Charles Perrault : Peau d’Âne
Ah que coucou !
Nous allons commencer tout doucement, les neurones montrant encore quelques signes de fièvre et le méchant virus grippal n’ayant pas encore disparu totalement…
Qui, ayant plus de 10 ans, ne connait pas les « contes de ma Mère l’Oye » ;), ouvrage certainement le plus connu de Charles Perrault (si vous avez oublié qui était ce célèbre académicien et poète, je vous propose de lire les informations le concernant sur le site de l’Académie Française, en cliquant ici)
Oui, aujourd’hui vous allez vous remémorer le très célèbre conte de fée :
accessible au téléchargement/lecture, en cliquant ici
format : pdf
(logiciel fourni gratuitement par adobe.com)
langue : français
Mais « Peau d’Âne » n’est pas seulement un conte de fées, réservé aux enfants, comme nous l’apprenons depuis notre plus tendre enfance car, dans tout conte, comme dans tout mythe et toute légende, il y a une moralité, qui, toujours actuelle, n’est pas forcément celle écrite par l’auteur à la fin de son ouvrage ;)…
Par exemple, prenons « Peau d’Âne »… que nous ordonne ce conte ? qu’il ne faut pas transformer des relations d’amour existantes entre enfant et parent en relations incestueuses car tout le monde y perd (ici le roi perd sa fille, sa fille perd sa maison, son rang et le seul parent vivant qui lui restait : son père). Il enseigne aussi à regarder au-delà des apparences (qui aurait cru que sous une souillon que les paysans surnomment « Peau d’Âne » se cache en réalité une très belle princesse qui deviendra leur reine ?) et nous ne pouvons que constater : « ceux qui affichent leurs richesses ne possèdent que CES richesses, ceux qui n’affichent aucune richesse peuvent posséder beaucoup de richesses, dont la plus précieuse : celle du cœur ! » ;).
Bisous,
@+
Sab