg.

Es dauerte nicht lange, so klopfte jemand an die Haustür und rief: „Macht auf, ihr lieben Kinder, eure Mutter ist da und hat jedem von euch etwas mitgebracht“. Aber die Geisserchen hörten an der rauhen Stimme, dass es der Wolf war. „Wir machen nicht auf“, riefen sie, „du bist unsere Mutter nicht, die hat eine feine, liebliche Stimme, aber deine Stimme ist rauh; du bist der Wolf.“ Da ging der Wolf fort zu einem Krämer und kaufte sich ein großes Stück Kreide; die aß er und machte damit seine Stimme fein. Dann kann er zurück, klopfte an die Haustür und rief: „Macht auf, ihr lieben Kinder, eure Mutter ist da und hat jedem von euch etwas mitgebracht“. Aber der Wolf hatte seine schwarze Pfote in das Fenster gelegt, das sahen die Kinder und riefen: „Wir machen nicht auf, unsere Mutter hat keinen schwarzen Fuß, wie du, du bist der Wolf“. Da lief der Wolf zu einem Bäcker und sprach: „Ich habe mich an den Fuß gestoßen, streich mir Teig darüber“. Und als ihm der Bäcker die Pfote bestrichen hatte, so lief er zum Müller und sprach: „Streu mir weißes Mehl auf meine Pfote!“ Der Müller dachte, „der Wolf will einen betrügen“, und weigerte sich, aber der Wolf sprach: „Wenn du es nicht tust, so fresse ich dich“. Da fürchtete sich der Müller und machte ihm die Pfote weiß. Ja, so sind die Menschen.

Nun ging der Bösewicht zum drittenmal zu der Haustüre, klopfte an und sprach: „Macht mir auf, Kinder, euer liebes Mütterchen ist heimgekommen und hat jedem von euch etwas aus dem Walde mitgebracht“. Die Geisserchen riefen: „Zeig uns erst deine Pfote, damit wir wissen, dass du unser liebes Mütterchen bist“. Da legte er die Pfote ins Fenster, und als sie sahen, dass sie weiß war, so glaubten sie, es wäre alles wahr, was er sagte, und machten die Türe auf. Wer aber hereinkam, das war der Wolf. Sie erschraken und wollten sich verstecken. Das eine sprang unter den Tisch, das zweite ins Bett, das dritte in den Ofen, das vierte in die Küche, das fünfte in den Schrank, das sechste unter die Waschschüssel, das siebte in den Kasten der Wanduhr. Aber der Wolf fand sie alle und machte nicht langes Ferderlesen: eins nach dem andern schluckte er in seinen Rachen; nur das jüngste in dem Uhrkasten, das fand er nicht. Als der Wolf seine Lust gebüßt hatte, trollte er sich fort, legte sich draußen auf der grünen Wiese unter einen Baum und fing an, zu schlafen.

Nicht lange danach kam die alte Geiß aus dem Wald wieder heim. Ach, was musste sie da erblicken! Die Haustüre stand sperrweit auf: Tisch, Stühle und Bänke waren umgeworfen, die Waschschüssel lag in Scherben, Decke und Kissen, waren aus dem Bett gezogen. Sie suchte ihre Kinder, aber nirgends waren sie zu finden. Sie rief sie nacheinander beim Namen, aber niemand antwortete. Endlich, als sie an das jüngste kam, da rief eine feine Stimme: „Liebe Mutter, ich stecke im Uhrkasten“. Sie holte es heraus, und es erzählte ihr, dass der Wolf gekommen wäre und die andern alle gefressen hätte. Da könnt ihr denken, wie sie über ihre armen Kinder geweint hat.

Endlich ging sie in ihrem Jammer hinaus, und das jüngste Geißlein lief mit. Als sie auf die Wiese kam, so lag da der Wolf an dem Baum und schnarchte, dass die Äste zitterten. Sie betrachtete ihn von allen Seiten, und sah, dass in seinem angefüllten Bauch sich etwas regte und zappelte. „Ach Gott“, dachte sie, „sollten meine armen Kinder, die er zum Abendbrot hinuntergewürgt hat, noch am Leben sein?“ Da musste das Geißlein nach Hause laufen und Schere, Nadel und Zwirn holen. Dann schnitt sie dem Ungetüm den Wanst auf, und kaum hatte sie einen Schnitt getan, so streckte schon ein Geißlein den Kopf heraus, und als sie weiterschnitt, so sprangen nacheinander alle sechse heraus, und waren noch alle am Leben, und hatten nicht mal Schaden gelitten, denn das Ungetüm hatte sie in der Gier ganz hinuntergeschluckt. Da war eine Freude! Da herzten sie ihre liebe Mutter, und hüpften wie ein Schneider, der Hochzeit hält. Die Alte aber sagte: „Jetzt geht und sucht Wackersteine, damit wollen wir dem gottlosen Tiere den Bauch füllen, solange es noch im Schlafe liegt“. Da schleppten die sieben Geisserchen in aller Eile die Steine herbei und steckten sie ihm in den Bauch, soviel sie hineinbringen konnten. Dann nähte ich die Alte in aller Geschwindigkeit wieder zu, dass er nichts merkte und sich nicht einmal regte.

Als der Wolf endlich ausgeschlafen hatte, machte er sich auf die Beine, und weil ihm die Steine im Magen so großen Durst erregten, so wollte er zu einem Brunnen gehen und trinken. Als er aber anfing zu gehen und sich hin und her zu bewegen, so stießen die Steine in seinem Bauch aneinander und rappelten. Da rief er:

„Was rumpelt und pumpelt

In meinem Bauch herum?

Ich meinte, es wären sechs Geißlein,

So sind’s lauter Wackerstein.“

Und als er an den Brunnen kam und sich über das Wasser bückte und trinken wollte, da zogen ihn die schweren Steine hinein, und er musste jämmerlich ersaufen. Als die sieben Geißlein das sahen, da kamen sie herbeigelaufen, riefen laut: „Der Wolf ist tot, der Wolf ist tot!“, und tanzten mit ihrer Mutter vor Freude um den Brunnen herum.

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6 avril 2012

Arthur Conan Doyle : The Adventure of the Red Circle

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Ah que coucou !

 

Voici une nouvelle aventure du célèbre détective Sherlock Holmes contenu dans le livre His last Bow (son dernier coup) :

 

The Adventure of the Red Circle

Ecrit en 1902

Version Originale

Pour accéder au téléchargement et/ou à la lecture, cliquez ici

Format : pdf

(logiciel gratuit fourni par Adobe)

 

Il ne s’agit pas là seulement que d’une enquête policière à laquelle participe l’inspecteur Gregson (ce dont Sherlock Holmes n’aura connaissance qu’à la fin de l’épisode), il ne s’agit pas là non plus d’une simple mésentente entre un locataire et sa logeuse. Non ! les choses sont bien plus graves qu’elles n’y paraissent et peuvent même devenir mortelles !

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

 

Sherlock-Holmes

6 avril 2012

Noms composés : Formation du pluriel (règles)

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Ah que coucou !

 

Nous abordons là un point très compliqué de l’orthographe française… J’espère que mon explication sera toutefois claire (car, pas évidente à faire).

 

Evidemment là, tout dépend comment est formé ce nom composé car la règle diffère s’il s’agit d’un mot composé à partir de 2 noms communs, ou d’1 adjectif et d’un nom, ou de 2 mots dont 1 est invariable, etc. Si vous ignorez la nature d’un mot, vous risquez de ne jamais réussir à écrire le pluriel des mots composés correctement… (comme quoi, là encore, la connaissance de la grammaire est utile ;))

Je ne vais pas, pour le moment, aborder cette nature du mot pour éviter d’alourdir ce billet. Mais, pas de panique, ça viendra ;).

 

Les mots composés sont justement 2 mots dont la nature peut être différente :

 

ü NOM + NOM

Ex. : le bas-étage

 

ü NOM + PREPOSITION + NOM

Ex : le tête-à-tête

 

ü ADJECTIF + NOM

Ex : le petit-fils

 

ü ADJECTIF + ADJECTIF

Ex : un sourd-muet

 

ü VERBE + NOM

Ex : le porte-monnaie

 

ü MOT INVARIABLE + NOM

Ex. : l’avant-garde

 

ü VERBE + VERBE

Ex : un laissez-passer

 

ü NOMS COMPOSES d’origine étrangère

Ex : le Curriculum-Vitae

 

Révisons maintenant à quoi ressemble la forme du pluriel dans tous ces cas différents.

 

1. Quand il s’agit d’une composition de 2 noms communs ou de 2 adjectifs, les 2 prennent la marque du pluriel (ex. : les oiseaux-mouches, des sourds-muets), SAUF

 

SINGULIER

PLURIEL

 

UN TIMBRE-POSTE

UNE ANNEE-LUMIERE

UN GARDE-CHASSE

 

 

DES TIMBRES-POSTE

DES ANNEES-LUMIERE

DES GARDES-CHASSE

 

 

car ce sont des timbres pour la Poste, la vitesse de la Lumière, les gardes pour la Chasse.

 

2. Quand il s’agit d’une composition de 2 noms reliés par une préposition, seul le premier des noms prend la marque du pluriel, le second reste invariable (ex : des arcs-en-ciel), SAUF

 

SINGULIER

PLURIEL

 

UNE BETE-A-CORNE

UN CHAR-A-BANC

UN TETE-A-TETE

UN POT-AU-FEU

 

 

DES BETES-A-CORNES

DES CHARS-A-BANCS

DES TETE-A-TETE

DES POT-AU-FEU

 

3. Quand il s’agit d’une composition d’un adjectif suivi d’un nom, les 2 prennent la marque du pluriel (ex. : des basses-cours), SAUF quand l’adjectif est GRAND ou DEMI :

 

SINGULIER

PLURIEL

 

LA GRAND-MERE

LA DEMI-JOURNEE

 

 

LES GRAND-MERES

LES DEMI-JOURNEES

 

 

où seul le nom prend la marque du pluriel (ces 2 adjectifs étant invariables dans le cas de leur utilisation pour un mot composé)

 

4. Quand il s’agit d’une composition d’un verbe suivi par un nom, seul le nom prend la marque du pluriel (ex. : des tire-bouchons) SAUF : des abat-jour où ni l’un, ni l’autre ne prend la marque de pluriel.

 

5. Quand il s’agit d’une composition d’un mot invariable suivi par un nom, seul le nom prend la marque du pluriel (ex. : des avant-scènes, des non-lieux). Et là, bizarrement, il n’y a pas d’exception ;)

 

6. Quand il s’agit d’une composition d’un verbe suivi par un autre verbe, aucun n’adopte de marque de pluriel (ex. : les laissez-passer)

 

7. Quand il s’agit d’un mot composé d’origine étrangère, le derniers mot prend la marque du pluriel (ex : des pull-overs) sauf les mots composés latins qui restent invariable (ex. : des post-scriptum). On pourrait dire que la règle du pluriel suit la règle du pluriel du pays d’origine.

 

 

Bisous,

@+

Sab

5 avril 2012

Brüder Grimm: Brüderchen und Schwesterchen

Ah que coucou!

 

Voici le 7e conte des Frères Grimm que vous connaissez déjà tous, car il s'agit de la version allemande de Petit frère et Petite soeur.

 

Bisous,

@+

Sab

1-033

 

Brüderchen und Schwesterchen

 

Brüderchen nahm sein Schwesterchen an der Hand und sprach: „Seit die Mutter tot ist, haben wir keine gute Stunde mehr; die Stiefmutter schlägt uns alle Tage, und wenn wir zu ihr kommen, stößt sie uns mit den Füssen fort. Die harten Brotkrusten, die übrigbleiben, sind unsere Speise, und dem Hündlein unter dem Tisch geht’s besser, dem wirft sie doch manchmal einen guten Bissen zu. Dass Gott erbarm, wenn das unsere Mutter wüsste! Komm, wir wollen miteinander in die weite Welt gehen“. Sie gingen den ganzen Tag über Wiesen, Felder und Steine, und wenn es regnete, sprach das Schwesterchen: „Gott und unsere Herzen, die weine zusammen!“ Abends kamen sie in einen großen Wald und waren so müde von Jammer, Hunger und dem langen Weg, dass sie sich in einen hohlen Baum setzten und einschliefen.

Am andern Morgen, als sie aufwachten, stand die Sonne schon hoch am Himmel und schien heiß in den Baum hinein. Da sprach das Brüderchen: „Schwesterchen, mich dürstet, wenn ich ein Brünnlein wüsste, ich ging und tränk einmal; ich mein, ich hört eins rauschen“. Brüderschein stand auf, nahm Schwesterchen an der Hand, und sie wollen das Brünnlein suchen. Die böse Stiefmutter aber war eine Hexe und hatte wohl gesehen, wie die beiden Kinder fortgegangen waren, war ihnen nachgeschlichen, heimlich, wie die Hexen schleichen, und hatte alle Brunnen im Walde verwünscht. Als sie nun ein Brünnlein fanden, das so glitzerig über die Steine sprang, wollte das Brüderchen daraus trinken: aber das Schwesterchen hörte, wie es im Rauschen sprach: „Wer aus mir trinkt, wird ein Tiger, wer aus mir trinkt, wird ein Tiger“. – Da rief das Schwesterchen: „Ich bitte dich, Brüderchen, trink nicht, sonst wirst du ein wildes Tier und zerreißest mich“. Das Brüderchen trank nicht, ob es gleich so großen Durst hatte, und sprach: „Ich will warten bis zur nächsten Quelle“. Als sie zum zweiten Brünnlein kamen, hörte das Schwesterchen, wie auch dieses sprach: „Wer aus mir trinkt, wird ein Wolf, wer aus mir trinkt, wird ein Wolf“. Da rief das Schwesterchen: „Brüderchen, ich bitte dich, trink nicht, sonst wirst du ein Wolf und fressest mich“. – Das Brüderchen trank nicht und sprach: „Ich will warten, bis wir zur nächsten Quelle kommen, aber dann muss ich trinken, du magst sagen, was du willst, mein Durst ist gar zu groß“. Und als sie zum dritten Brünnlein kamen, hörte das Schwesterlein, wie es im Rauschen sprach: „Wer aus mir trinkt, wird ein Reh, wer aus mir trinkt, wird ein Reh“. – Das Schwesterchen sprach: „Ach, Brüderchen, ich bitte dich, trink nicht, sonst wirst du ein Reh und läufst mir fort“. Aber das Brüderchen hatte sich gleich beim Brünnlein niedergekniet, hinab gebeugt und von dem Wasser getrunken, und wie die ersten Tropfen auf seine Lippen gekommen waren, lag es da als ein Rehkälbchen.

Nun weinte das Schwesterchen über das arme verwünschte Brüderchen, und das Rehlein weinte auch und saß so traurig neben ihm. Da sprach das Mädchen endlich: „Sei still, liebes Rehchen, ich will dich ha nimmermehr verlassen“. Dann band es sein goldenes Strumpfband ab und tat es dem Rehchen um den Hals und rupfte Binsen und flocht ein weiches Seil daraus. Daran band es das Tierchen und führte es weiter, und ging immer tiefer in den Wald hinein. Und als sie lange, lange gegangen waren, kamen sie endlich an ein kleines Haus, und das Mädchen schaute hinein, und weil es leer war, dachte es: „Hier können wir bleiben und wohnen“. Da suchte es dem Rehchen Laub und Moos zu einem weichen Lager, und jeden Morgen ging es aus und sammelte sich Wurzeln, Beeren und Nüsse, und für das Rechen brachte es zartes Gras mit, das fraß es ihm aus der Hand, war vergnügt und spielte vor ihm herum. Abends, wenn Schwesterchen müde war und sein Gebet gesagt hatte, legte es seinen Kopf auf den Rücken des Rehkälbchens, das war sein Kissen, darauf es sanft einschlief. Und hätte das Brüderchen nur sein menschliche Gestalt gehabt, es wäre ein herrliches Leben gewesen.

Das dauerte eine Zeitlang, dass sie so allein in der Wildnis waren. Es trug sich aber zu, dass der König des Landes eine große Jagd in dem Wald hielt. Da schallte das Hörnerblasen, Hundegebell und das lustige Geschrei der Jäger durch die Bäume, und das Rehlein hörte es und wäre gar zu gerne dabei gewesen. „Ach“, sprach es zum Schwesterlein, „lass mich hinaus in die Jagd, ich kann’s nicht länger mehr aushalten“, und bat so lange, bis es einwilligte. „Aber“, sprach es zu ihm, „komm mir ja abends wieder, vor den wilden Jägern schließ ich mein Türlein nicht auf“. Nun sprang das Rehchen hinaus, und war ihm so wohl und war so lustig in freier Luft. Der König und seine Jäger sahen das schöne Tier und setzten ihm nach, aber sie konnten es nicht einholen, und wenn sie meinten, sie hätten es gewiss, da sprang es über das Gebüsch weg und war verschwunden. Als es dunkel ward, lief es zu dem Häuschen, klopfte und sprach: „Mein Schwesterlein, lass mich herein“. Da ward ihm die Tür aufgetan, es sprang hinein und ruhete sich die ganze Nacht auf seinem weichen Lagen aus. Am andern Morgen ging die Jagd von neuem an, und als das Rehlein wieder das Hifthorn hörte und das ho, ho! der Jäger, da hatte es keine Ruhe und sprach: „Schwesterchen, mach mir auf, ich muss hinaus“. Das Schwesterchen öffnete ihm die Türe und sprach: „Aber zu Abend musst du wieder da sein und dein Sprüchlein sagen“. Als der König und seine Jäger das Rehlein mit dem goldenen Halsband wieder sahen, jagten sie ihm alle nach, aber es war ihnen zu schnell und behend. Das währte den ganzen Tag, endlich aber hatten es die Jäger abends umzingelt, und einer verwundete es ein wenig am Fuß, so dass es hinken musste und langsam fortlief. Da schlich ihm ein Jäger nach bis zu dem Häuschen und hörte, wie es rief: „Mein Schwesterlein, lass mir herein“, und sah, dass die Tür ihm aufgetan und alsbald wieder zugeschlossen ward. Der Jäger behielt das alles wohl im Sinn, ging zum König und erzählte ihm, was es gesehen und gehört hatte. Da sprach der König: „Morgen soll noch einmal gejagt werden“.

Das Schwesterchen aber erschrak gewaltig, als es sah, dass sein Rehkälbchen verwundet war. Er wusch ihm das Blut ab, legte Kräuter auf und sprach: „Geh auf dein Lager, lieb Rehchen, dass du wieder heil wirst“. Die Wunde war aber so gering, dass das Rechen am Morgen nichts mehr davon spürte. Und als es die Jagdlust wieder draußen hörte, sprach es: „Ich kann’s nicht aushalten, ich muss dabei sein; so bald soll mich keiner kriegen“. Das Schwesterlein weinte und sprach: „Nun werden sie dich töten, und ich bin hier allein im Wald und bin verlassen von aller Welt, ich lass dich nicht hinaus“. – „So sterb ich dir hier vor Betrübnis“, antwortete das Rehchen, „wenn ich das Hifthorn höre, so mein ich, ich müsst aus den Schuhen springen!“ Da konnte das Schwesterchen nicht anders und schloss ihm mit schwerem Herzen die Tür auf, und das Rehchen sprang gesund und fröhlich in den Wald. Als es der König erblickte, sprach er zu seinen Jägern: „Nun jagt ihm nach den ganzen Tag, bis in die Nacht, aber dass ihm keiner etwas zuleide tut“. Sobald die Sonne untergegangen war, sprach der König zum Jäger: „Nun komm und zeige mir das Waldhäuschen“. Und als er vor der Türlein war, klopfte er an und rief: „Lieb Schwesterlein, lass mich herein“. Da ging die Tür auf, und der König trat herein, und da stand ein Mädchen, das war so schön, wie er noch keins gesehen hatte. Das Mädchen erschrak, als es sah, dass nicht sein Rehlein, sondern ein Mann hereinkam, der eine goldene Krone auf dem Haupt hatte. Der König sah es freundlich an, reichte ihm die Hand und sprach: „Willst du mit mir gehen auf mein Schloss und meine liebe Frau sein?“ – „Ach ja“, antwortete das Mädchen, „aber das Rehchen muss auch mit, das verlass ich nicht.“ Sprach der König: „Es soll bei dir bleiben, solange du lebst, und soll ihm an nichts fehlen“. Indem kam es hereingesprungen, da band es das Schwesterchen wieder an das Binsenseil, nahm es selbst in die Hand und ging mit ihm aus dem Waldhäuschen fort.

 

 

1-036

 

Der König nahm das schöne Mädchen auf sein Pferd und führte es in sein Schloss, wo die Hochzeit mit großer Pracht gefeiert wurde, und war es nun die Frau Königin, und lebten sie lange Zeit vergnügt zusammen; das Rehlein ward gehegt und gepflegt und sprang in dem Schlossgarten herum. Die böse Stiefmutter aber, um derentwillen die Kinder in die Welt hineingegangen waren, die meinte nicht anders, als Schwesterchen wäre von den wilden Tieren im Walde zerrissen worden und Brüderchen als ein Rehkalb von den Jägern totgeschossen. Als sie nun hörte, dass sie so glücklich waren, und es ihnen so wohl ging, da wurden Neid und Missgunst in ihrem Herzen rege und ließen ihr keine Ruhe, und sie hatte keinen andern Gedanken, als wie sie die beiden doch noch ins Unglück bringen könnte. Ihre rechte Tochter, die hässlich war wie die Nacht, und nur ein Auge hatte, die machte ihr Vorwürfe und sprach: „Eine Königin zu werden, das Glück hätte mir gebührt“. – „Sei nur still“, sagte die Alte und sprach sie zufrieden, „wenn’s Zeit herangerückt war, und die Königin ein schönes Knäblein zur Welt gebracht hatte und der König gerade auf der Jagd war, nahm die alte Hexe die Gestalt der Kammerfrau an, trat in die Stube, wo die Königin lag und sprach der Kranken: „Kommt, das Bad ist fertig, das wird Euch wohltun und frische Kräfte geben, geschwind, eh es kalt wird“. Ihre Tochter war auch bei der Hand; sie trugen die schwache Königin in die Badstube und legten sie in die Wanne, dann schlossen sie die Tür ab und liefen davon. In der Badstube aber hatten sie ein rechtes Höllenfeuer angemacht, dass die schöne, junge Königin bald ersticken musste.

Als das vollbracht war, nahm die Alte ihre Tochter, setzte ihr ein Haube auf, und legte sie ins Bett an der Königin Stelle. Sie gab ihr auch die Gestalt und das Ansehen der Königin, nur das verlorene Auge konnte sie ihr nicht wiedergeben. Damit es aber der König nicht merkte, musste sie sich auf die Seite lege, wo sie kein Auge hatte. Am Abend, als er heimkam und hörte, das ihm ein Söhnlein geboren war, freute er sich ehrlich, und wollte ans Bett seiner lieben Frau gehen und sehen, was sie machte. Da rief die Alte geschwind: „Beileibe, lasst die Vorhänge zu, die Königin darf noch nicht ins Licht sehen und muss Ruhe haben“. Der König ging zurück und wusste nicht, dass eine falsche Königin im Bette lag.

Als eben Mitternacht war und alles schlief, da sah die Kinderfrau, die in der Kinderstube neben der Wiege saß und allein noch wachte, wie die Türe aufging und die rechte Königin hereintrat. Sie nahm das Kind aus der Wiege, legte es in ihren Arm und gab ihm zu trinken. Dann schüttelte sie ihm sein Kisschen, legte es wieder hinein und deckte es mit dem Deckbettchen zu. Sie vergaß aber auch das Rehchen nicht, ging in die Ecke, wo es lag, und streichelte ihm über den Rücken. Darauf ging sie ganz stillschweigend wieder zur Türe hinaus, und die Kinderfrau fragte am andern Morgen die Wächter, ob jemand während der Nacht ins Schloss gegangen wäre, aber sie antworteten: „Nein, wir haben niemand gesehen“. So kam sie viele Nächte und sprach niemals ein Wort dabei; die Kinderfrau sah sie immer, aber sie getraute sich nicht, jemand etwas davon zu sagen.

Als nun so eine Zeit verflossen war, da hub die Königin in der Nacht an zu reden und sprach:

„Was macht mein Kind? Was macht mein Reh?

Nun komm ich noch zweimal und dann nimmermehr.“

Die Kinderfrau antwortete ihr nicht, aber als sie wieder verschwunden war, ging sie zum König und erzählte ihm alles. Sprach der König: „Ach Gott, was ist das! Ich will in der nächsten Nacht bei dem Kinde wachen“. Abends ging er in die Kinderstube, aber um Mitternacht erschien die Königin wieder und sprach:

„Was macht mein Kind? Was macht mein Reh?

Nun komm ich noch einmal und dann nimmermehr.“

Und pflegte dann des Kindes, wie sie gewöhnlich tat, ehe sie verschwand. Der König getraute sich nicht, sie anzureden, aber er wachte auch in der folgenden Nacht. Sie sprach abermals:

„Was macht mein Kind? Was macht mein Reh?

Nun komm ich noch diesmal und dann nimmermehr.“

Da konnte sich der König nicht zurückhalten, sprang zu ihr und sprach: „Du kannst niemand anders sein als meine liebe Frau“. Da antwortete sie: „Ja, ich bin deine liebe Frau“, und hatte in dem Augenblick durch Gottes Gnade das Leben wieder erhalten, war frisch, rot und gesund. Darauf erzählte sie dem König den Frevel, den die böse Hexe und ihre Tochter an ihr verübt hatten. Der König ließ beide vor Gericht führen, und es ward ihnen das Urteil gesprochen. Die Tochter ward in den Wald geführt, wo sie die wilden Tiere zerrissen, die Hexe aber ward ins Feuer gelegt und musste jammervoll verbrennen. Und wie sie zu Asche verbrannt war, verwandelte sich das Rehkälbchen und erhielt seine menschliche Gestalt wieder; Schwesterchen und Brüderchen aber lebten glücklich zusammen bis an ihr Ende.

 

1-037

 

 

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5 avril 2012

Consommation: Le lait enrichi en...

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Ah que coucou !

 

Vous n’en avez pas marre, vous, de voir sur les étalages des commerçants la mention suivante sur les bouteilles de lait :

 

enrichi en vitamine …

 

Que cette vitamine soit la A ou la D, cette mention publicitaire semble très étrange quand nous savons de quoi est composé le lait… Sommes-nous donc entrain de nous soigner ou de nous rendre malade ?

 

Regardons déjà ce qu’est le lait exactement et pour cela, j’ai trouvé une petite vidéo de jeu pour les jeunes enfants afin d’éviter les termes un peu trop scientifique souvent mal compris par le commun des mortels (si nous en jugeons les spots publicitaires pseudo-scientifiques) :

 

 

Comme le montre ce « jeu », le lait vendu et consommé par la majorité des hommes sur cette planète est un produit naturel qui provient souvent des vaches (mais il peut être aussi des rennes, des brebis, des juments, des ânesses, ATTENTION les « laits » d’origine végétale n’ont de lait que le nom qui leur vient souvent de leur texture qui a l’aspect onctueux et la couleur du lait). Le lait de soja, le lait de coco, etc. n’ont pas les mêmes vertus que le lait qui vient des animaux…

 

Le lait, que nous consommons depuis nos premiers jours, contient naturellement tout ce qu’il faut pour notre santé ( contient principalement du Calcium, Phosphore, Vitamine B12, Vitamine B2, Vitamine D, Sélénium, Vitamine B5, Vitamine A mais il manque de fer). Donc, qu’est-ce que ce lait enrichi ? Cela signifie-t-il qu’ils ont décomposé le lait en usine pour le fabriquer chimiquement à nouveau (donc que les vitamines naturellement dans le lait sont mortes et qu’il a fallu les reconstituer) ? Cela signifie-t-il qu’ils ont augmenté la teneur en telle ou telle vitamine qui entraîne, par ce fait, un déséquilibre et donc dans la durée être DANGEREUX POUR LA SANTE ? Ou bien cette mention vient du fait que le publiciste, nul en science, a découvert que le lait contenait naturellement ces vitamines et a voulu accentuer sur l’apport naturel en vitamine pour distinguer son slogan publicitaire des autres pour les autres marques ?

 

Quoi qu’il en soit, comme nous ignorons ce que signifie exactement ce « enrichi en vitamine… », la prudence conseille d’éviter ces bouteilles de lait pour nous éviter de devenir allergique et/ou malade…

 

Bisous,

@+

Sab

5 avril 2012

Nom : Formation du pluriel (règles)

15be0cda

Ah que coucou !

 

La marque écrite du pluriel dans la langue française est la lettre S qu’on ajoute à la fin du mot.

 

Ex :

 

SINGULIER

PLURIEL

 

UN GARAGE

L’ECOLE

UNE FEMME

UN HOMME

CET ENFANT

CE REGARD

UN CANOT

UN BISOU

UN ŒUF

 

 

DES GARAGES

LES ECOLES

DES FEMMES

DES HOMMES

CES ENFANTS

CES REGARDS

PLUSIEURS CANOTS

DEUX BISOUS

SIX ŒUFS

 

 

Pourtant certains noms ne suivent pas cette règle.

 

Les mots qui se terminent par S, X, et Z

 

Tous les mots se terminant par S ou X ou Z au singulier ne prennent pas de marque de pluriel.

 

Ex. :

 

SINGULIER

PLURIEL

 

UN OS

LE PRIX

UN GAZ

 

 

DES OS

DES PRIX

DES GAZ

 

 

Les mots qui se terminent par OU

 

Tous les mots se terminant par OU ont comme marque du pluriel un S, saufpour les mots suivants qui prennent un X :

 

SINGULIER

PLURIEL

 

UN BIJOU

UN CAILLOU

UN CHOU

UN GENOU

UN HIBOU

UN JOUJOU

UN POU

 

 

DES BIJOUX

DES CAILLOUX

DES CHOUX

DES GENOUX

DES HIBOUX

DES JOUJOUX

DES POUX

 

 

Les mots qui se terminent par EU

 

Tous les mots se terminant par EU ont comme marque du pluriel un X, saufpour les mots suivants qui prennent un S :

 

SINGULIER

PLURIEL

 

UN BLEU

UN PNEU

 

 

DES BLEUS

DES PNEUS

 

 

Les mots qui se terminent par (E)AU

 

Tous les mots se terminant par (E)AU ont comme marque du pluriel un X, saufpour les mots suivants qui prennent un S :

 

SINGULIER

PLURIEL

 

LE LANDAU

LE SARRAU

 

 

LES LANDAUS

LES SARRAUS

 

 

Les mots qui se terminent par AL

 

Tous les mots se terminant par AL forment leur pluriel en AUX, saufpour les mots suivants qui prennent un S :

 

SINGULIER

PLURIEL

 

LE BAL

LE CARNAVAL

LE CHACAL

LE FESTIVAL

LE REGAL

 

 

LES BALS

LES CARNAVALS

LES CHACALS

LES FESTIVALS

LES REGALS

 

 

Les mots qui se terminent par AIL

 

Tous les mots se terminant par AIL forment leur pluriel avec un S, saufpour les mots suivants qui le forment en AUX:

 

SINGULIER

PLURIEL

 

UN BAIL

UN CORAIL

UN EMAIL

UN FERMAIL

UN SOUPIRAIL

UN TRAVAIL

UN VANTAIL

UN VITRAIL

 

 

DES BAUX

DES CORAUX

DES EMAUX

DES FERMAUX

DES SOUPIRAUX

DES TRAVAUX

DES VANTAUX

DES VITRAUX

 

 

 

La prochaine fois nous réviserons le pluriel des mots composés

 

Bon appétit !

 

Bisous,

@+

Sab

5 avril 2012

Groupe nominal : 01 – Construction

5cbeff37

Ah que coucou !

 

D’abord il faut savoir que :

 

GN1

 

Ca, c’est pour ceux qui croient que la grammaire est inutile pour une bonne orthographe ;), n’est-ce pas ? mdrr !

 

 

 

Après cette petite mise au point, abordons ce Groupe Nominal

 

Comme son nom l’indique il est constitué d’au moins un nom. Il peut être un nom propre (ex. Paul) et/ou un nom commun (ex : chien), à ce nom commun on y ajoute toujours un déterminant (ex : le)

 

1. Construction du groupe nominal

 

Construction de base

 

GN2

 

 

Ex :

 

 

GN3

GN4

 

Règle d’orthographe :

Le déterminant s’accorde en genre et en nombre avec le nom qu’il détermine.

 

 

 

Construction plus complexe

 

 

 

GN avec épithète

 

Il peut être adjectif qualificatif, ou adjectif de couleur ou participe passé.

 

GN5

Ex :

GN6

 

GN7

 

Règle d’orthographe :

L’adjectif, tout comme le participe passé utilisé comme adjectif, s’accorde en genre et en nombre avec le nom qu’il qualifie.

 

Parfois il arrive que l’adjectif qualificatif soit placé avant le nom qu’il qualifie. Cela peut être dû à une habitude linguistique (ex : une petite maison) ou pour accentuer le sens que donne l’adjectif au nom (ex : la somptueuse demeure – on accentue sur le fait que la demeure est vraiment très somptueuse). Mais très souvent c’est aussi pour changer le sens (ex. : l’homme grand, on parle ici du physique de l’homme ; tandis que le grand homme concerne sa grandeur d’esprit et/ou sa réputation)

 

 

 

GN avec subordonnée ou Complément de nom

 

GN8

 

 

Ex. avec une subordonnée relative :

GN90A

 

GN9

 

Ex. avec un complément de nom :

GN90B

 

 

GN9B

 

 

 

 

 

2. Le déterminant

 

Définition (source Bescherelle)

 

Les principaux déterminants sont : les articles et les adjectifs non qualificatifs (possessifs, démonstratifs, numéraux, indéfinis, interrogatifs, exclamatifs)

 

Dans la terminologie traditionnelle, le même mot « adjectif » désigne aussi bien des déterminants que l’adjectif qualificatif. Ils ont cependant un comportement syntaxique différent.

Adjectifs qualificatifs et non qualificatifs n’ont en commun que le fait de s’accorder avec le nom et de le déterminer. Autrement, les adjectifs non qualificatifs ont le même comportement que les articles : ce sont des déterminants. Leurs caractères principaux, et notamment la fonctions qu’ils occupent par rapport aux noms, les distinguent nettement des adjectifs qualificatifs. En raison de ces différences, les grammaires préfèrent parler de « déterminants » plutôt que d’ « adjectifs non qualificatifs » et, par exemple, de déterminant possessif plutôt que d’adjectif possessif.

 

 

Articles définis

Masculin

Féminin

Pluriel

LE

LA

LES

 

 

Articles indéfinis

Masculin

Féminin

Pluriel

UN

UNE

DES

 

 

Pronoms démonstratifs

Masculin

Féminin

Pluriel

CET / CE

CETTE

CES

 

 

Pronoms possessifs

Masculin

Féminin

Pluriel

MON

TON

SON

MA

TA

SA

MES

TES

SES

NOTRE

VOTRE

NOS

VOS

LEUR

LEUR

LEURS

 

 

 

Bisous,

@+

Sab

4 avril 2012

01 PHRASE : la construction simple

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Ah que coucou !

 

Comme il faut commencer par quelque chose, et bien nous allons réviser comment se construit la phrase française de base – cela permettra aussi que nous nous mettions tous d’accord concernant le vocabulaire grammatical utilisé (chaque génération connaissant la sienne, il est parfois compliqué d’une génération à l’autre de se comprendre).

 

Non que j’ignore comment se construit une phrase mais je vais d’abord recopier ici un passage du Bescherelle (que tout le monde connait) expliquant la nécessité de représenter graphiquement la phrase pour mieux en faire son analyse et, ainsi, mieux la comprendre.

 

Il est utile de pouvoir représenter sous forme d’un schéma, d’un dessin, les relations qu’entretiennent les mots d’une phrase ; ce schéma permet d’un seul coup d’œil de prendre connaissance de l’organisation grammaticale de la phrase.

 

On parlera de visualisation, de représentation schématique ou visuelle, ou encore la schématisation.

 

La visualisation ne sera qu’un schéma. Les techniques de visualisation ne sont pas des instruments qui servent à analyser une phrase ; leur seule utilité est de rendre compte concrètement d’une analyse déjà faite.

 

Les procédures de visualisation sont multiples. Elles renvoient chacune à des modes d’analyse particulière ; elles ont chacune leurs avantages et leurs inconvénients…

 

Malgré les inconvénients de la représentation en arbre, je choisis celle-ci car elle est plus explicite et nous pouvons entrer plus dans les détails. Pour une construction grammaticale simple, elle se présente ainsi :

 

 

P

 

Comme vous le montre le schéma ci-dessus, une phrase ayant une construction simple contient un sujet (S), un verbe (V) et un complément (C)

 

Ex. :

 

 

P1

 

 

 

 

P2

 

 

Evidemment, il y a différents compléments (qu’ils soient nominaux, verbaux, circonstanciels)

 

J’arrête là la révision grammaticale pour aujourd’hui, la prochaine fois nous aborderons la construction du groupe nominal (qu’il soit sujet ou complément)

 

Bisous,

@+

Sab

 

PS : ca va comme ça ou faut-il que je recopie le Bescherelle ;) mdrrrr !!!

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