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22 février 2013

Edgar Allan Poe : Manuscrit trouvé dans une bouteille

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Pour une meilleure lecture, n’hésitez pas à cliquer sur l’image !

 

Ah que coucou !

 

Oui. Comme vous vous en apercevez, j’ai changé exceptionnellement d’image en entête. Pourquoi ? Tout simplement pour que vous puissiez accéder à une biographie simple et courte de cet écrivain américain de génie. Cette image provient de la couverture du recueil « Les Nouvelles Histoires Extraordinaires » qui, comme vous le savez déjà, regroupe toutes les nouvelles que je mets actuellement en ligne… D'ailleurs aujourd’hui je vous propose :

 

Le Manuscrit trouvé dans une Bouteille

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)

Langue : français

 

dans lequel E. A. Poe nous place sur un navire, un navire qui disparait corps et biens dans l’Océan, un navire qui sombre, un navire où se trouvent des passagers… parmi eux un des passagers promet d’enfermer son journal dans une bouteille et de le mettre à la mer avant le tout dernier moment afin de décrire exactement et correctement toutes les étapes différentes qui mènent à l’horrible fin…

 

Ce sublime témoignage peut nous laisser croire qu’Edgar Allan Poe a déjà vécu une telle expérience (surtout pour ceux et celles qui, comme moi, ne se sont jamais retrouvés en plein naufrage)… En effet, on y lit toute la détresse et la résignation qu’une personne doit ressentir certainement à ce moment-là. Toutefois je doute fort qu’Edgar Allan Poe se soit lui-même retrouvé dans une telle histoire… ceci révèle, une nouvelle fois, tout son génie ainsi que celui de son traducteur officiel : notre Charles Baudelaire national !

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

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14 février 2013

Hervé BAZIN : L’Huile sur le feu

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Ah que coucou !

 

Aujourd’hui je vous propose de la littérature du 20e siècle, et plus spécialement un écrivain que j’admire Hervé BAZIN et le roman que je préfère :

 

L’Huile sur le feu

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

Langue : français

 

J’adore ce livre car il se compose de plusieurs histoires :

 

un double drame psychologique nous narrant dans le premier tous les tourments d’une adolescente qui est la malheureuse témoin du déchirement de ses parents, et dans le second les conséquences d’une colère trop longtemps retenue

 

un fait de société où le lecteur voit tous les engrenages et tous les aboutissants d’une guerre perpétuelle dans un couple (on passe par toutes les étapes, jusqu’à la plus terrible)

 

une enquête visant à découvrir l’identité d’un incendiaire

 

Bref, de quoi bien compliquer toute tentative de résumé ;). C’est donc pour cela que je vous fournis le livre…

 

Mais ne vous inquiétez pas, tout se termine relativement bien… enfin, aussi bien que la situation peut le permettre ;)

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

2 février 2013

Arthur Conan DOYLE : His Last Bow

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Ah que coucou !

 

Et bien nous voici à la dernière nouvelle que contient le recueil : His Last Bow, écrit par Sir Arthur C. Doyle et ayant pour titre :

 

His Last Bow

accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement pour son concepteur : Adobe)

Langue : Anglais

 

mettant naturellement en scène notre détective favori : Sherlock Holmes.

 

Toutefois cette dernière enquête ne nous mène pas vers un assassin… oui, au moment de cette enquête qui a occupé notre héros pendant 2 années, comme il nous l’apprend à la fin de l’histoire, Sherlock Holmes avait pris sa retraite : il s’était retiré des affaires et était devenu apiculteur dans le South Downs (région au sud de l’Angleterre). Et il fallu non seulement le Ministre de l’extérieur mais le Premier Ministre pour qu’il accepte de se charger de cette enquête posant de gros soucis à Scotland Yard. En effet, à cette vieille de ce qui allait devenir la Première Guerre Mondiale, des plans secrets, des informations classées top-secret, étaient dérobés et se retrouvait dans les mains du gouvernement prussien ! et tout ceci sous le nez et la barbe des agents les plus expérimentés du pays !

 

C’est ainsi que Sherlock Holmes devient Mr Altamont, citoyen américain d’origine irlandaise… et qu’il part à la poursuite d’un cousin à un certain roi de Bohème qui avait été amoureux d’Irène Adler ;)…

 

Mais bon, je m’arrête là, il faut mieux que vous lisiez cette dernière aventure par vous-même…

 

Je profite de ce billet pour rappeler ici le titre de toutes les nouvelles composant cet ouvrage :

 

The Adventure of Wisteria Lodge (pour accéder au billet, cliquez ici)

The Adventure of the Cardboard Box (pour accéder au billet, cliquez ici)

The Adventure of the Bruce-Partington plans (pour accéder au billet, cliquez ici)

The Adventure of the Red Circle (pour accéder au billet, cliquez ici)

The Disappearance of Lady Frances Carfax (pour accéder au billet, cliquez ici)

The Adventure of the Dying Detective (pour accéder au billet, cliquez ici)

The Adventure of the Devil’s Foot (pour accéder au billet, cliquez ici)

 

Et pour finir :

 

His Last Bow

 

Nous terminons là, pour quelques temps, la mise en ligne des œuvres de Sir A. C. Doyle narrant les aventures de son personnage le plus célèbre : Sherlock Holmes. Pour rappel, Sir Arthur Conan Doyle a écrit d’autres ouvrages où Sherlock Holmes ne joue aucun rôle et dans lesquels nous ne retrouvons pas le Dr Watson…

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

Sherlock-

Holmes

29 janvier 2013

Arthur Conan DOYLE : The Adventure of the Devil’s Foot

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Ah que coucou !

 

Et bien voici l’avant-dernière nouvelle que contient le recueil : His last Bow écrit par le très célèbre Sir Arthur Conan Doyle, mettant en scène notre détective favori : Sherlock Holmes

 

The Adventure of the Devil’s Foot

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : adobe.com)

langue : anglais

 

dans lequel vous allez réapprendre aussi qu’il peut être dangereux de faire des expériences en chimie quand on ignore quels effets peut avoir tel produit ou tel autre… en effet, cette plante rare, inconnue par les chimistes européens et qui se nomme le « Pied du Diable » (traduction de Devil’s Foot), rapportée d’Afrique, a bien failli être la cause de la mort de Sherlock Holmes et de son meilleur ami : le Dr Watson…

 

Mais n’ayez aucune inquiétude, nos deux héros en réchappe et Sherlock Holmes ne faillit pas à son habitude : celle de toujours trouver le coupable. Et c’est, malgré tout avec tristesse, que nous apprenons les raisons de ces 2 crimes et de ces 2 crises de folie qui mènent deux frères tout droit dans un asile psychiatrique après cette funeste nuit, où mourut, dans d’atroces souffrances, leur sœur Brenda…

 

Le prochain billet consacré à Sir Arthur Conan Doyle terminera ce recueil par la nouvelle ayant donné son titre au livre : His last Bow.

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

Sherlock-

Holmes

28 janvier 2013

Mythes et légendes de la Grèce antique : Héraclès

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Illustration réalisée par :

Zdeněk Sklenář

 

Traduction de :

Eduard Petiška

 

Ah que coucou !

 

 

Héraclès

accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)

Langue : français

 

Oui, ce mythe est bien trop long pour que je puisse vous le mettre dans un billet, même à part… en effet, nous est narrée ici non seulement les 12 travaux d’Héraclès, mais aussi son enfance, ses amours, son mariage et sa mort… bref, il est complet ;) !

 

Comme tout mythe, celui-ci enseigne aux Grecs anciens plusieurs règles mais la plus importante est, je crois, que « pour réussir dans la vie, il faut travailler ». En effet, Héraclès, malgré que son père fut Zeus, le plus important des dieux grecs, a préféré suivre le conseil de la déesse de la Vertu – qui lui a conseillé de suivre un chemin difficile pour parvenir à être reconnu et aimé des autres – que celui de la déesse de la Volupté – qui lui a conseillé de suivre un chemin facile fait de délices de toute sorte. Et là fut le choix le plus judicieux d’Héraclès car, s’il avait suivi la Volupté, il n’aurait vécu que dans l’ombre de son père et personne n’aurait entendu parler de lui et nous ne connaîtrerions pas son histoire ;)… En suivant la Vertu, il aida de nombreux concitoyens qu’ils soient grecs ou autres, et fut célébrer pour ses qualités d’âme et traiter en héros…

 

L’épisode des 12 travaux montre là qu’il est stupide de vouloir tuer en envoyant à la mort une personne. En effet, le propre cousin d’Héraclès, le roi Eurysthée, jaloux du premier exploit d’Héraclès, veut se débarrasser de lui et à chacune de ses tentatives (les différents travaux), Héraclès en ressort non seulement vivant, mais sa gloire s’accroit et il est de plus en plus aimé et respecté…

 

Avec ses amours est abordé ici le respect de la parole donnée. Non pas que les rois, pères des princesses qu’Héraclès aurait aimées épouser, eurent ce respect : malgré ses victoires devant le mener à l’hymen, aucun n’a respecté la promesse faite à Héraclès ; mais on nous rappelle ici que des promesses non respectées font que la personne à qui nous les faisons s’énerve et peut devenir un de nos ennemis et nous abattre quand nous ne nous y attendons pas (ex. le roi Eurytos et sa fille Iole. Malgré qu’Héraclès soit déclaré vainqueur du tournoi par le roi Eurytos, celui-ci « ne lui accorda pas la main de sa fille, inventant sans cesse de nouveaux prétextes pour retarder le mariage ». Quelques années après, Héraclès toujours fâché contre ce roi, livra bataille, gagna la guerre, détruisit sa capitale, exécuta le roi et expédia sa fille Iole au service de sa femme comme une esclave).

 

L’épisode avec le roi Admète met l’accent sur la fidélité entre amis… Héraclès, attristé par le veuvage récent de son ami le roi Admète, décide d’aller rechercher la reine Alceste et de la ramener des Enfers… Une fois qu’elle fut ressuscitée, le couple royal put continuer à vivre heureux tout en étant reconnaissant à Héraclès.

 

La partie consacrée à la période d’esclavage d’Héraclès montre ce qui aurait pu arriver si Héraclès avait suivi les conseils de la déesse Volupté. Héraclès n’aurait jamais eu la force et le courage que tous se souviennent. Cela montre aussi les dangers de la paresse, etc.

 

Enfin nous arrivons à sa rencontre avec celle qui allait devenir sa femme, la princesse Déjanire, qui lui donna un fils Hyllos. Leur vie peut être considérée comme une récompense pour tous les bienfaits qu’Héraclès a fait jusque là…

 

L’épisode du Centaure nous mène à la cause du décès d’Héraclès : car c’est en ayant cru qu’Iole allait la remplacer dans le cœur d’Héraclès (comme lui avait laissé entendre le centaure qui mourut de la main d’Héraclès) que la reine Déjanir a tué accidentellement et dans d’horribles souffrances le plus fameux héros grec – en ayant mis sur la tunique d’Héraclès le sang récolté de la blessure du Centaure…

 

Héraclès ayant été vertueux toute sa vie durant, il fut récompensé en gagnant l’Olympe où il fut accueillit parmi les dieux…

 

Mais pour profiter au mieux de tout ceci, il faut mieux que vous lisiez ou relisiez ce mythe… Alors surtout, n’hésitez pas ! ;)

 

Bisous,

@+

Sab

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20 janvier 2013

Guy de Maupassant : Amour

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Ah que coucou !

 

Dans la catégorie contes et nouvelles écrits par Maupassant et qui se trouvent dans ma bibliothèque, nous arrivons au dernier qui s’appelle :

 

Amour, 3 pages du livre d’un chasseur

accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par adobe)

langue : français

 

De Maupassant, je possède encore quelques romans que j’attendrai de vous poster… la littérature mondiale est si riche et si variée pour que nous pouvions changer pendant quelques temps d’auteur (mais pas d’inquiétude, nous reviendrons sur Guy de Maupassant).

 

Dans cette nouvelle nous découvrons à nouveau l’amour que portait Guy de Maupassant à la nature et à l’environnement. Les paysages sont décrits, là encore, avec maestria, même si, dans cette nouvelle, Maupassant devient un chasseur qui a tué une sarcelle d’argent et dont le cousin abat le mâle qui refusait de s’éloigner de sa belle morte…

 

Pourquoi Maupassant a-t-il utilisé le mot Amour dans son titre ?

Comment nommeriez-vous ce sentiment qui fait que dans un couple le survivant pleure son conjoint décédé ? Comment nommeriez-vous le fait que le survivant, malgré qu’il sache que sa moitié est décédée, et malgré le danger, veuille rester près de son corps ? N’est-ce pas là de l’Amour même si dans cette histoire, cet amour est un amour entre deux oiseaux ? Oui. Les bêtes, n’en déplaisent à certains, sont aptes à aimer. Les bêtes, n’en déplaisent à certains, ont des sentiments. Elles aiment tout comme elles détestent. Elles souffrent, tout comme elles sont capable d’être heureuses. Personnellement je ne comprendrai jamais les gens qui pensent qu’un animal ne puisse pas avoir des sentiments et que ceci n’est réservé qu’à la race humaine…

 

Bisous,

@+

Sab

9 janvier 2013

Guy de Maupassant : La Rempailleuse

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Ah que coucou !

 

Oui. Je sais, je suis un tantinet en retard… mais bon, comme prétendraient honteusement certains : « Avec Sab, c’est une habitude à prendre ! » :pppp !

 

Bon alors, aujourd’hui je vous propose à nouveau une courte nouvelle écrite par l’ami Maupassant :

 

La Rempailleuse

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par son concepteur : Adobe)

Langues : français

 

où vous constaterez que l’argent peut tout acheter… Dans cette nouvelle Guy de Maupassant expose au grand jour un autre des défauts de certains bourgeois qui se croient tout droit sortis de la cuisse de Jupiter…

 

Oui, un pharmacien, qui aurait été jusqu’à faire enfermer dans une prison une malheureuse rempailleuse qui était remplie d’amour pour lui, et qui n’exigeait rien de lui en échange, est outragé d’apprendre qu’une rempailleuse ressentait un amour véritable et platonique pour lui ! Mais sa réaction change soudain quand il apprend qu’elle lui a laissé une rondelette somme d’argent… mais comme cette somme n’était pas suffisante, il va, en plus, demander à ce qu’on lui donne la voiture de la rempailleuse !

 

Bref, voici une sorte d’individus comme je les déteste : ces individus intéressés, qui n’aime personne sauf l’argent et qui vont tenter de nous faire croire qu’ils sont nos amis alors qu’ils ne sont en réalité que de vulgaires pique-assiettes !

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

3 janvier 2013

Guy de Maupassant : La Bête à maît’ Belhomme

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Ah que coucou !

 

Pour nous remettre les neurones en place petit à petit après ces fêtes consécutives, à nouveau je vous propose aujourd’hui une nouvelle écrite par notre ami de Maupassant :

 

La Bête à maît’ Belhomme

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par adobe.com)

Langue : Français

 

dans laquelle le lecteur peut d’abord apprendre quelques coutumes de nos ancêtres campagnards, même s’il ne s’agit là que de Normands ;)… par exemple, nous y apprenons comment étaient organisé les transports en commun, avec quelles attentions pour finir par certaines croyances populaires et sur le fait qu’il ne faut pas toujours estimer que les autres doivent aider sans aucun retour en échange.

 

Bonne journée !

Bisous,

@+

Sab

26 décembre 2012

Guy de Maupassant : L’Enfant

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Ah que coucou !

 

En ce jour compris entre 2 fêtes qui se suivent, nous allons le faire calme pour les neurones qui sont, pour certains, encore dans les bulles de Champagne et je vous propose cette courte histoire qui va réjouir une certaine Sylvie, pour en nommer une, à son retour des pistes ! Oui, voici donc la nouvelle suivante écrite par notre ami Maupassant :

 

l’Enfant

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

Langue : Français

 

qui pourrait être considéré tel un conte de Noël, mais qui n’en est pas un…

 

Oui… car cette nouvelle narre l’aventure d’un coureur de jupon qui finit par se marier… mais voilà de ses amours passés dont il ne veut plus entendre parler s’il veut pouvoir accéder au mariage qu’il convoite, il apprend, le lendemain de ses noces et le jour du décès de son ancienne maîtresse, qu’il est le père d’un enfant, né quelque temps plus tôt (le lecteur peut imaginer qu’il est né quelques heures avant son arrivée : Maupassant ne donnant aucune précision concernant l’âge du dît enfant). Donc voilà Mr Coureur de Jupon, qui après avoir promis de s’occuper de son enfant, est bien embêté et se demande comment va réagir sa jeune épouse à qui il a non seulement menti pour expliquer son départ précipité, mais qu’il a « oublié » (il prévient qu’il va revenir une vingtaine de minutes plus tard et il revient le lendemain)…

Et vous, si cela vous arriverait, vous réagiriez comment ?

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

22 décembre 2012

Guy de Maupassant : L’Epave

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Ah que coucou !

 

Oui, je sais. Cette nuit, contrairement à certains, Sab a fait un bon gros dodo hors de bruits de la ville et a oublié de vous poster ce billet… Mais vaut mieux tard que jamais, n’est-ce pas ;) ?

 

Si aujourd’hui je vous proposais à lire une petite nouvelle écrite par notre ami Maupassant narrant l’histoire d’une fin que l’on pense être prochaine ? Oui, aujourd’hui je vous offre un moment de lecture pour ce week-end qui nous fait patienter jusqu’à Noël (où les enfants auront droit à une nouvelle aventure de Babeth qui rencontre le Père Noël) :

 

L’Epave

accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par adobe.com)

Langue : français

 

Cette nouvelle narre l’étrange aventure de la visite d’une épave accessible à marée basse… et rappelle au lecteur que les marées, elles montent et peuvent emprisonner le touriste tête en l’air qui n’aura pas fait attention aux heures de marée…

Oui, la narrateur se retrouve bloquer sur l’épave encerclée par l’Océan qui a repris sa place, tout ça parce qu’il s’est laissé distraire par ce groupe de touristes anglais qui souhaitait visiter la dite épave… Mais si cette épave a été pendant quelques heures leur prison pour attendre leur mort, elle a été aussi leur seule et unique planche de salut en cette nuit de la Saint Sylvestre.

 

Mais ne vous inquiétez pas ! ils ont survécu à cette nuit fatidique… et si vous souhaitez savoir comment, n’hésitez pas à lire cette nouvelle aventure !

 

Bisous et bon week-end !

@+

Sab

17 décembre 2012

Arthur Conan Doyle : The Adventure of Wisteria Lodge

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Ah que coucou !

 

Ceux qui connaissent le recueil de nouvelles His last Bow, savent qu’il y a eu un oubli dans mes postes car la première aventure de notre héros Sherlock Holmes, narrée dans cet ouvrage, n’est pas encore en ligne, tout comme la préface signée par le Dr Watson…

 

Il ne s’agit pas là d’un oubli, mais correspond à une hésitation. En effet, au départ j’ignorais s’il fallait mieux poster l’ensemble des aventures en un seul et unique ouvrage ou s’il fallait mieux que j’insère les aventures une par une. J’ignorais si j’allais, pour mon utilisation personnelle, laisser la présentation de l’ouvrage telle qu’elle est dans le livre ou si j’allais l’adapter à mes besoins propres (format A4). Cette hésitation n’existant maintenant plus, comme vous l’avez remarqué ;), je vous propose aujourd’hui cette préface et cette première aventure (dans deux documents pdf distincts pour, si vous les souhaitez, pouvoir regroupé toutes les aventures une fois qu’elles seront toute posté (après celle-ci, il en restera 2 : The Adventure of the Devil’s foot et His last Bow) :

 

The Adventure of Wisteria Lodge

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

langue : anglais

 

Sherlock-
Holmes

 

Quelle bizarre aventure tout de même est arrivée à Scott Eccles… comment ! invité à Wisteria Lodge, reçu de façon étrange, réveillé par son hôte, un certain espagnol Mr Garcia, en pleine nuit, voilà que le lendemain matin, Mr Scott Eccles s’aperçoit que son hôte et sa domesticité ont abandonné la maison en le laissant totalement seul ! En plus, il apprend que son hôte est retrouvé assassiné de l’autre côté de Londres à une heure où il était encore vivant chez lui : vu que ce n’est que plus tard que son hôte l’a réveillé accidentellement. Et que signifie cet étrange message que l’hôte a reçu pendant la soirée ? Bref voici une bien étrange affaire que doit démêler le plus célèbre des détectives privés londoniens.

 

Bisous,

@+

Sab

15 décembre 2012

Arthur Conan DOYLE : Disappearance of Lady Frances Carfax

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Ah que coucou !

 

Aujourd’hui je vous propose de faire fonctionner vos neurones en anglais avec cette nouvelle tirée du recueil : His last Bow écrit par le génial Sir Arthur Conan Doyle :

 

The Disappearance of Lady Frances Carfax,

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par adobe.com)

langue : anglais

 

où vous y découvrirez un Sherlock Holmes différent…

 

En effet, un peu plus et Sherlock Holmes perdait la partie – ce qui aurait signifié la mort pour Lady Frances Carfax, cette vieille dame anglaise, que sa domestique, prochainement mariée, laissait seule rentrée en Angleterre. Cette vieille dame anglaise, dont personne ne se serait aperçue de la disparition, si ce n’était un vieil ami qui souhaitait la voir à nouveau après une séparation de plusieurs années. Cette vieille dame anglaise qui souhaitait œuvrer pour le bien d’une mission chrétienne en Amérique du sud…

 

Dans cette nouvelle nous y trouvons non seulement notre héros Sherlock Holmes et son fidèle ami le docteur Watson mais aussi une apologie à l’amitié sincère, la vraie, l’unique ! celle que j’abordais déjà dans le billet dédié à l’Amitié (pour y accéder, cliquez ici). Oui, comment aurait pu être sauvée d’une mort certaine Lady Frances Carfax si son vieil ami n’avait pas eu envie de la voir à nouveau ? s’il ne s’était pas aperçu de sa disparition ? s’il n’avait pas commencé les premières recherches ? s’il n’avait pas déclaré sa disparition ? s’il n’avait pas contacté Sherlock Holmes pour le mettre sur cette enquête et découvrir ainsi l’horrible vérité ?

 

Cette nouvelle prouve ainsi comme il est fort utile d’avoir de véritables amis qui s’inquiètent pour nous et vont jusqu’à parfois nous casser les pieds en prenant de nos nouvelles régulièrement et souvent, car ils seront les premiers à nous venir en aide ;)… n’est-elle pas belle, cette adorable Amitié ? et ne vante-t-elle pas les mérites à avoir un bon ami plutôt que plusieurs centaines de pseudo-amis ;) ?

 

Bisous,

@+

Sab

Sherlock-

Holmes

12 décembre 2012

Guy de Maupassant : A Vendre !

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Ah que coucou !

 

Cette période de fin d’année est propice pour se faire des cadeaux et en faire aux autres. Et bien, dans la nouvelle suivante, je vous propose de savoir quel cadeau Guy de Maupassant a fort envie de se faire :

 

A Vendre !

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

format : pdf

logiciel fourni gratuitement par adobe.com

langue : français

 

Oui, Guy de Maupassant a fort envie de s’acheter cette petite maison bretonne, et, malgré qu’il sait qu’il n’aura pas les moyens, il souhaite la visiter aussitôt – Guy de Maupassant est tombé si amoureux de cette maison qu’il a l’impression de la connaître depuis toujours et de pouvoir narrer toute son histoire depuis sa construction.

 

Une fois à l’intérieur, il a l’impression de reconnaître la servante, chaque recoins, chaque objets jusqu’à ce qu’il aperçoive la photographie d’une jeune femme, dont il tombe tout de suite fou amoureux.

 

Va-t-il parvenir à savoir qui elle est ? Va-t-il réussir à connaître son histoire ? Réussira-t-il à la retrouver ? sont autant de questions auxquelles vous trouverez les réponses en lisant cette courte nouvelle, même si… mais chut ! à vous de le découvrir.

 

Non bizarrement, il s’agit là de la nouvelle écrite par Maupassant que je préfère car je trouve que c’est ici qu’il y décrit le mieux la nature qu’il aime. La description d’un paysage sauvage breton lui permet d’y glisser tout son amour de la nature qui fait que, même si ce paysage ne ressemble en rien à celui que beaucoup veulent qualifier de paradisiaque (plage et cocotier), le lecteur ne peut s’empêcher d’admirer cette lande déserte sur laquelle se trouve cette petite maison, éloignée de toute autre habitation qui permet d’accéder à une certaine plénitude.

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

 

PS : Jeudi 13 décembre, pas de billet, car ce sera difficile d’accéder à internet pendant la journée (entretien PCs et réseau), ce qui a motivé mon choix d’un billet littéraire pour aujourd’hui.

8 décembre 2012

Jean de la Fontaine : Fables (Livret Sixième)

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Ah que coucou !

 

 

 

Aujourd’hui nous voilà arrivé au sixième livret (sur les douze) des :

 

Fables

illustrées par Gustave Doré

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

Langue : français

 

regroupant les fables suivantes :

 

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2012-12-073

2012-12-074

2012-12-075

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écrites par notre fabuliste Jean de la Fontaine national. Dans ces fables, comme dans toutes les autres, vous y trouvez une caricature humoristique de son siècle et de notre pays, la France… dans ces fables ressort aussi de nombreuses leçons de morale, encore d’actualité de notre jour.

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

7 décembre 2012

Maurice Leblanc : La Dame blonde

 

Leblanc

Ah que coucou !

 

Vous vous souvenez tous de la nouvelle La Lampe juive (en cas de trou de mémoire, pour accéder au billet qui vous mènera à l’e-book, cliquez ici) ? et bien voici une nouvelle aventure qui met en scène le célèbre gentleman-cambrioleur Arsène Lupin et le célèbre détective anglais Herlock Sholmès et qui, avec la Lampe juive, forme l’ouvrage ayant pour titre : Arsène Lupin contre Herlock Sholmès… oui, comme l’ont deviné les spécialistes ès-Lupin, je vous propose aujourd’hui la nouvelle suivante :

 

La Dame blonde

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

langue : français

 

regroupant les 6 histoires suivantes :

 

1. Le numéro 514 – série 23

2. Le diamant bleu

3. Herlock Sholmès ouvre les hostilités

4. Quelques lueurs dans les ténèbres

5. Un enlèvement

6. La seconde arrestation d’Arsène Lupin

 

dans lesquelles, si nous constatons que « tous les coups sont permis » dans ce duel que nous pourrions croire être à mort, la courtoisie et le respect de l’adversaire sont présents, mélangés avec beaucoup d’humour…

 

Cette histoire apprend aussi aux lecteurs qu’Arsène Lupin, sous ses airs de « casanova », est réellement amoureux et dévoué à cette Dame blonde que l’on voit accompagnant Mle Gerbois en Belgique et Hollande (dans l’épisode du ticket de loterie), que l’on reconnaît comme étant l’infirmière du baron d’Hautrec : Antoinette Bréhat (dans l’affaire du diamant bleu) et que notre héros, est prêt à sacrifier ce à quoi il tient le plus, pour que cette Dame blonde, qui se trouve sous un mandat d’arrêt, ne soit pas inquiétée par Herlock Sholmès qui est parvenu à connaître sa vraie identité et à savoir où elle habitait (Arsène Lupin accepte d’échanger le diamant bleu contre la « perte de mémoire volontaire » d’Herlock Sholmès la concernant).

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

1 décembre 2012

Edgar Allan Poe : Le Canard au ballon

 

Edgar Allan 

Poe

 

Ah que coucou !

 

Tout le monde connait les frères Montgolfier Joseph et Etienne, ces Français qui sont les inventeurs de ce ballon volant qui porte leur nom, la montgolfière. Depuis le premier vol, la montgolfière, mine de rien, a conquis, à sa vitesse, l’espace aérien. D’elle, le souvenir le plus marquant que j’ai jusqu’à maintenant, est celui que je garde d’un certain après-midi, dans ce parc des environs de Bonn, où j’ai assisté au décollage de plusieurs montgolfières dont l’une, mal amarrée certainement, une fois que le volume d’air était suffisant pour qu’elle s’envole, décollait toute seule, sans personne pour la guider (c’est là où l’on constate la nécessité de savoir courir vite, sauter et escalader la barre de la nacelle quand on veut faire de la montgolfière mdrrr !! un des passagers, moins habiles que les 2 autres, étant resté au sol…). Donc comme vous l’avez deviné, cette nouvelle, tirée à nouveau des Histoires Extraordinaires, va nous parler d’un voyage en montgolfière et porte le titre de :

 

Le Canard au ballon

accessible à la lecture/téléchargement en cliquant ici

format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

langue : français

(traduit par notre Charles Baudelaire national)

 

où vous y apprendrez que si parfois le décollage peut être accidentel (cf l’anecdote que je vous ai racontée), les voyages en montgolfière restent aléatoires ;) – oui, quand en partant du nord du Pays de Galles, on prévoit de traverser la Manche pour aller à Paris, et qu’on se retrouve en Amérique… cherchez l’erreur ;) mdrr !

Et pour ceux qui connaissent un peu mieux l’histoire des montgolfières, vous y retrouverez une allusion à un certain voyage entre l’Angleterre et Nassau de 1836 ;)…

 

Quant à savoir si Edgar Allan Poe connaissait le fonctionnement et la façon de faire pour voler, je laisse les spécialistes jugés car, n’y connaissant rien, je suis toutefois étonnée que les montgolfières utilisaient de la houille au 19e siècle, même si nous savons que les frères Montgolfier utilisaient de la paille humide… sur un site dédié aux voyages en montgolfière (pour y accéder, cliquez ici) j’ai appris qu’était utilisé comme combustible aussi de la viande avariée…

 

Bonne lecture !

Bisous,

@+

Sab

17 novembre 2012

Euripide : Iphigénie à Aulis

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Ah que coucou !

 

Nous connaissons tous l’Iliade et l’Odyssée mais Homère ne fut pas seul à écrire sur la belle Hélène, épouse du roi Ménélas, frère d’Agamemnon, sur sa fuite avec Pâris à Troie, sur la guerre qui s’en suivit entre les Grecs et les Troiens… D’autres aussi nous ont raconté leur version de cette légende, dont Euripide, grand auteur grec de pièces de théâtre, qui fut plusieurs fois couronnés… Si vous avez oublié qui était Euripide, vous trouverez dans l'ouvrage ci-dessous un résumé de sa biographie...

 

Je vous propose donc aujourd’hui une de ses pièces :

 

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accessible au téléchargement/lecture, en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par adobe)

langue : français

 

qui vous narrera l’histoire de la fille d’Agamemnon et Clytemnestre : Iphigénie qui fut sacrifiée pour que l’armée des Grecs puisse quitter le port, traverser la mer d’Egée pour parvenir jusqu’à Troie.

 

Evidemment de cette histoire il y a une moralité à en sortir : l’abnégation et l’acceptation de sa destinée – Iphigénie, en acceptant d’être immolée pour le bien de la Grèce, est récompensée par les dieux qui l’accueillent en l’échangeant sur l’autel contre une biche afin qu’Artémis (à qui son sacrifice était destiné) ne soit pas lésée.

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

10 novembre 2012

A. de Musset : Lorenzaccio

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Ah que coucou !

 

Est-il nécessaire encore de présenter ce grand écrivain du Romantisme français ? (attention le Romantisme français ne ressemble pas au Romantisme dans les autres pays).

 

Au cas où vous avez oublié vos classiques voici une courte biographie tirée d’un dictionnaire de la littérature française :

 

Né en 1810, Alfred de Musset fut un enfant doué et un élève brillant. Entré en 1828 dans le « cénacle romantique » » hugolien où il amuse et scandalise tout à la fois avec ses Contes d’Espagne et d’Italie (1830), il se tourne assez vite vers l’écriture théâtrale (La Coupe et les Lèvres, A quoi rêvent les jeunes filles, 1830, Les Caprices de Marianne, 1833, Le Chandelier, 1835). Cet amant passionné et inquiet (Rolla, 1833) rencontre en 1833 la romancière George Sand pour une brève et orageuse liaison. Des douleurs de la séparation naîtront les poèmes des Nuits (1835 – 1837), le drame de Lorenzaccio (1834) et le roman intitulé La Confession d’un enfant du siècle (1836). En 1840 Musset, qui n’a que 30 ans, aura pratiquement terminé sa carrière d’écrivain. Les dix-sept années qui lui restent à vivre jusqu’en 1857 ne seront qu’une lente et amère descente vers la mort, dans la maladie et la solitude.

 

Aujourd’hui je vous propose un livre que je croyais avoir zappé et qui va certainement faire plaisir à Baba :

 

Lorenzaccio

accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici

Format : pdf

Langue : français

 

que de nombreux spécialistes qualifient de « Chef-d’œuvre du théâtre romantique ».

 

Au départ, je dois avouer que je ne parvenais pas à lire cette pièce dans laquelle je me perdais parmi tous les personnages et toutes les conversations qui débutaient mais ne se terminaient pas. Et j’avoue que je ne parvenais pas à comprendre ce qui m’arrivait… alors, pour m’encourager à continuer cette lecture qui m’énervait au fil des minutes qui passaient, j’ai décidé d’ouvrir mon dictionnaire de la littérature française et là j’y ai découvert mes notes de lecture que j’avais écrites quand j’étais en classe de 1ère et je compris soudain d’où venait ce « blocage » : de la prof de français que j’avais à l’époque et dont la spécialité première a été de me dégoûter de la littérature ! Après ce constat j’ai compris aussi pourquoi je ne me souvenais plus d’avoir lu cette pièce ;)…

 

Si vous êtes dans mon cas, je ne vais pas ici recopier mes notes de lecture de cette époque mais ce qu’y en est dit par les Docteurs ès-Lettres en général, qui, je dois l’avouer, m’ont plus donné l’envie de continuer la lecture de cette pièce que les notes que j’avais faites ;)…

 

Sans négliger ses comédies brillantes et subtiles (Les Caprices de Marianne, 1833– que je vous conseille si ce n’est encore fait -, On ne badine pas avec l’amour– cette pièce est un délice suprême -,1834) ni oublier les nombreuses piécettes de son théâtre « dans un fauteuil », il est logique de voir en Lorenzaccio (1834) le chef d’œuvre théâtral de Musset, et sûrement même l’une des pièces maîtresses de la dramaturgie romantique. Ce drame est en effet l’œuvre qui applique le plus strictement les consignes que, dès 1825, Stendhal donnait dans son Racine et Shakespeare : mêler les genres comique et tragique, développer largement l’intrigue au fil du temps et en des lieux aussi divers que possible, utiliser enfin, chose que ne fera pas Hugo, la prose de préférence au vers, comme étant plus conforme au génie « moderne ».

 

Florence au XVIe siècle vit sous la tyrannie du Duc Alexandre de Médicis, dont le jeune cousin, Lorenzo, semble être le complice. En réalité le jeune homme n’a suivi le Duc dans la voie de la débauche et du crime que pour déjouer sa méfiance et l’assassiner dès qu’il en aura l’occasion. C’est ce choix et ce but qu’il explique au vieux Philippe Strozzi, chef du parti républicain : le chemin du vice doit mener pour lui à la liberté ; pourtant son pessimisme profond lui fait douter du sens même de son dérisoire héroïsme.

 

[…]

 

La fin de la pièce donne raison à Lorenzo. Son scepticisme philosophique, son incrédulité politique sont cautionnés par les faits. Personne n’a cru à son héroïsme. Personne n’a profité du meurtre du Duc pour tenter de mettre fin à la tyrannie et de restaurer la démocratie. Un Médicis va succéder à un autre Médicis et, comble de dérision, Lorenzo lui-même périt, misérablement assassiné au bord de la lagune de Venise après avoir appris par courrier le décès de sa propre mère. Vanité de la vertu, « nullité » de l’héroïsme, mesquinerie et couardise de l’humanité, la pièce de Musset s’achève sur un constat particulièrement pessimiste. Dans sa brutalité, le drame n’a même plus ici la grandeur de la noblesse des tragédies classiques. Tout y est ruines, oubli, faillites ; le héros ne survit pas à son histoire, et l’histoire, privée de héros, n’a plus de sens.

 

Qu’ajouter d’autre ?

 

Et bien, un merci à Baba qui m’a rappelé que Musset avait écrit une pièce que j’avais effacé totalement de ma mémoire. Et, après l’avoir lue à nouveau, je dois avouer que j’ai surmonté ce dégoût que ma prof voulait me donner de cette œuvre (cf mes notes de lecture), ce qui est la preuve que j’ai mûri, non ;) ?

 

Et merci aussi à Sylvie pour m’avoir confié ce livre ;)… et oui, il ne sort de ma bibliothèque, mais de celle de Sylvie ;).

 

En conclusion : Ne laissez jamais un prof de français vous faire haïr cette pièce, parce qu’elle est réellement géniale !

 

Bisous,

@+

Sab

 

PS : maintenant que j’ai ressorti ce dico d’un carton je vais pouvoir regarder de quels livres elle m’a dégoûté encore pour les reprendre un à un et les lire à nouveau ;).

2 novembre 2012

Edgar Allan Poe : Aventure sans pareille d’un certain Hans Pfaal

 

Edgar Allan 

Poe

 

Ah que coucou !

 

Oui, comme vous le lisez si bien dans le titre de ce billet, je vous propose aujourd’hui une nouvelle Histoire Extraordinaire de notre ami Edgar A. Poe, traduite en français par son grand ami et notre amour Charles Baudelaire :

 

Aventure sans pareille

d’un certain Hans Pfaall

(accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici)

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

Langue : français

 

Mais j’entends quelques-uns se plaindre qu’il s’agit là encore de littérature et se demander pour quel motif j’ajoute, à nouveau aujourd’hui, un billet à la rubrique « littérature » plutôt que de vous proposer un sujet scientifique.

 

Et bien sachez, qu’il ne s’agit pas là de transformer mon blog en salon de discussion littéraire. N’ayez crainte, Messieurs, Dames qui n’appréciez pas la lecture ;), mais plutôt de vous faire réfléchir sur la science

 

Lisez cette nouvelle ! Qu’en retenez-vous ?

Un certain hollandais, qui s’appelle Hans Pfaall, décrit ici son voyage en ballon vers la Lune et demande à ce qu’on supprime ses dettes en échange de son journal retraçant son aventure, afin de lui permettre de revenir vivre à Rotterdam… et que la réponse doit être confiée à son messager « lunaire »… Pour vérifier ses propos, on confie son courrier à deux astronomes réputés qui confirment que ce Hans Pfaall a bien effectué ce voyage et attestent donc la véracité de ce récit…

 

Pourtant… regardez bien cette description d’ascension vers notre satellite… n’y voyez-vous rien qui vous dit qu’il est scientifiquement impossible, même en mettant sous silence toutes vos connaissances acquises depuis la fin du 20e siècle (cet écrit datant du 19e siècle) ?

 

En réalité Edgar A. Poe veut ici nous démontrer la nécessité de vérifier les affirmations scientifiques. Ce n’est pas parce qu’un scientifique, même de renommée mondiale, affirme quelque chose, qu’il faut que nous, nous le croyons systématiquement. Edgar A. Poe nous encourage à garder notre objectivité et sens critique, et à nous interroger sans cesse.

 

La Science n’est pas un sujet immuable mais elle évolue toujours et encore.

La Science n’est pas innée chez certains et inexistante chez d’autres.

La Science infuse n’existe pas et n’existera jamais ! Nous sommes TOUS susceptibles de faire des erreurs, d’ailleurs ne dit-on pas : « Errare Humanum Est » (= l’erreur est humaine) ?

Croire que les scientifiques sont plus intelligents que leurs contemporains est aussi absurde que croire qu’un Hans Pfaall peut aller sur la Lune en ballon ;).

 

Les théories scientifiques NE doivent PAS être apprises par cœur, mais être comprises grâce à une démonstration scientifique compréhensible par tous, même par les non-initiés !

Si une personne qui pense être archinulle en science ne comprend pas Votre démonstration alors qu’elle tente de vous faire plaisir et s’applique à comprendre ce que vous tentez de lui expliquer, cela NE SIGNIFIE PAS que Votre interlocuteur est STUPIDE, mais que Votre démonstration, que vous pensez être infaillible, n’est pas LOGIQUE et que votre conclusion est FAUSSE !

 

Voilà ce que nous enseigne ici Edgar Allan Poe ;) ! Alors, ce livre est-il plus à classer en littérature ou en science ;) ?

 

Bisous,

@+

Sab

29 octobre 2012

Maurice Leblanc : La Lampe juive

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Ah que coucou !

 

oups ! je crois que j'ai oublié quelque chose cette nuit…

 

Voici un autre de mes héros préférés… celui-là est français et a déjà été interprété au cinéma par de grands acteurs comme Robert Lamoureux ou Georges Descrières… oui, il s’agit de notre Arsène Lupin national, ce gentleman cambrioleur qui faisait tourner en bourrique des inspecteurs comme Ganimard au début du 20e siècle… ce gentleman cambrioleur qui a ridiculisé plusieurs fois le si fin et intelligent détective anglais : Herlock Sholmès… De ce personnage de fiction, sorti tout droit de l’imagination de Maurice Leblanc (pour accéder à un résumé de sa biographie, cliquez ici), je vous propose aujourd’hui l’aventure suivante :

 

La Lampe juive

(accessible au téléchargement/lecture en cliquant ici)

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par adobe.com)

langue : français

 

où notre gentleman-cambrioleur national va tenter de récupérer une lampe dérobée chez le baron d’Imblevalle ainsi que divers objets… mais comme le baron d’Imblevalle n’est nullement satisfait des résultats de la police française (placée sous la responsabilité de ce bon Ganimard), il appelle à l’aide Herlock Sholmès qui est le seul à pouvoir contrer Arsène Lupin. De ce duel, qui en sortira vainqueur ? je vous laisse le découvrir… toutefois je donne l’indice suivant : « Je trouve extrêmement drôle que, dans l’aventure qui nous occupe, je sois le bon génie qui secoure et qui sauve, et vous le mauvais génie qui apporte le désespoir et les larmes » ;)

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

 

PS : comme ce billet arrive en début d’après-midi de ce 29 octobre, le prochain billet ne sera pas posté avant la nuit du 30 au 31 octobre…

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