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10 décembre 2011

Jean de la Fontaine : Fables (Livre Deuxième)

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Ah que coucou !

 

 

 

fontaire - doré 1-1

La semaine dernière je vous proposais le premier de 12 livrets, aujourd’hui je vous propose le second, téléchargeable sous ce lien (en cliquant ici), comprenant les fables suivantes :

BA

BB

BC_1

BD

BE

BF

Et pour répondre à certaines question : oui j’ai l’intégralité de son œuvre dont vous aurez accès petit à petit…

Bisous,

@+

Sab

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8 décembre 2011

Molière : L’Etourdi ou les Contretemps

Molière

 

Ah que coucou !

 

Voici un autre écrivain que j’adore : Molière. Et aujourd’hui je vous propose sa première pièce de théâtre :

 

L’Etourdi ou les Contretemps

Pièce en vers en 5 actes

Représentée pour la première fois à Lyon en 1653

Accessible au téléchargement et/ou à la lecture en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

 

Charles-Augustin Sainte-Beuve, dont j’ai posté la critique sur Molière (cliquez ici), a déjà écrit beaucoup sur cette première pièce et il y a très peu à ajouter… Et c’est avec une immense joie que j’adore relire cette pièce tout en trouvant dommage qu’elle soit si peu jouée, à croire que nos artistes d’aujourd’hui veulent l’oublier alors qu’elle est étape importante dans l’avènement de Jean-Baptiste Poquelin. En effet, nous y voyons bien là que l’auteur commence à abandonner les canevas de la Comedia dell ’Arte pour mettre en place une nouvelle façon de jouer qui va faire sa réputation mondiale et ouvrir la porte à ses successeurs qui enrichissent de leurs œuvres la culture mondiale.

 

Amusez-vous bien à sa lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

7 décembre 2011

Edgar Allan Poe : Double assassinat dans la rue Morgue

Edgar Allan Poe

Ah que coucou !

 

Aujourd’hui je vous propose la nouvelle suivante, éditée dans le recueil « Les histoires extraordinaires », traduit de l’américain par Charles Baudelaire :

 

Double assassinat dans la Rue Morgue

Ecrit en 1841

Téléchargement et/ou lecture, cliquez ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

 

Dans cette courte nouvelle, Edgar Allan Poe, aidé par la plume de Charles Baudelaire, nous captive par cette énigme et met toutes nos capacités d’analyse et de réflexion en éveil : nous ne lisons pas cette histoire, mais nous vivons cette intrigue…

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

6 décembre 2011

Charles-Augustin Sainte-Beuve: Aimer Molière

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Ah que coucou !

 

Avant de vous offrir les pièces de théâtre de Molière, je tiens à vous faire connaitre cette critique de sa vie et de son œuvre appelée :

 

Aimer Molière

Accessible au téléchargement et/ou à la lecture en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

 

Dans cette critique, Charles-Augustin Sainte-Beuve a passé au crible toute la vie de Molière et ses pièces de théâtres en s’aidant des témoignages de ses contemporains, par exemple, il mentionne souvent le poète très connu : Boileau. Il nous raconte aussi des petites anecdotes, des faits que nous ne connaissons pas toujours (exemple : l’enfant ainé de Molière avait pour parrain Louis XIV lui-même afin de couper court à toutes les rumeurs comme quoi Molière avait épousé sa fille). Dans cet écrit Charles-Augustin Sainte-Beuve nous explique comment ont pu naître tant d’œuvres sous la plume de son créateur qui prenait son inspiration dans sa propre vie, dans son propre entourage, etc. Bref, j’estime que cette critique est à lire avant d’aborder Molière et je regrette qu’on ne nous l’ait jamais fait lire en cours de français…

 

Je profite de cette occasion pour ajouter ici un éclaircissement historique sur ce qu’était le théâtre au XVIIe siècle en France, écrite par Pierre Michel. Cette petite note est très instructive.

 

Bisous,

@+

Sab

 

PS : pour tous ceux et celles qui ne connaissent pas Sainte-Beuve, voici le lien vers la page qui lui a été consacré sur le site de l’Académie Française où il siégeait à partir de 1844

 

http://www.academie-francaise.fr/immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=385

 

(et oui, il y a d’autres sites où les renseignements sont beaucoup plus fiables que Wikipedia ;)…)

5 décembre 2011

Jean de la Fontaine : Fables (Livre Premier)

 

fontaire - doré 1-1

 

Ah que coucou !

 

En ce qui concerne la rubrique littéraire, je vais essayer d’accélérer le rythme car si je continue avec 1 livre par semaine, plusieurs années seront nécessaires pour y mettre tous les livres que je possède aujourd’hui, et comme je risque de continuer à en acheter ;)…

 

Alors aujourd’hui je vous propose le premier livre (sur les douze) des :

 

Fables

Illustrées par Gustave Doré

Accessible à la lecture et au téléchargement en cliquant ici

 

Comprenant les fables suivantes :

 

AA

AB

AC

AD

AE

Est-il besoin encore de présenter notre fameux fabuliste ? ;)

 

Bisous,

@+

Sab

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2 décembre 2011

Sun Tzu : L’Art de la Guerre

Sun Tzu

Ah que coucou !

 

Oui, aujourd’hui je devrais vous parler de la politique étrangère ou de l’actualité boursière ou de la crise de l’Euro mais suite aux événements qui s’approchent et que je souhaite n’auront jamais lieu, je préfère aborder aujourd’hui un livre qu’on m’a conseillé de lire depuis longtemps et que je viens de terminer :

 

L’Art de la Guerre

ou appelé aussi :

« Les Treize Chapitres »

Version commentée par le Père Amiot

Accessible au téléchargement en cliquant ici

Format : pdf

(logiciel fourni gratuitement par Adobe)

 

Pourquoi ai-je choisi une version expliquée plutôt que « l’original » ?

 

Premièrement parce que la version que j’en ai, est une traduction américaine faite du chinois en anglais par l’officier US Marines Samuel B. Griffith et traduite en français par Francis Wang. Je ne mets pas ici en cause leurs traductions, loin de là ! Non, mais je préfère vous offrir une version française traduite directement du chinois, que je n’ai trouvée malheureusement nulle part sauf cette version expliquée… qui n’est pas une traduction proprement parlé mais qui permet d’entrer dans la pensée des 13 chapitres de Sun Tzu et de la comprendre.

Secondement, le texte que j’ai, personne, même pas Samuel B. Griffith, ne peut confirmer qu’il s’agit du texte d’origine, alors je préfère vous présenter une traduction plus ancienne à une du XXe siècle, plus proche de l’édition initiale…

Je choisis donc l’ancien au nouveau, que je vous conseille toutefois de lire car la version de Samuel B. Griffith a de nombreuses explications permettant de comprendre, de façon plus approfondie, la pensée de Sun Tzu… Vous pouvez trouver ce livre chez Flammarion sous le n° ISBN 978-2-0812-1301-2.

 

Pour ceux qui me connaissent, vous allez vous apercevoir que j’ai laissé quelques zones d’ombres et des approximations concernant Sun Tzu et l’Art de la Guerre... Ceci n’est pas dû au fait que je n’ai pas réussi à découvrir ces données, mais cela vient du fait que les spécialistes en ignorent les réponses. En effet, certains érudits chinois estiment que Sun Tzu n’est qu’une légende et qu’il n’a jamais existé et attribuent ces chapitres à Wu Ch’i, pendant que d’autres pensent qu’il s’agit là d’un écrit de plusieurs qui avaient une excellente connaissance de la stratégie militaire. Tous ces spécialistes se chamaillent aussi concernant la date de cette œuvre… enfin, vous trouverez toutes leurs preuves et leurs explications dans la note d’introduction que j’ai ajoutée à la version expliquée du Père Amiot

 

Sun Tzu 2

Pour améliorer votre connaissance de la pensée de Sun Tzu, je vous conseille de lire ces 2 versions qui, je trouve, se complètent parfaitement l’une et l’autre… En effet, dans la version du Père Amiot, nous l’abordons du point de vue « philosophique » pendant que dans celle de S.B. Griffith elle apparait sous sa version « tactique militaire »… et en faisant un mélange de ces 2 versions nous arrivons à une « tactique de management » et à une autre concernant la « force de vente ».

 

Maintenant, est-ce qu’une personne qui adore Le Prince de Machiavel (pour accéder à l’article sur le livre, cliquez ici) peut aimer systématiquement l’Art de la Guerre et qu’on a eu raison de le conseiller ?

Je dois avouer que OUI malgré que je ne sois pas entièrement d’accord concernant le rapprochement des 2 ouvrages qu’on m’a fait... Le Prince est plus une méthode pour gouverner, tandis que l’Art de la guerre est plus une méthode pour attaquer et se défendre… Dans l’ouvrage de Machiavel on parle plus de l’art dans la manipulation des gens, tandis que dans celle Sun Tzu l’accent est mis sur la ruse / la duperie et l’étude de la personne et de l’environnement.

 

Je vous souhaite un moment aussi passionnant à lire cet ouvrage que j’en ai eu.

 

Bisous,

@+

Sab

30 novembre 2011

Eugène Labiche : Le Voyage de Mr Perrichon

Labiche

Ah que coucou !

 

Aujourd’hui je vous propose la pièce de théâtre suivante écrite par Eugène Labiche (celui que je surnomme affectueusement « le Molière du XIXe siècle ») :

 

Le Voyage de Mr Perrichon

Pièce de théâtre en 4 actes, écrite en 1860

Accessible au téléchargement en cliquant ici

Format du fichier : pdf

(fourni gratuitement par Adobe)

 

Et pour décrire très bien cette pièce je vais laisser la parole à un grand acteur et metteur en scène français :Jean Le Poulain

 

 

Toute fois j’aimerais y ajouter quelque chose qui ne pouvait, peut-être pas, être dite à l’antenne… Monsieur Perrichon est ce que nous surnommons : un « nouveau riche », avec toutes ses caractéristiques et sa splendeur ;) mdrrrr… Regardez bien ;) !

 

Bisous,

@+

Sab

20 novembre 2011

La famille à Montmirail...

Ah que coucou!

Montmirail_9

Ci-dessus, vous voyez la seule image que nous possédons de la gare C.B.R. du début du 20e siècle... Nous y voyons aussi la Gare de l'Est.

 

J'ajoute ici quelques photo...

 Montmirail_6

 

Arrivée du train en gare C.F.D

 Montmirail_7

 

Photo de groupe de la famille sur laquelle apparait le 3e chef de gare

Montmirail_8 

 

Mon grand-père et son cerf-volant.

A l'arrière plan nous aperçons mon arrière grand-père: Octave DROUX

 

Bisous,

@+

Sab

19 novembre 2011

Mes arrières grands-parents maternels

Ah que coucou !

 

Suite au contenu du blog de Reseau3GG dont voici le lien (cliquez ici) j’aborde aujourd’hui la vie de mes arrières grands-parents maternels à Montmirail (51) – en cas d’erreurs et d’oublis, par avance, merci aux membres de ma famille pour leurs corrections…

montmirail_1

Alors je vais d’abord vous en présenter les individus dont vous avez ci-dessus une image…

 

Sur cette photo nous voyons à droite le père de mon arrière grand-mère : Louis DROUX, né en 1842 et décédé en 1923, à Montmirail.

A sa droite se trouve mon arrière grand-mère DROUX : Marie-Gabriël DROUX (et non, il n’y a pas de faute, c’est ainsi que c’est écrit sur son acte de naissance présent aux Archives départementales, contrairement à son acte qui est à la mairie où Gabrielle est orthographiée ainsi… mais comme cet acte à la mairie n’est pas signé, je prends l’orthographe de son prénom sur l’acte signé et présent aux Archives Départementales de l’Aisne).

A la droite de mon arrière grand-mère DROUX se trouve son époux et mon arrière grand-père : Octave DROUX, qui, comme son uniforme le montre, est chef de gare.

Puis devant lui est placé mon grand-père : Pierre DROUX qui a, à sa droite, mon autre arrière grand-mère : Marie GOSSIN, épouse de Paul VALLANT, chef de gare, qui se tient debout à sa droite et devant lequel est installée ma grand-mère Claire VALLANT. Sur cette photo devrait être aussi présents mes 2 grands-oncles : le grand-frère à mon grand-père (qui doit être pour l’occasion le photographe) ainsi que le petit frère de ma grand-mère… Quant aux autres personnes, pour le moment, personne ne les reconnait, mais j’espère qu’il y a un de nos cousins, arrière petit fils de Louis DROUX qui a la possibilité dans ses archives de les identifier et qui m’a promis le mois dernier de regarder ça ce mois-ci…

 

Voici en ce qui concerne les personnes. Maintenant je vais raconter ce que je connais de cette période à Montmirail…

 

Dans ce village marnais (oui, c’est un gros village maintenant) il y avait 3 gares pour cause stratégiques (ça nous date de Napoléon)… Il y avait :

 

ü La gare de l’Est qui permettait à Montmirail d’avoir un arrêt ferroviaire jusqu’à il y a quelques années…

ü La gare C.F.D. dont mes arrières grands-parents DROUX s’occupaient jusqu’à ce que mon arrière grand-père soit à la retraite

ü La gare C.B.R. dont mes arrières grands-parents VALLANT s’occupaient.

montmirail_2 

Malheureusement, de ces années-là, nous ne possédons pas de photo de la gare C.B.R…

 

Donc voici où ont habité mon grand-père et sa famille pendant plusieurs années… Leurs 2 enfants étant nés à Montmirail, j’en conclus donc qu’ils y ont vécu de 1891-1892 à après la première guerre mondiale (mon grand-oncle, étant prisonnier en Allemagne, leur écrivait à cette adresse)…

 

De leur vie quotidienne nous n’en avons pas gardé la mémoire (ma mère ayant oublié de le demander à sa grand-mère)… Nous n’en avons récupéré que certaines photo, comme cette suivante sur laquelle se trouve les 3 chefs des 3 gares de Montmirail (nous ignorons l’identité du 3e) :

montmirail_3

ou encore cette autre :

Montmirail_4

 

Malgré cette dernière image, la vie près des voies ne devait pas y être si dangereuse quand on en juge par cette dernière photo où mon grand-père est en train de jouer au cerf-volant sur les voies et sous la surveillance de sa mère (oui, on peut la voir, tout au fond, laisser partir le cerf-volant)…

montmirail_5

Leur vie me semble s’être déroulée dans la sérénité et le calme d’une petite ville champenoise jusqu’à la première guerre mondiale où j’ai appris que ces gares avaient servi de cibles…

 

En parcourant les actes : mariages et naissances, j’ai pu aussi un peu retracer le CV de mes arrières grands-pères. Ainsi, par exemple, mon arrière grand-père DROUX a commencé sa carrière professionnelle comme employé des chemins de fer à la gare de la Ferté-sous-Jouarre pendant que mon arrière grand-père VALLANT l’a débutée dans les vignes aux alentours de Pierry… et de manouvrier agricole à l’époque de son mariage jusqu’à la naissance de sa fille, ma grand-mère, il a gravi très rapidement les échelons le menant à la direction d’une gare et à la responsabilité des fonds générés par sa ligne.

 

Pour avoir de plus amples informations sur leur vie, j’ai pris contact avec :

 

  • la S.N.C.F. qui m’a répondu concernant la machine prise en photo avec les chefs de gare et qui m’a conseillé de prendre contact avec les Archives Départementales de la Marne qui ne possède pas exactement les informations que je recherche,
  • la mairie de Montmirail, qui m’a dirigé vers l’Office du Tourisme qui, elle-même, m’a mené à une association pour la restauration de la Gare de l’Est.

 

Bref, il est très compliqué de reconstruire une mémoire familiale…

 

Bisous,

@+

Sab

16 novembre 2011

Charles Baudelaire : Les Fleurs du Mal

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Ah que coucou !

 

Oui, Reni, j’avoue ! Si ton aîné s’est mis à adorer Charles Baudelaire, j’en suis en grande partie responsable ;)… Charles Baudelaire est un des écrivains que j’admire et adore… alors aujourd’hui je vais vous proposer son œuvre la plus connue :

 

Les Fleurs du Mal

Recueil de 129 poèmes regroupés dans 6 parties

Edité en 1857

Accessible au téléchargement et à la lecture en cliquant ici

Format pdf (logiciel Adobe)

 

Il est vrai, quand nous l’avons étudié en classe de 2nde, j’exécrai ces Fleurs du Mal à un point non imaginable. Comment des profs de français peuvent penser faire apprécier cet ouvrage à des jeunes de 16-17 ans qui aiment la vie, ne pensent qu’à s’amuser ? Nous sommes bien trop jeunes à cet âge-là pour réellement comprendre cette œuvre et cela, malgré nos efforts et nos bonnes notes en explications de texte… beaucoup de choses nous restent hors d’atteinte. Non, c’est un livre qu’il faut lire à partir de la trentaine, pas avant je pense, sinon on a du mal à en apprécier toute la richesse et la magnificence.

 

En effet, Charles Baudelaire met ici son talent de poète et d’écrivain pour nous faire ressentir toutes les émotions qu’un homme peut avoir dans sa vie : la joie, le bonheur, la tristesse, le mal être, etc. tout en nous faisant bénéficier de ses expériences personnelles (drogues, boissons). Ce qui explique aussi que certaines personnes peuvent se sentir mal à l’aise à sa lecture – cela ne dépend que de notre vécu. Cette œuvre joue avec nos sentiments et nous en fait découvrir d’autres que nous n’imaginions pas avoir en nous. C’est une œuvre très riche car nous apprenons à nous connaître mieux à travers ses yeux (pas mal pour quelqu’un mort il y plus d’un siècle ;)) et nous sortons de cette lecture transformés et plus forts –psychologiquement parlant… bref, voici un beau cadeau qu’il a fait à l’humanité… ce serait dommage de ne pas en profiter, non ?

 

Bisous,

@+

Sab

13 novembre 2011

Hergé : Tintin

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Ah que coucou !

 

Contrairement à ce que je pensais, tous les albums, y compris les anciens comme « Tintin au Pays des Soviets », « Tintin au Congo », ne seront pas dans le domaine public intellectuel avant le 1 janvier 2054 tel que cela est spécifié dans l’article L123-1 (pour le texte de loi, cliquez ici), modifié par la loi n° 97-283 du 27 mars 1997 (pour le texte de loi, cliquez ici) qui dit qu’ « Au décès de l’auteur, ce droit persiste au bénéfice de ses ayants droit pendant l’année civile en cours et les soixante-dix ans qui suivent » (droit européen).

 

Je ne peux donc pas, pour ceux que cela intéresserait, vous fournir le téléchargement des premiers albums de Tintin, désolée…

 

Par contre, pour ceux qui le peuvent, je peux les prêter ;)…

 

La série de Tintin se décompose en 23 albums dont voici les couvertures :

hergé2

 

et narre les aventures d’un jeune reporter belge à la houppette…

 

Avec tous les albums connus de par le monde, avec tous les dessins-animés et films qui ont été faits jusqu’à aujourd’hui, je pense qu’il est parfaitement superflu de faire une plus ample présentation…

 

Pourquoi aujourd’hui j’en parle ? Tout simplement parce qu’un grand réalisateur américain : Steven Spielberg a réalisé un film sur notre « héro » : « Tintin et le secret de la Licorne »

 

 

J’aime bien Steven Spielberg et généralement je suis fan de tous ses films, mais là, j’avoue qu’un fan de Tintin a un gros problème avec son adaptation cinématographique : les images de synthèse laissant une impression de personnages non-vivants mais figés sur l’écran, le titre ne reflétant pas le contenu du film (au lieu de mettre en image le scénario du « Crabe aux Pinces d’or » il aurait mieux fait d’ajouter au « Secret de la Licorne » sa suite, soit « Le Trésor de Rackham le Rouge »… Non, là, je suis déçue par Steven Spielberg…

 

Bisous,

@+

Sab

11 novembre 2011

Pierre Corneille : Polyeucte

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Ah que coucou !

 

Comme nous sommes aujourd’hui le 11 novembre 2011 et que l’actualité n’est pas très florissante : on y ressasse toujours les mêmes sujets… Alors aujourd’hui c’est au tour d’un de nos grands écrivains du XVIIè siècle : Pierre Corneille, qui a écrit en vers cette pièce de théâtre de 5 actes, retraçant le martyr de :

 

Polyeucte

Présentée pour la première fois au Théâtre de Bourgogne, par la troupe du Roi en 1642.

La version numérique de ce livre est accessible et téléchargeable ici

 

Cette œuvre est basée sur une histoire vraie, narrée en fin d’ouvrage…

 

C’est une association d’idées qui me fait vous proposer aujourd’hui cette lecture. Je viens de visionner à nouveau une série de reportages qui était passée sur la chaîne ARTE en 2008 : « Apocalypse », dont l’un, parlant du martyr des premiers chrétiens, m’a fait me souvenir de cette pièce… Dans ce reportage, on y abordait les raisons pour lesquelles les chrétiens voulaient mourir en martyr. Et dans ces raisons nous y voyons les mêmes motivations qui encouragent encore certains illuminés estimant de leur devoir de se « suicider » au nom de Dieu, quelque soit le nom que nous le lui donnons…

 

Malgré que Pierre Corneille était un fervent Catholique, il y dénonce ici l’absurdité de ces « Chrétiens » qui voulaient mourir pour leur foi, soi-disant. Dans ce XVIIè siècle où le Catholicisme est très puissant en France, il rappelle que les bourreaux n’étaient peut-être pas tous SI bourreaux que cela et que tous les Saints, morts en martyr, n’étaient pas tous SI innocents comme on l’apprenait à cette époque-là… En cela Pierre Corneille a montré un grand courage et je me demande même comment il a réussi à passer outre la censure… quoi que… quand nous lisons la dédicace qu’il a écrite « à la reine régente » en 1643, nous pouvons que supposer que les attaques ont dû être nombreuses, pour preuve nous y lisons par exemple « pour s’offenser des défauts d’un ouvrage »…

 

Bonne lecture !

 

Bisous,

@+

Sab

9 novembre 2011

Prosper Mérimée : Colomba

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Ah que coucou !

 

Pour lire et/ou le télécharger, cliquez ici.Et comme pour le Prince de Machiavel, j’ignore combien de temps je vais pouvoir le maintenir en ligne, alors un conseil : téléchargez-le !

 

Cette histoire a été écrite en 1840 et nous offre une image de la Corse telle qu’elle est ancrée dans notre esprit. En effet, dans cet ouvrage, Prosper Mérimée nous parle d’une Corse aux paysages sauvages et magnifiques qui lui ont donné le nom d’ « Ile de la beauté » où la Vendetta est une obligation du peuple corse. Il nous parle d’une Corse dont certains natifs « luttent » contre les traditions centenaires de leur île pour SE moderniser. Il nous parle d’une époque importante pour cette île, son premier siècle au sein de la France. Pour rappel : la Corse est devenue française en 1769, 81 ans avant ce livre… alors c’est aussi un ouvrage historique expliquant comment les Corses ont vécu cette adhésion à la Métropole.

 

Pourquoi je conseille ce livre aujourd’hui ?

Car, quand on constate qu’une petite partie de la population souhaite son indépendance et a engagé une lutte armée contre nos institutions et tous les symboles de la présence française « métropole » sur l’ile, même si nous en entendons moins parlé actuellement, je pense que ce livre est encore d’actualité et nous montre bien cette dualité entre la Corse du futur et la Corse du passé…

 

Bisous,

@+

Sab

 

PS : Oui, Johannes, je suis en train de m’occuper des 2 livres suivants : « Treize à la douzaine » et « Six filles à marier » que tu pourras télécharger bientôt pour les lire… Ahhh, les mômes, à cet âge, toujours impatients !! mdrrrrrrr !

2 novembre 2011

Nicolas MACHIAVEL : Le Prince

 

 

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Ah que coucou !

 

Nous allons commencer cette nouvelle rubrique par un de mes livres favoris :

 

Le Prince

Ecrit par Nicolas Machiavel en 1513

pour accéder à la version numérique, cliquez ici

puis double-cliquez sur le titre du livre

 

Non je ne vais ni faire de fiche de lecture, ni copier la biographie de Machiavel. Non ! je ne vais que vous expliquer pourquoi j’aime ce livre et pourquoi je le conseille.

 

Cet ouvrage se découpe en 26 chapitres et est un mode d’emploi précis pour tous ceux qui sont appelés à gouverner, à commander. Il explique les tenants et les aboutissants de ce qu’il convient de faire avec ses amis, avec ses ennemis, comme ce qu’il ne faut surtout pas faire en commentant des exemples réels et historiques. Ainsi Machiavel nous enseigne-t-il à tirer les leçons de nos erreurs passées, à surveiller ce que nous disons, à réfléchir sur ce que nous faisons. Cette œuvre, considérée par de nombreuses personnes comme ouvrage philosophique de référence, est à mettre dans toutes les mains et malgré qu’il ait cette étiquette de « philosophie », il reste accessible aux non initiés et très facile à lire.

Personnellement j’apprécie ce livre parce qu’en plus d’exprimer et expliquer le comportement humain, en plus de nous enseigner certains faits historiques, Machiavel prouve ici toute son intelligence et le bienfondé de ses théories. Cet homme, du début de la Renaissance, sait nous convaincre, nous, les plus modernes en nous rappelant que nous avons beau avoir plus de moyens que ses contemporains, plus de connaissances, l’être humain ne change pas d’un iota. Est-ce une bonne chose ? une mauvaise ? la question reste ouverte.

 

Bonne lecture !

Bisous,

@+

Sab

 

PS : ignorant combien de temps je vais pouvoir laisser ce livre en ligne, un conseil : téléchargez-le !

PS’ : pour répondre à certains avant leurs commentaires : NON ! je n’ai pas encore eu le temps de lire L’Art de la guerre de Sun TZU, mais c’est prévu…

1 octobre 2011

Arcy-ste-Restitue, Aisne

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Ah que coucou!

 

Avant de s'établir au Plessier-Huleu, la famille est restée pendant plusieurs générations à Arcy-ste-Restitue où ils sont restés jusqu'au début du XXe siècle - dans leurs correspondances que j'ai numérisées pendant cet été, j'ai trouvé une allusion à ce village et à des poules...

 

Dans ce village il y a une église, qui était fermée naturellement... et dans laquelle mes ancêtres Chayère ont beaucoup investi à ce que je peux penser suite à la lecture des actes.

 

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Ce village est bien plus important que le Plessier-Huleu, cela ne m'a pas surprise car c'est cette impression que j'avais déjà à la lecture des actes. Mes ancêtres n'étaient pas, à proprement parler, au centre du village, mais dans les bourgs environnants.

 

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Le lavoir

 

Ce que je regrette est que la mairie aussi était fermée et que nous voyons personnes sauf deux jeunes qui nous ont indiqué où trouver le cimetière... où OH surprise! nous avons trouvé la tombe du père à mon arrière grand-père...

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Et voilà notre petite excursion sur la trace des ancêtres se termine là...

 

Bisous,

@+

Sab

30 septembre 2011

Le Plessier-Huleu, Aisne

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Ah que coucou!

 

Et bien voilà, mercredi après-midi le père du grand-père maternel a eu le droit à notre visite pour nettoyage de tombe... et nous avons rencontré une cousine par alliance, descendante de la branche Macquart.

 

Le Plessier Huleu 2

 

Lui, qui ne nous connait pas et que nous avons jamais pu fréquenter, s'il nous a vus, il a dû en avoir une sacré surprise (il est décédé 84 ans avant ma naissance)...

 

Il y a quelques années nous y avions été, au cimetière, et ne l'avions trouvé hélas... nous pensions même que la tombe avait été détruite. Mais non, cet été, j'ai appris qu'elle était toujours là et nous attendait pour être entretenue...

 

Et dans ce cimetière, OH, surprise encore! sa mère était enterrée à quelques pas... alors que je pensais qu'elle se trouvait dans le village à côté: Arcy-ste-Restitue... Chouette! encore une ligne pouvant être remplie dans l'arbre généalogique.

 

Bon, je ne vais tout de même pas aller tous les ans sur la tombe d'un inconnu, malgré qu'il soit mon arrière grand-père, mais ça fait quand-même plaisir de retrouver des traces palpables des ancêtres. Quelque chose que rien n'a pu altérer, sauf le temps...

 

Ensuite une petite ballade dans le village où le lavoir nécessiterait d'être restauré aussi:

 

Le Plessier Huleu 3

 

Ce que je regrette: la mairie n'était pas ouverte...

 

Le Plessier Huleu 4

 

Je n'ai donc pas pu faire mes recherches sur la famille au début du XXe siècle, ni entrer dans l'église :'(

 

Ensuite, vite, nous sommes partis sur les traces de nos ancêtres d'Arcy-ste-Restitue... à quelques km de là...

 

Bisous!

@+

Sab

16 mai 2011

Petit reportage: Généalogie Nord 52

Ah que coucou!

 

Voici un petit reportage d'une association réunissant des volontaires qui dépouillent les actes gratuitement sur le département de la Hte Marne principalement et qui m'ont beaucoup aidé, avec d'autres associations, à faire mes recherches généalogiques dans ce département: 

http://www.territorialtv.fr/video.php?key=eJ6e3J3DgG

Comme la fonction vidéo ne veut pas fonctionner, cliquer sur le lien ci-dessus pour visionner le reportage.

Bisous,

@+

Sab

1 avril 2011

Recherche Marie Angélique désespérément...

Ah que coucou !

 

Et oui, centerblog.net continue à refuser que je télécharge des images pour mettre dans mon blog ! Mais ils commencent à être plus qu’emmerdants ceux-là !!

 

Bon, restons calme et passons à autre chose…

 

J’ai nommé ce billet : « Recherche Marie Angélique désespérément ». Pourquoi ? Parce que je reste bloquée concernant sa branche !

 

Acte de décès de Marie, Angélique LECOT

http://sd-1.archive-host.com/membres/images/21209102274117553/Famille/Lecot_Marie.JPG

 

Comme vous le remarquer malgré son décès en 1824 où il était obligatoire de noter sa date de naissance, son lieu de naissance, l’identité de ses parents, nous voyons des points de suspension malgré que la déclaration a été faite par un de ses fils et un de ses amis ! Comme quoi il n’était pas forcément usuel de fêter ses anniversaires (ils auraient su quand elle était née) ou de raconter son enfance et sa famille à ses enfants à cette époque-là… Malheureusement aussi, cela peut indiquer qu’elle ne s’entendait pas avec les siens…

 

En tout cas j’ai recherché dans les archives d’Arcy Sainte Restitue pour voir s’il y avait des Lecot ou Lescot (sur certains actes de naissance de ses enfants nous retrouvons cette graphie de Lescot aussi), aucun ne porte se patronyme, elle vient donc d’un autre endroit et peut-être aussi que cet endroit est si éloigné que ses enfants n’ont jamais eu l’occasion de fréquenter leur famille de son côté… Qui est-elle ? D’où vient-elle ? si vous avez quelques indices la concernant, merci de m’en faire part…

 

Bisous,

@+

Sab

2 décembre 2010

Les actes : Exemple d’acte de décès (1676)

1676-05-25_BRICOTTE Jean

Ah que coucou !

 

Comme j’ignore à quelle heure Johannes va nous envoyer son mail quotidien, je poste ce billet maintenant pour être sûre que tout le monde sera averti demain…

 

Là encore je ne choisis pas l’acte de décès le plus ancien que j’ai dans ma base de données car ils ne correspondent pas à la majorité. Et j’en ignore la raison encore… peut-être parce qu’ils étaient des bourgeois, des artisans, des instruits… je l’ignore ! A un moment donné je pensais que c’était différent à cause du rédacteur des actes (à un moment donné j’avais constaté que le rédacteur était de la même famille que mes ancêtres), mais ça ne devait pas être la seule raison car la personne qui l’a suivi a fait de même… Enfin, c’est un mystère actuellement. Quoiqu’il en soit voici comment la majorité des actes de décès que j’ai parcourus se présente…

 

« Le 25 may le corps de Jean Bricotte a été inhumé 1676 »

 

Il faut en convenir : on ne peut pas faire plus succinct mise à part les listings, en haut de la page la date du jour et la mention « mort » et la liste des personnes décédées… ce que j’ai vu aussi pour certaines paroisses…

 

Mais bon c’est encore plus vague quand ils annoncent l’âge de la personne décédée… On pourrait croire le contraire, hélas ! les anniversaires ne devant pas être aussi souvent et régulièrement fêtés que maintenant, nous nous retrouvons souvent avec la mention erronée « environ … ans ». Quand cet écart nous fait calculer une différence d’un à deux ans par rapport à la date de naissance trouvée, ce n’est pas trop dramatique… là où cela pose problème c’est quand nous découvrons 5 ans d’écart, par exemple, voir plus !! dans ces cas-là, je vous assure qu’on a parfois envie d’étrangler ses ancêtres, surtout ceux qui au XVIIIe siècle déclarent qu’ils ignorent d’où est originaire leur père/leur mère, ignorent qui sont leurs grands-parents… mais là est un autre point que nous aborderons plus tard.

 

Bisous

@+

Sab

2 décembre 2010

Les actes : exemple d’acte de baptême (1628)

36657b89

Ah que coucou!

Je ne mets pas ici l’acte de baptême les plus anciens que j’ai dans ma base de données parce qu’il serait un mauvais exemple de ce qu’il se faisait habituellement car le Curé qui l’a redigé y a inséré beaux nombres de détails concernant mes ancêtres... Non, je choisis un qui date de 1628 concernant le baptême de mon aïeul : Anthoine Varinot, datant du 21 mai 1628 où est écrit ceci :

 

« Le même jour j’ay baptisé Anthoine fils de Claude Varinot dit Miron, le parrain Anthoine Martin, la marraine       fille de Evrard Guerrin »

 

J’ignore pour quels motifs mais cela arrivait régulièrement qu’il y ait des blancs concernant l’identité des intervenants, quand ils étaient nommés. Peut-être que les actes concernés n’étaient pas fait « sur le coup » mais beaucoup plus tard et que le curé ne se souvenait plus exactement de qui il s’agissait. Peut-être que l’acte était fait avant que les parents ne se décident (les baptêmes avaient lieu souvent le même jour que la naissance). Enfin, personne ne peut donner une explication fiable à 100% concernant tous ces blancs… nous ne pouvons que supposer...

 

Dans cet acte, malgré que l’identité de la marraine ne soit pas mentionnée (sauf celle du père de la marraine) nous avons de la chance malgré qu’il reste succinct : le nom de la mère manque, la date de naissance manque, le curé n’a pas répété la date à laquelle ce baptême a été fait, la profession des parents est absente… Bref, quand nous comparons avec nos actes à nous, nous constatons qu’à cette époque, il n’était pas obligatoire de fournir de nombreux renseignements qui nous auraient été pourtant bien utiles dans nos recherches. Et là, nous pouvons toutefois nous estimer heureux d’avoir l’identité du père, qui était parfois tue aussi… quelques années plus tard, dans un autre lieu, j'ai l’acte de baptême de mon aïeul où l’on peut trouver le nom de sa grand-mère maternelle à la place de celui de sa mère ! De quoi nous dérouter dans nos recherches (d'ailleur ça m'avait bloqué un petit bout de temps). Et oui, les erreurs sont très fréquentes en ce temps-là où les papiers d’identité n’existaient pas encore pour vérifier l’identité des individus et où on écrivait ce qu’on entendait… même si nos aïeuls savaient lire et écrire et demandaient à ce que soit rectifié telle ou telle graphie dans leur patronyme…

 

A ce sujet, j’ai à ma connaissance une anecdote concernant ma branche : Gossin et la graphie de ce nom de famille : il avait fallu que mon aïeul aille « porter » plainte auprès des hautes instances cléricales pour que soit toujours orthographié son patronyme de la manière suivante : G – O – s – s – i – n. Le rédacteur des actes voulant l’orthographier : G-O-S-S-A-I-N…

 

Bisous,

@+

Sab

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