Cote vue de l’avion qui arrive à l’aéroport de Reykjavik
Islande, 2009
Ah que coucou !
A cette question notre culture générale nous ordonne de répondre : « Christophe Colomb en 1492 ». Mais ce continent étant déjà occupé par, ce que nous appelons, les civilisations précolombiennes, pouvons-nous donner cette réponse à une telle question ?
Alors voyons un peu ce qui s’est passé avant cette découverte officielle des Amériques ;) !
Abordons déjà son peuplement…
Nos livres d’histoire nous apprennent que les ancêtres de ceux que nous avons baptisés par le nom d’indien, étaient des mongols qui avaient profité d’une période de glaciation pour traverser le détroit de Béring et, ainsi, peuplé ce continent qui resta isolé pendant des siècles du reste du monde quand la terre se fut réchauffée et que le passage du détroit disparut sous les eaux.
Mais voilà que cette théorie est contredite par les avancées scientifiques de ces dernières années et de nos connaissances génétiques sans cesse grandissantes. En effet, il paraîtrait que les descendants de ces Amérindiens aient plus de gênes communes avec nous, les « visages pâles » qu’avec les « visages jaunes »… ce que tentent de réfuter de nombreux Amérindiens ;)… mais peut-on aller à l’encontre de la génétique ? ;)
De plus, il paraîtrait que nous ne trouvons aucune preuve scientifique qui atteste cette transhumance par le détroit… alors, Vrai ? Faux ? et si c’est réellement faux, d’où viennent les premiers hommes à avoir peuplé ce continent ? d’Egypte comme le prétendent certains ????
Les premières arrivées d’Européens au « Nouveau Monde »…
Pendant de nombreux siècles nous crûmes que les Sagas n’étaient que des légendes mais, petit à petit, nous nous apercevons qu’en fait, elles relatent bien des faits historiques… Nous estimons donc que les Vikings ont accosté la première fois sur les côtes de l’Amérique du Nord au 10e – 11e siècle… sur la carte ci-dessous vous pouvez remarquer où ils ont accosté :
Comme vous le constatez sur cette carte, ce peuple nordique que nous appelons, à tort, les Vikings (ce qui signifie : commerçants ;)), avait déjà colonisé l’Islande avant de pouvoir gagner les terres du nord du continent américain…
Un paysage islandais,
au village reconstitué près de Skogar, Islande (2009)
Les Sagas nous content l’histoire, entre autre, d’un certain Leif Ericsson qui a été le premier à accoster sur les côtes d’Amérique du Nord, vers l’an 1000, soit quelques années après que Bjarni, le découvreur viking de cette nouvelle terre, eut refusé d’y débarquer.
Pourtant, malgré les richesses et la clémence du climat de ces nouvelles terres, les Vikings ne s’installèrent jamais à « Vinland » (la terre des vignes) où ils vécurent pourtant un automne et un hiver. Ils se cantonnèrent à l’Islande qui servit d’escale pour aller au Groenland, cette terre d’asile pour des Vikings qui furent expulsés de chez eux par leurs lois.
Si vous voulez avoir un peu plus de détail sur l’Histoire de ce continent, sans trop vous casser les neurones et vous fatiguer, vous pouvez lire le livre suivant qui résume très bien l’histoire de ce continent :
Oups ! j’allais oublier de poster mon billet que je voulais mettre déjà ce midi ;) !!! ohhhhhh !!!
Pourquoi quelques photo de ma ville natale : Troyes (pour accéder au site de la ville, cliquez ici) dans un billet dédié aux Templiers ? Tout simplement parce que c’est le Concile de Troyes (1128 ou 1129 selon les sources) qui est le point de départ officiel de cette épopée qui va durer 2 siècles… Comme vous vous en doutez, c’est donc en compagnie des Templiers que nous allons poursuivre aujourd’hui notre voyage au Moyen-âge, au temps des preux chevaliers ;)…
Cette histoire a commencé il y a bien longtemps, au temps des premières croisades vers 1095 où le Pape Urbain II encourage les chevaliers « à partir vers la Terre Sainte pour la libérer des Infidèles »… cette mesure, dictée au départ pour que tous ces bagarreurs perpétuels se rachètent une bonne conduite, va devenir avec le temps une des plus grandes batailles de l’ère médiévale (sous forme de plusieurs croisades), même si elle fut parfois entrecoupée par des périodes de paix en Palestine… et oui, en ce temps-là, ces pays du Moyen-Orient faisaient déjà parler d’eux ;)…
Et c’est en 1099 que Jérusalem fut libérée pour la première fois des musulmans dans un bain de sang après seulement 5 semaines de siège (avec ce que comportent les lois de la Chevalerie de l’époque concernant les sièges qui ont été menés jusqu’à la victoire et la reddition du camp adverse, il a dû y avoir bien plus qu’un bain de sang… mais là, est une autre histoire). Tandis que bon nombre de ces chevaliers regagnaient leur home fièrement, quelques-uns sont restés à Jérusalem, ravitaillés par voie maritime par la flotte italienne. Peu nombreux ils ne pouvaient offrir à tous les pèlerins : protection, sécurité, hébergement et nourriture. C’est pour cela qu’il devint urgent et nécessaire de remédier à cette situation.
Je vous passe tout ce qui avait été entrepris par différents ordres religieux pour arriver aux Templiers et à la naissance de cet ordre.
Face au nombre sans cesse croissant de pèlerins partant vers la Terre Sainte, de nombreux actes de brigandages jalonnaient la route qu’ils devaient suivre. Toutefois certains parvenaient (on va dire par miracle) à arriver au bout du chemin. Pendant ces voyages terrestres très dangereux où le pèlerin risquait quotidiennement la mort, il fallait aussi organiser des lieux de repos, où ils puissent se nourrir, dormir et se soigner. Parmi ces nombreux groupes se trouvait l’ordre des Pauvres chevaliers du Christ créé par Hugues de Payns à partir de 1114 qui regroupait des chevaliers, en milice destinée à escorter les pèlerins lors de leur périple jusqu’à Jérusalem.
peut-être né en 1070 - † 1136
pour accéder au site qui est consacré à ce chevalier et à ses Templiers, cliquez ici
Originaire de Payns (Aube) (pour accéder au site de Payns, cliquez ici), village (même si la mairie de Payns nomme son agglomération ville ;)) à quelques kilomètres de Troyes, après avoir traversé la Chapelle-saint-Luc.
Face au succès que rencontra cette milice, son existence fut approuvée par le roi de Jérusalem, Baudoin II, vers 1119 et, parce qu’il la faisait loger dans ce qu’on appelait alors le Palais de Salomon, elle devint, plus tard, l’Ordre du Temple, soit, les Templiers… Ce fut aussi à partir de cette date que l’on s’accoutumât à ce qu’un moine puisse aussi utiliser des armes pour défendre les plus faibles…
Mais cette reconnaissance par un souverain, même chrétien, n’était pas suffisante pour officialiser l’ordre afin qu’il obtienne les mêmes avantages que tous ses contemporains, il fallait encore qu’il fut accepté par la Papauté, représentée alors par le Pape Honorius II. Et c’est à ceci que travailla Hugues de Payns à son retour de la Terre Sainte à partir de 1127.
Après que les hauts théologiens se soient cassé la tête sur le comment autoriser des religieux à porter des armes (ce qui est contraire à la religion), ils finissent par accepter cette idée et ce fut en 1128 ou 1129 (ça dépend de quel historien vous vous servez en référence) qu’Hugues de Payns obtint gain de cause et que le Concile de Troyes décréta une charte de conduite pour ce nouvel ordre religieux et guerrier…
Reconnaissance officielle par le pape Honorius II
de l’ordre du Temple au Concile de Troyes
Tableau appartenant au Château de Versailles
Dans ses 72 articles y est décrit comment le Chevalier du Temple doit se comporter, la règle de base étant : Pauvreté, Obéissance & Chasteté, comme tous les autres moines. Et au fil du temps, cette charte évolue suite aux différentes bulles papales dont :
Omne datum Optimum (1139) par le Pape Innocent II
Résumé des droits et exemptions dont la confrérie est pourvue (comme celle qu’ils ne doivent pas payer la dîme)
Militia Dei (1145) par le Pape Eugène III
Autorisation à l’ordre de posséder lieux de cultes et cimetières. Ce qui permet aux Templiers de posséder des biens fonciers à travers toute l’Europe dont vous voyez ici l’emplacement pour les sites les plus importants français existant encore aujourd’hui :
Maintenant pour vous narrer ce que devient l’Ordre les années suivantes et durant toute son histoire et pour éviter que ce billet ne devienne un livre, je vais laisser la parole à l’historien Julien Frizot. qui va vous résumer tout ceci à l’aide du tableau chronologique, tiré de son livre Sur les pas des Templiers en Terre de France, édité par les Editions Ouest-France (ne pas oublier de cliquer sur l’image pour l’agrandir et accéder au texte ;)) :
Nous en arrivons maintenant à Jacques de Molay et à la fin de l’Ordre…
Pour vous permettre d’accéder aux nombreuses archives royales de leur procès (nous ne pouvons pas tous défiler aux Archives) et elles sont trop nombreuses pour que nous puissions les lire toutes en les décryptant, je laisse ici la parole aux historiens et au film qui a été tiré de leurs travaux et de leurs recherches qui a été diffusé la première fois en 1961 dans l’émission :
La Caméra explore le Temps
de Stellio Lorenzi, André Castelot et Alain Decaux.
Attention !
ce film est basé sur le contenu des archives royales
c'est-à-dire sur ce qu’en ont gardé au départ Philippe IV, le Bel, roi de France, et ses ministres. N’oubliez pas qu’ils étaient les adversaires de l’Ordre des Templiers ;)… il ne s’agit là que d’un son de cloche ! pour connaître la vérité, il faut accéder aussi aux sources des Templiers qui sont, à ma connaissance, hélas, inexistantes L… ces archives sont donc à consommer avec modération…
Nous allons maintenant aborder une autre époque de notre histoire : le Moyen-âge… et pour éviter un trop gros choc dans le temps, nous resterons encore aujourd’hui dans le département de la Dordogne, toujours dans la Vallée de la Vézère mais sur l’autre rive du Préhisto-parc…
Rejoignons le village troglodytique de la Madeleine (pour accéder à son site, cliquez ici) où se trouve de nombreux vestiges médiévaux. Mais d’abord voici une petite présentation de ce site au fil du temps (présentation que vous pouvez retrouver sur le site) :
Comme vous venez certainement de l’apprendre, ce site a été occupé depuis des millénaires (l’âge préhistorique) et chaque génération y a apporté sa touche…
Château-fort du Petit Marzac
Quand vous arrivez, vous remarquez d’abord le château-fort du Petit-Marzac qui fut construit au 13e siècle par la famille de Sireuil, et sur la pancarte lui explique à quoi il servait, vous pouvez y lire : « le Château traversa la guerre de Cent Ans, s’appuyant sur le village troglodytique fortifié. Il défendit les intérêts de la noblesse périgourdine face aux anglais ». En continuant notre route vers le village nous entrons dans la rue principale en traversant un poste de garde qui était fortifié et couvert. « La passerelle en bois surplombe un plan incliné (aujourd’hui remblayé) taillé dans la roche est destinée à précipiter les intrus dans la rivière » proche. « Ce système ingénieux permettait à une seule personne de contenir une attaque même massive ».
Après avoir passé ce poste de garde nous arrivons à un petit chemin qui semble être ce que les responsables nomment la rue principale…
Après avoir franchi la porte qui donne sur une belle petite chapelle en haut de cet escalier :
nous sommes enfin dans le village en ruine de la Madeleine où nous pouvons parcourir les vestiges de ce village en ruine
Evidemment je ne peux pas insérer ici toutes mes photo que j’ai prises sur ce site : il y en a beaucoup trop. Par contre je vous conseille d’aller visiter ce petit village et d’y lire toutes les informations très instructives contenues sur les pancartes et concernant la vie quotidienne dans de telles conditions topographiques et pourquoi ces positions étaient prisées pour être ensuite abandonnées. Les habitants préférant vivre dans la vallée plutôt qu’à fleur de falaise…
Voilà pour la visite. La prochaine fois nous aborderons un autre petit point de l’histoire dans un autre petit coin de France…
Avant que vous n’ouvriez la bouche, sachez que votre Sab n’a pas décidé de traiter Homère de menteur ni de critiquer l’Iliade ou l’Odyssée, tout comme votre Sab ne va pas donner raison ou tort à Jean Giraudoux qui a écrit en 1935 la pièce de théâtre suivante en deux actes : La Guerre de Troie n’aura pas lieu, que je mettrai en ligne certainement pendant l’été prochain ou un petit peu avant, tout comme les 2 chefs-d’œuvre d’Homère cités plus haut (mais il vous faudra un peu plus de patience avant que je ne les mette en ligne). Tout comme je ne vais pas revenir sur la découverte de la ville que l’on pense avoir été Troie… Non. Je ne me le permettrai pas…
Alors, pourquoi ce billet et cette question, me demanderiez-vous ?
Et bien, c’est à mon tour de vous poser une question : connaissez-vous les dernières découvertes attenant à la guerre que se livraient les Grecs et les Troiens qui remettent en question le témoignage du poète Homère mais qui célèbrent et accroissent notre admiration pour le génial écrivain et narrateur qu’il était ? Non ? Et bien voici un documentaire qui va actualiser vos connaissances en la matière :
Malheureusement la vidéo n'est plus disponible sur la toile
Ah, Ah ! ;)
Très intéressant ce reportage, vous ne trouvez pas ?
Maintenant que nous connaissons la vérité prouvée scientifiquement, nous devons abandonner cette belle histoire d’amour entre Hélène et Paris, le fils du roi Priam que nous devons maintenant classer dans la mythologie grecque (dommage, c’était une très belle histoire et si romantique)…
Bisous sans les microbes (qui ont presque tous disparus),
@+
Sab, qui va bientôt pouvoir se venger de certaines personnes qui profitent beaucoup trop du fait que je ne peux pas parler ;) mdrrrr !!! Ma vengeance sera terrible mdrrrrr !!!
Depuis que je suis adolescente, depuis que j’ai vu les actualités françaises et allemandes de la seconde guerre mondiale et ai entendu le ton haineux du journaliste allemand qui exhibait comme prisonniers les soldats issus des colonies françaises, je m’étais demandée pendant très longtemps, ce qu’ils étaient devenus. C’était pour cette raison que je m’étais même portée volontaire pour faire l’exposé sur les camps de concentration que notre prof d’histoire demandait de faire. Mais comme les ouvrages contenus dans la bibliothèque scolaire ne m’avait apporté aucune réponse, j’avais pensé qu’ils avaient été systématiquement gazés dès leur arrivée au cœur du Reich… jusqu’à il y a quelques jours où je suis tombée, par le plus grand des hasards, sur le reportage suivant :
Quelle joie d’apprendre qu’ils n’ont pas été automatiquement expédiés dans les camps de la mort et que certains sont parvenus à survivre à cette période sombre de l’histoire. Quelle joie aussi d’apprendre qu’ils n’ont pas été systématiquement poursuivis et déportés comme l’étaient les tziganes et les juifs et, du moment qu’ils n’étaient pas considérés comme résistants, on les laissait vivre dans une tranquillité relative. Et quelle leçon ils nous donnent, à nous Français de la métropole de souche, concernant le patriotisme car eux, contrairement à tous ceux qui nous tiennent des discours sur « la France aux Français » peuvent être considérés comme étant plus Français que ces beaux parleurs qui nous servent des mots creux sur la définition du citoyen français car ils seraient les derniers à aller se battre si la France était en danger (j’en veux pour témoin l’Histoire de tous les pays où des beaux parleurs expédient des enfants au front, pendant qu’eux se planquent à l’arrière, le plus loin du front possible).
Si aujourd’hui nous pouvons être fiers d’être Français, c’est bien grâce aussi à de telles personnes qui se sont battus pour que la France puisse rester un pays libre même si, malgré leur précieuse aide, nous n’avons pas pu conserver l’étendu de notre territoire et je trouve que si nous devions distinguer différente classe dans la population issue de l’immigration, tous les défenseurs de la République française ainsi que leurs descendants ne devraient pas être considérés comme immigrés (même si la couleur de leur peau est différente) mais ils devraient systématiquement être considérés comme des Français de souche, et cela malgré leur origine géographique. Et j’avoue avoir honte pour la France quand je constate comment ils ont été accueillis sur notre sol quand le leur devenait mortel pour eux et leur famille…
Comme vient de le chanter si bien Joe Dassin, nous allons aborder aujourd’hui une question qui me tarabuste depuis quelques temps : « la bande à Bonnot, était-elle un groupe de pilleurs violents ou un groupe d’anarchistes » ?
Pour répondre à cette question, remettons-nous d’abord les faits en mémoire :
Et pour ceux et celles qui préfèrent la lecture au reportage, rendez-vous sur la page que lui consacre le site les grands criminels en cliquant ici
Maintenant que nous possédons tous les renseignements, pouvons-nous répondre sans risque d’erreur ?
Pour ma part, je trouve cela un peu ambigüe tout de même car les anarchistes, par définition, souhaitent instaurer l’anarchie totale pour tout détruire et pouvoir reconstruire ensuite sur des bases qu’ils prétendent être bonnes… mais dans ce cas-là, leur cible n’aurait-elle pas dû être l’institution ou le gouvernement au lieu des banques et de personnes privées ? Et dans ce cas-là, leurs méfaits n’auraient-ils pas dû se produire seulement dans un seul et unique pays (l’Union européenne n’étant pas encore d’actualité dans ce début du XXe siècle) ?
Moi, j’ai tendance à croire que ce sont là seulement quelques individus qui excusaient leurs crimes par le mot « anarchie » mais qu’en réalité, ils ne visaient qu’à voler et à tuer et n’avaient aucune intention bénéfique pour l’avenir de leurs concitoyens, même si nous sommes très nombreux et réfuter que les anarchistes puissent avoir quelque chose de bon pour nos sociétés…
Mais bon, laissons toutefois la place à la légende telle que nous la trouvons dans ce film suivant :
La Bande à Bonnot
Réalisé en 1968 par Philippe Fourastié
Dialogues de Marcel Jullian
dans lequel vous reconnaîtrez, entre autre, Bruno Cremer, Jacques Brel, Annie Girardot…
Malheureusement la vidéo n'est plus disponible sur la toile actuellement.
Seconde guerre mondiale, l’Allemagne d’Hitler s’allie avec l’URSS de Staline pour attaquer la Pologne. L’Armée polonaise, mal préparée, se bat cependant avec bravoure, mais à cette époque, personne ne peut rivaliser contre le modernisme de l’Armée allemande liée à l’Armée Rouge. Des milliers de militaires polonais sont fait prisonniers aussi bien par les troupes allemandes que par les troupes soviétiques. Le Pologne se scinde en 2 parties et n’existe plus sur la carte de l’Europe.
Hitler, sous prétexte d’expansion géographique vers l’Est pour fournir au peuple aryen un plus grand espace vital, se débarrasse des scientifiques, des savants, des professeurs d’origine polonaise. Il fait regrouper les Juifs dans des ghettos en attendant leur départ vers les camps de la mort.
Pendant ce temps, Staline ordonne la mise à mort des officiers polonais prisonniers de l’Armée Rouge…
Des officiers polonais sont prisonniers à Takyn, petit bourg à proximité de Smolensk (aujourd’hui en Russie, point A sur la carte ci-dessous)
sont assassinés. Quelques temps plus tard l’armée allemande découvre le charnier où sont enterrés tous ces militaires et accuse les bolchéviques de meurtre. Quand l’Armée allemande recule et que l’Armée Rouge arrive à Takyn, elle accuse l’Armée allemande d’avoir perpétué ce massacre…
Lors du Procès de Nüremberg, la vérité est découverte mais les véritables assassins, pour éviter d’heurter Staline, ne sont pas poursuivis…
Le débat qui suit, grâce à 2 films de propagandes (un des nazis et l’autre des communistes), nous permet de connaître toute la vérité sur ce massacre. Les spécialistes nous expliquent aussi comment ils ont réussi à déceler qui disait le vrai et qui disait le faux…
Emission diffusée sur la chaîne Histoire,
animée par Michel Field
avec Eric Zemmour, Alexandra Viatteau, Stéphane Courtois, Jean-Louis Panné.
Ce terme « inquisition » venant du latin « inquisitio » qui se traduit pas « enquête » ou « investigation » ou encore par le mot « recherche » ne laisse aucunement supposer de l’horreur qui va mener le monde catholique dans 6 siècles d’intolérance parfaite absolue. Cette « sainte Inquisition » va être responsable d’une des plus grandes injustices et de la mauvaise réputation de la religion catholique. Commencée au 12e siècle elle se termine miraculeusement au 19e siècle… Pour vous résumer ces siècles de craintes et d’abus religieux, voici une série de 4 reportages présentés par les « Dossiers secrets » :
Malheureusement toutes les vidéos ne sont plus accessibles sur la toile
Bon, aujourd’hui nous rencontrons un léger problème technique. Le lien vers une vidéo que je voulais mettre dépassant les 7 jours de Replay ARTE, la vidéo n’est donc plus disponible dans sa version STREAMING sur le site d’ARTE… GRRRRRRRRRRRRRRR !!!!
Mais bon, j’ai trouvé ce documentaire sur un lien à télécharger ,à condition que vous soyez abonné (c’est gratuit, c’est encore bon en cliquant ici. Ce documentaire nous parle de la fabuleuse machine découverte en 1901 au large des côtes de l’ile grecque Anticythère. Cette machine, dont les chercheurs ont réussi aujourd’hui à expliquer presque tous les rouages paraitrait avoir été un bébé scientifique du célèbre mathématicien et physicien grecque Andromède. Son système de roues et de poulies ayant été le même pour éviter à la cité de Syracuse de tomber aux mains des Romains…
Bon, bref, voici une invention qui est l’ancêtre de nos calculatrices de la fin du 20e siècle pouvant prévoir les mouvements de la Lune et du Soleil dans le futur. Et malgré que cette invention soit de 200 ans avant notre ère, elle a fait cogiter nombreux de nos scientifiques et elle continue à les faire réfléchir. Ce documentaire vous explique où nous en sommes aujourd’hui concernant les connaissances techniques pour réussir à faire fonctionner cette machine dotée de plus d’une vingtaine de poulies…
Maintenant que vous connaissez mieux l’instigateur de cette grande Muraille, à savoir le premier empereur de Chine et de la dynastie Qin : Qin Shi Huang(di), la vidéo découpée en 3 parties est un résumé de ce que nous savons concernant ce plus grand édifice jamais construit par l’Homme qui n’a jamais été rempli le rôle pour lequel il a été édifié.
Par contre, dans ce reportage, il est dit que les astronautes, depuis l’espace ne l’ont jamais vu et affirment qu’on ne peut la voir d’aussi haut…
Euhhh j’avoue que je ne suis pas entièrement d’accord quand je regarde des images satellites de cette région. Regardez plutôt ce que le satellite Aster nous montre !
On la voit c’est un serpent blanc au fond de la vallée ! Bon, j’avoue, si on me mettait toute la Chine en image satellite et qu’on me demande de montrer la muraille, j’en serais bien incapable, mais quand on me dit, il faut chercher là, il suffit de regarder pour la voir ;) mdrrr !!
Mais avant de laisser la place au documentaire, je vous conseille d’aller lire les 2 pages que S.E.O.S. (Science Education through Earth Observation for high School) explique sur son site (en français) en cliquant ici.
Voici comment s’appelait le premier Empereur chinois : Qin Shi Huang(di) qui se prononce (je l’écris phonétiquement sans l’aide de l’alphabet phonétique, désolée, mais je n’ai pas encore trouvé tous les caractères pour pouvoir faire ça) : T’chine Chi H’ou ang (di) – ça sert d’apprendre le chinois ;p…
En lisant le nom de cet empereur, vous comprenez tout de suite comment nous en sommes arrivés à nommer ce pays la Chine ;). Mais qui était cet empereur, le premier de la dynastie Qin (se prononce T’chine) – qui n’a duré que 15 ans… D’un côté il était le Charlemagne chinois concernant l’éducation scolaire (tel que nous l’apprenons dans la comptine : « Qui a inventé l’école ? »), plus de 200 ans avant notre ère, pour ensuite faire enterré vivants tous les scientifiques de son Empire… Etait-il un Empereur éclairé ou un Empereur fou ? A vous de voir… Et si vous souhaitez de plus amples renseignements le concernant, cliquez ici, et concernant sa dynastie, cliquez là.
Il y a quelques années pourtant, en ouvrant son mausolée dans lequel jadis aucun chinois ne voulait entrer, les scientifiques ont fait de nombreuses découvertes qui sont résumées dans le documentaire en 2 parties ci-dessous :
Et oui, ces 2 vidéos ne peuvent pas être visionnées sur centerblog.net… toutefois, si vous avez une faible connexion internet comme cela arrive parfois, voici les 2 liens vous permettant de les télécharger sur votre PC :
Mode d’emploi :quand vous collez ces adresses dans la barre d’adresse de votre navigateur, un message vous demande si vous souhaitez « ouvrir » ou « enregistrer » le document. En cliquant sur « Enregistrer » vous téléchargez la vidéo au format flv (flash adobe player). Ensuite, pour visionner ces 2 vidéos, si vous n’utilisez pas VLC ou que votre logiciel de flash adobe player n’est pas à jour, il vous faut convertir les vidéos au format avi (IVC HD5.5 est un bon logiciel d’utilisation assez simple, fonctionnant aussi sur Win7).
Voilà, maintenant vous savez presque tout le concernant ;)
Tandis que le premier « chroniqueur » de la vie des Celtes et plus spécialement des Gaulois était Jules César, si nous connaissons autant la vie des Germains à l’Antiquité, nous le devons à Tacite et à son livre la Germanie (que vous trouverez, en latin et avec sa traduction française, en cliquant ici). Cet ouvrage a permis aux historiens, en grande partie, de comprendre la vie de ces différentes tribus germaniques et de retrouver leurs traces dont les 4 parties du documentaire-fiction suivant résument pour nous leurs découvertes et retracent leur histoire jusqu’à un certain roi franc, nommé Clovis ;) – et oui, pour ceux qui l'auraient oublié, les Francs sont un des nombreux peuples germaniques ;)…
« Arbeit macht frei » ou « le travail rend libre » est cette maxime qui se trouve à la porte d’un des plus tristement célèbres camps de la mort qu’était le camp d’Auschwitz (pour accéder au site qui lui est consacré et où vous pouvez en apprendre encore plus à son sujet et ceci en français, cliquez ici).
Pourtant, et ceci malgré de nombreux témoignages, un professeur d’université lyonnais à la retraite, Robert Faurisson, affirme depuis 1979, que les chambres à gaz n’existaient pas et en explique les raisons dans son reportage ci-dessous :
Cette vidéo n'est malheureusement plus disponible sur la toile
De quoi couper le souffle à tout le monde si, nous-mêmes, ne réfléchissions pas à ses propos… car, s’il est vrai que le HCN (acide cyanhydrique ou cyanure d’hydrogène) peut être utilisé comme un adjuvant explosif, alors qu’il ne s’agit que d’un liquide très volatile qui bout à presque 26°C, je ne comprends pas pourquoi vouloir prétendre que les chambres à gaz n’existent pas ! Mais, peut-être, que certains pensent que le Zyklon B est transporté sous sa forme gazeuse et que c’est un gaz qui était directement envoyé dans les chambre à gaz ?? ce qui expliquerait leur erreur… De plus, sur cette vidéo le Pr Faurisson nous montre des plans… il n’y a aucun doute, il n'est pas allé chercher des faux plans des différents crématorium, mais il a juste oublié quelque chose, quand on compare les plans avec les photo des édifices qu’ils représentent, je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai noté des légères différences… surtout dans celui qu’il nous montre en affirmant qu’il a bien remis le plan dans le bon sens… et dans son commentaire, il oublie aussi une autre chose très importante : le témoignage de la population locale, ainsi que celui des rescapés dont en voici quelques-uns (comme les codes ont été désactivée, cliquez sur les liens pour accéder aux vidéos) :
Après la chute du régime communiste dans l’ancienne URSS, il a fallu distribuer tout le capital économique aux différentes populations (russes, biélorusses, lithuaniens, estoniens, ukrainiens, etc.).
Pour mémoire, voici quelques cartes résumant l’économie soviétique telle qu’elle l’était lors de son entrée dans la Glasnost :
Source :
Pour effectuer ce partage des richesses « équitablement » les banques des différentes républiques soviétiques avaient édité des « ????? » (Coupon) au début des années 90 – ci-dessous exemples de coupons ukrainiens que m’a offerts une de mes amies ukrainiennes en 1992 :
Comme vous vous en apercevez, ils ressemblent fort à des billets de banque et aucune mention ne signale qu’il ne s’agit que de coupon étant lié à une obligation qui donne un titre de propriété sur des capitaux ukrainiens (en effet, le mot « coupon » pour une population non avertie et n’y connaissant rien dans le langage de la bourse, ne signifie absolument rien)… ce qui fait que, même moi, au début, je pensais que le rouble avait été remplacé par une monnaie nommée « coupon » ;)… C’est ainsi que de nombreux soviétiques se sont mis à les confondre avec la monnaie et qu’ils se sont séparés de ces différents titres au profit de billets de banque (ayant moins de valeur). Bref, l’homme et la femme de condition moyenne se sont fait voler au profit d’autres (qui étaient avertis) qui se sont, eux, fort enrichis… cette confusion a servi aussi aux gouvernants pour récupérer aisément et rapidement, à leur avantage, la propriété du capital de l’ex-URSS…
Bisous,
@+
Sab
Nota:
Les images ci-dessus ne sont que des miniatures.
Clic-droit pour les ouvrir dans un nouvel onglet / nouvelle fenêtre
Il est dans la logique des choses qu’on ne peut dissocier Hitler d’avec Staline. Ils sont de la même génération, ils ont régné en despote sur leur pays, ils sont responsables de millions de morts innocentes… Ayant donc écrit sur Adolf Hitler, il est normal qu’aujourd’hui je vous présente l’opposé, soi-disant…
Staline, ou plus communément surnommé à son époque « le petit père des peuples », est de ces hommes qui ont tué et déporté leurs rivaux pour accéder au pouvoir. Staline a fait tuer environ 20 millions de personnes (exécution, déportation, famine). « Quand on a survécu à Staline, on peut survivre à tout. » est une expression que j’ai souvent entendue sortir de la bouche des Ukrainiens que Staline a condamné à la famine pendant plusieurs années par représailles parce que les "paysans" refusaient de mettre en commun leurs terres et leurs récoltes et travailler sous les ordres du parti communiste, puis parce qu’ils n’avaient pas combattu l’armée allemande jusqu’à la mort… Pourtant, de ces génocides, personne n’ose en parler à l’époque, on fait semblant d’ignorer, quand on n'applaudis pas, que de nombreux innocents sont déportés dans les camps de travail sibériens où les internés politiques sont mélangés avec les internés de droits communs et où y règne la loi du plus fort (cf. littérature des grands auteurs contemporains comme Alexandre Soljenitsyne, et plus spécialement son roman Une journée d’Ivan Denissovitch).
Pour résumer ses 30 ans de règne absolu sur cet immense territoire qu’était l’Union Soviétique et sur toute sa zone d’influence, ce documentaire dépeint l’homme politique tout comme l’homme privé à l’aide d’images et de témoignages d’époque…
Malheureusement cette vidéo n'est plus disponible sur la toile
Une fois n’est pas coutume : je recopie ci-dessous ce qui est écrit sur la jaquette du DVD Staline, le Tyran Rouge :
« Le 9 mars 1953, Staline est enterré à Moscou en demi-Dieu devant un million de personnes. Ultime paradoxe pour l’un des plus grands criminels de l’histoire. Porteur d’un idéal vite oublié, il écrase sans état d’âme tous ceux qui s’opposent à lui. Goulag, famine, torture, exécution : il n’a aucune limite. Assassin de ses opposants mais aussi parfois de ses proches, l’histoire de Staline est un roman noir.
Ce documentaire exceptionnel, colorisé, riche en image inédites, tente de répondre à l’une des plus grandes questions de l’Histoire : comment le « petit père des peuples » a-t-il pu régner sans partage sur l’U.R.S.S. pendant trente ans et tuer près de 20 millions de personnes ? Ce portrait fascinant et richement documenté, comprenant de nombreuses séquences sur la vie privée du dictateur, ne laissera personne indifférent… »
Il est d’usage de croire que nous, Hommes du 21e siècle, sommes plus avancés et évolués que nos prédécesseurs. En effet, nos avancées scientifiques nous permettent de mieux comprendre le minusculement petit, l’immensément grand, d’aller de plus en plus loin dans l’espace à des vitesses de plus en plus grandes…
Mais êtes-vous surs que notre confort soit plus enviable que celui des Romains ? Etes-vous surs que nous sommes mieux soignés ? mieux défendus ?
Regardez ce reportage suivant où l’Antiquité romaine est comparée au monde moderne actuel et vous allez être très surpris ;)
Beaucoup a déjà été dit/écrit sur cette période et sur les atrocités qui en ont découlé. Tous les peuples ayant vécu cette expérience en ont été traumatisé, qu’ils soient allemands ou autres. Mais aujourd’hui nous allons revenir sur toutes ces vieilles blessures pour tenter d’en comprendre les raisons, si nous y parvenons…
D’abord replongeons-nous dans cette vieille Europe du premier quart du 20ième siècle, plus spécialement dans la Russie de 1917, après sa Révolution d’Octobre et une fois que toute la famille impériale avait été sauvagement assassinée par les Bolchéviques…
La nouvelle se propage dans toute l’Europe en guerre : les révolutionnaires poursuivent, spolient, arrêtent et souvent assassinent toute l’aristocratie russe, tous les bourgeois, tous les gros propriétaires terriens… une partie réussie toutefois à fuir et à trouver refuge en Europe et en Amérique où ils narrent leurs tristes aventures pour y trouver aides et soutiens. L’Armée Blanche parvient à trouver de l’aide et se bat en Ukraine (ce qui va condamner à une mort lente les Ukrainiens quand le régime soviétique reprendra le contrôle de ces territoires dans les années 20). Malgré leur propagande mensongère, les Soviets font peur à la majorité des Européens et certains, afin de lutter contre eux, sont prêts à TOUT accepter plutôt qu’une montée du communisme dans leur pays, ce qui permettra aux partis de l’extrême droite d’accroitre leur puissance et, dans certains pays, d’accéder au pouvoir…
Propagande soviétique (1 exemple parmi de nombreux autres)
dénoncée ici par Hergé
dans l’album : Tintin au Pays des Soviets
J’ai choisi Hergé parce que, non seulement, avec 6 dessins il a résumé des pages et des pages écrites par des historiens ayant abordé ce sujet, mais aussi, parce que d’origine russe il témoigne très bien dans cet album de la vie quotidienne des différents peuples vivant sous la domination des Soviets…
Pendant ce temps, les nazi, soutenus financièrement par de nombreux industriels, bourgeois et aristocrates, rêvent de suivre l’exemple de l’Italie fasciste et tentent de prendre le pouvoir en Allemagne grâce à un punch qui va mener Adolf Hitler dans une cellule bavaroise où il écrira « Mein Kampf » (Mon Combat), qui sera remanié par des spécialistes en propagande avant d’être vendu puis distribué à la population, dite aryenne… Pour mieux comprendre cette époque, je vous conseille de lire cet ouvrage que vous trouverez sous ce lien (cliquez ici), mais
pour info
prochainement, j’ajouterai à ce blog un billet au sujet de contenu de cet ouvrage, en partie recopié à partir de mon site, que j’avais écrit tout de suite après la lecture de ce livre. J’y ajouterai ce que j’en ai gardé comme souvenir… brrr ! quand j’y pense, il me fait encore froid dans le dos, ce bouquin !!!
Quand vous comparez le contenu de ce livre avec ce 3ième Reich, vous vous apercevez qu’il a mis malheureusement quasiment toutes ses théories en pratique comme nous le rappelle ce merveilleux reportage de 1988 : De Nuremberg à Nuremberg qui résume très bien toute cette période comprise entre 1935 jusqu’aux Procès de Nuremberg et que Jacques Siclier, journaliste et historien, résume ainsi le 1/11/1998 dans le quotidien Le Monde :
« ‘’De Nuremberg à Nuremberg’’, c’est l’histoire de l’Europe entre le congrès du parti hitlérien, à Nuremberg en 1935, événement baptisé « Triomphe de la volonté », et le procès des criminels de guerre dans cette même ville symbole, de novembre 1945 à aout 1946. Tout en décrivant l’enchaînement des faits, Rossif est remonté aux causes, à la genèse des fascismes, au rôle du communisme stalinien, et le tableau qu’il trace de la première moitié de ce siècle est à la fois lucide et effrayant. »
Mais avant de laisser la place à ce documentaire en 2 parties, j’ajoute la carte de l’Allemagne telle qu’elle était le 1er septembre 1939, avant le début de la seconde guerre mondiale qui en mai 1945 mettra fin aux horreurs commises au nom du peuple aryen. Comme vous le constatez ci-dessous l’influence du nazisme était géographiquement très vaste et englobait de nombreux pays, qui, quand ils n’étaient pas annexés au Reich (Autriche, Pologne), étaient déjà sous leur protectorat (ex. Slovaquie, Roumanie)…
ATTENTION !
Ame sensible s’abstenir !
Certaines images pouvant heurter
Première partie :
Le Triomphe et la Guerre
Malheureusement cette vidéo n'est plus disponible sur la toile
Deuxième partie:
La Défaite et le Jugement
Malheureusement cette vidéo n'est plus disponible sur la toile
J’y ajoute un des 4 bonus du DVD qui explique la naissance et les raisons d’un tel documentaire, ainsi que des difficultés rencontrées pour son élaboration et sa diffusion sur une de nos chaînes télévisées nationales…
Ecrire de Nuremberg à Nuremberg,
entretien avec P. Meyer en 2003 (sortie du DVD)
Suite à ceci je vous laisse faire la conclusion par vous-même (nonnn !! Sab ne vous laisse pas tomber mais il est préférable, je pense, pour qu’elle soit bénéfique et enrichissante à tous, que vous en tirez vous-même toutes les conclusions au lieu que vous ne les trouviez écrites…). En effet, la réflexion personnelle, il n’y a rien de tel pour effectuer tout ce travail de remise en question et acquérir de la sagesse pour éviter que de telles horreurs ne puissent se reproduire dans un avenir plus ou moins lointain… Toutefois je ne peux m’empêcher de poser la question suivante :
Ne faudrait-il pas abandonner l’expression : « tout plutôt que… » ?
qui risquerait encore de mener loin toute l’Humanité ???
Pour accéder au texte du Traité (versions française et anglaise), cliquez ici.
Pendant de nombreuses années j’étais très étonnée que les Allemands puissent nommer ce mauvais Traité de paix : « Diktat » car, somme toute, ce traité était la coutume de tous les traités de paix signés jusqu’à lors : spoliation des biens des vaincus ainsi que de certains de leur territoire, prélèvement d’or en faveur du vainqueur, mais, une fois que j’ai eu accès au texte même, j’ai soudain compris ! Et là, c’est vrai, nous y sommes allés vraiment trop fort…
D’abord j’avais toujours pensé que les textes de la fondation des Sociétés des Nations avaient été faits à part, et que son texte était bien séparé du Traité de paix. Or, comme vous vous apercevez dans le document, il n’en est rien : le texte fondateur de la SN et le Traité de Paix sont inclus l’un dans l’autre… Ce qui fait, que les 2 seuls représentants de l’Empire allemand étaient confrontés à un sérieux dilemme dès le départ : s’ils signent pour être membre de la Société des Nations, ils acceptent, au nom de l’Allemagne et de ses alliés, toutes les clauses du Traité de Paix, s’ils ne signent pas le Traité de Paix, l’Allemagne est exclue de la Société des Nations, qui, d’après le rôle que l’on voulait lui donner, préservait une paix durable, ce que recherchait tout le monde à cette époque…
Ensuite, à la lecture des signataires, nous nous apercevons que tout avait été fait pour intimider les 2 seuls représentants de l’Allemagne et de ses alliés, regardez bien la photo, 2 allemands encerclés par plusieurs dizaines de personnes... on ne s’y serait pas pris autrement si on avait voulu leur arracher leurs signatures.
Bon, ça c’est pour le côté psychologique de l’affaire, passons maintenant au contenu du Traité et essayons de voir s’il y a là, vraiment de quoi affirmer qu’il s’agit bien d’un « Diktat »…
L’Alsace et la Lorraine qui reviennent à la France, bah ! les Lorrains et les Alsaciens sont habitués depuis longtemps à changer de nationalité et à se retrouver Français ou Allemands selon l’humeur de l’époque. Il n’y a vraiment pas là de quoi fouetter un chat même si ils en ont marre ;)…
Démembrement de l’Empire Allemand, là aussi, je doute fort que les Allemands, unifiés depuis 1870 seulement, ne s’en soient pas fait une raison. Le patriotisme allemand n’avait pas eu le temps de s’installer dans leurs esprits et, si j’ai bien compris les Allemand avec qui j’en avais discuté, leurs ancêtres considéraient plus cette unification comme une annexion prussienne. De ce fait, j’ai tendance à croire que ce démembrement de l’Empire leur a procuré de la joie, mais bon, je n’étais pas là pour savoir comment avait été accueillie la nouvelle… En plus, il ne faut pas oublier que l’Allemagne était dans une période de troubles et que depuis 1917, le nombre des manifestations réclamant plus de libertés politiques étaient en augmentation constante et réprimée très sévèrement… donc la fin de l’Empire Prussien, je serai étonnée de constater qu’ils avaient le moindre attachement pour cet Empereur en fuite en Hollande.
Par contre, là où ils n’avaient pas dû apprécier du tout, c’est de se retrouver, soit Tchécoslovaques, soit Roumains, soit Polonais, soit Belges, soit Français, soit Anglais… Là, il est fort possible que la pilule n’était pas passée… et si on ajoute à ça les sommes exorbitantes que les Allemands devaient payer et la crise financière qui en a découlé ajoutée à la crise du jeudi noir de 1929, il est plus que probable, qu’ils ont du nous haïr et encore plus tous ces Prussiens qui, avant 1919, étaient majoritaires dans le Reich… et pendant ce temps-là, les Français et leurs Alliés continuaient à appeler ces années comprises entre 1928 et 1938 : « la Belle Epoque »…
Voici une énigme qui a perduré pendant plusieurs décennies avant l’ouverture des archives soviétiques…
1945. Le monde entier apprend que l’ancien dictateur allemand est mort, mais quelques mois après, les soviétiques n’ayant pas encore montré son cadavre et interdisant l’enquête des autres pays alliés, entretient la rumeur que le Führer serait encore vivant et aurait réussi à leur échapper… et ce n’est que depuis la chute du communisme et l’ouverture des archives soviétiques que nous, du bloc Ouest, connaissons maintenant la réponse dont le reportage de Geographic National suivant se fait l’écho :
La vidéo n'est malheureusement plus disponible sur la toile
Maintenant que nous connaissons la réalité sur la mort d’Hitler, nous pouvons nous demander pour quelles raisons inavouables J. Staline a-t-il cherché à la taire et pourquoi ses successeurs ne nous en ont strictement rien dit. Cette dissimulation leur aurait-elle permis de maintenir le joug sur les anciens pays du bloc de l’Est en entretenant cette peur d’après-guerre comme quoi, quelque part, quelqu’un s’évertuait à redresser le nazisme et à reconquérir toute l’Europe au nom de la race aryenne ? ou les polices d’état utilisaient ce flou pour reconnaître un de leurs ennemis politiques, l’extrême droite, et surveiller ainsi toutes les populations du bloc communiste ? ou n’était-ce visé que pour diaboliser l’Ouest ?
J’ignore la véritable cause profonde de cette dissimulation et j’ignore si quelqu’un aujourd’hui pourrait nous la dire – je doute que même M. Gorbatchev puisse la connaître. Pourtant il serait avantageux pour toutes les générations futures d’avoir cette réponse, car, j’ai l’impression, elle expliquerait certainement bien des choses…
Voici un français bien énigmatique… Que penser exactement de lui ? Lui, le héros de Verdun, lui, le chef de l’Etat français libre sous l’Occupation qui va offrir notre nation aux Nazis… Et que devons-nous nous souvenir ?
Voici à partir d’où Pétain pose problème (même si nous connaissons les propos qu’il a tenu en ce 17 juin 1940, comme quoi il acceptait de se mettre au service de la France en ces heures douloureuses et demande, de ce fait, l’armistice de 1940) :
Pour nous aider à répondre à cette question, voici un reportage le concernant que France 3 avait retransmis :
Malheureusement cette vidéo n'est plus disponible sur la toile.
Oui, bien difficile de trancher et de répondre à cette question malgré que le documentaire est pour un Maréchal Pétain traitre à sa nation… Toutefois nous pouvons nous demander quelles motivations l’avait amené à agir ainsi ; est-ce réellement des motivations personnelles ou des « obligations d’état » … Bref, il n’y a que notre mémoire familiale qui puisse y répondre. En ce qui me concerne, comme un de mes grands-pères était résistant pendant que l’autre était prisonnier en Allemagne, il est clair que chez nous, Pétain = traitre et faux héros de Verdun…
Bisous,
@+
Sab
Ah que coucou!
Je mets ici le lien communiqué par mimi1931f concernant "les femmes sous vichy". Ainsi, aucun blanc ne vient s'immiscer dans le lien ;) et nous empêche d'y accéder...
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